Le Progrès Technique Entraîne T Il Le Chomage

croissance sur le long terme. Phénomène qualitatif qui va toucher aux fondements de l’économie et de la société. * Progrès technique : influence (ex : la machine à vapeur) * Mutations sectorielles : 2 périodes – l’industrialisation (textile, sidérurgie) – la tertiarisation (banques) * Progrès techniques : démocratisation du système politique (suffrage universelle) * Progrès social : une meilleur instruction, une réduction de la pauvreté , (dvpt de la protection sociale) a) Les concepts

4 Le chômage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.4.1 Le taux de chômage : définition et mesure . . . . . . . . 1.4.2 La relation population active totale - chômage . . . . . 1.4.3 La relation croissance - chômage . . . . . . . . . . . . . 1.5 L’inflation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.5.1 Le taux d’inflation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.5.2 La relation croissance — inflation . . . . . . . . . . . . . 1.5.3 La relation chômage - inflation

pourrait jamais le devenir ». Il évolue sans cesse. Schumpeter élabore donc une théorie de sa dynamique dont le moteur est le progrès technique. Le progrès technique peut être défini, dans un premier temps, comme l'ensemble des éléments qui permettent d'améliorer les méthodes de production et d'accroître la productivité. En économie, le progrès technique représente l’amélioration des connaissances scientifiques et de l’organisation de la production qui permettent une amélioration

par habitant comme indication de l'amélioration du niveau de vie. La croissance est le résultat de la combinaison des deux facteurs de production que sont le capital et le travail (dont la productivité est accrue par le progrès technique), d'autre part que le progrès technique et l'accumulation du capital (c'est-à-dire l'investissement) jouaient un rôle majeur dans la croissance.La croissance economique n'a pas été toujours presente dans l'economie mondiale,en effet avant la révolution industrielle

quantité, c’est le point où les courbes de demande et d'offre se coupent. Pour tout prix au-dessus de cet équilibre, la quantité fournie excède la quantité exigée, ce qui entraîne un excédent (et aucune transaction entre l'acheteur et le vendeur). Pour tout prix au-dessous, la quantité exigée excède la quantité fournie, ce qui entraîne une pénurie. Seulement à l'intersection de la demande et de l'offre, les quantités exigées et fournies sont égales. L'équilibre de prix et de quantité est stable.

européenne Outre le niveau du PIB, les macroéconomistes s’intéressent d’abord à trois indicateurs : le taux de croissance du PIB ; le taux de chômage ; le taux d’inflation. L Union L’Union européenne Dans la majeure partie des années 1990 et au début des années 2000 les performances économiques de l’UE ont 2000, l UE été décevantes : faible croissance et chômage élevé. En revanche, l’inflation était faible (la question se posera de , ( q p savoir s’il existe ici une relation de cause à effet). La

il est classé parmi les hétérodoxes (pensée libre et originale, ne s’alignant sur aucun des courants principaux). Il est très marqué par la lecture de Marx et a contribué à l’analyse de l’évolution du capitalisme. Résumé Cours : I) Progrès technique et évolution économique selon Schumpeter A : Innovation et dynamique du capitalisme Par un processus de destruction créatrice, l’innovation imprime au capitalisme un processus d’évolution. Survenant par grappes, les innovations produisent un

est différente selon les personnes. Cette dimension personnelle, il faut la laisser libre. Les besoins ont un certain nombre de caractères : - LA MULTIPLICITE des produits ou des services qui permettent de satisfaire un même besoin. Le progrès technique va faire apparaître de nouveaux biens. - LA SATURABILITE des besoins. L’intensité d’un besoin prit isolément va diminuer au fur et à mesure qu’il va recevoir satisfaction = c’est la « théorie de l’utilité marginale ». - L’INTERDEPENDANCE :

grandeur du rôle de la division du travail. En effet, puisque la solidarité mécanique va en s'affaiblissant, il faut que la vie proprement sociale diminue, ou qu'une autre solidarité vienne peu à peu se substituer à celle qui s'en va. Cependant, le progrès social ne consiste pas en une dissolution continue ; tout au contraire, plus on s'avance, plus les sociétés ont un profond sentiment d'elles-mêmes et de leur unité. Il faut donc bien qu'il y ait quelque autre lien social qui produise ce résultat;

mortalité était très élevé (famines causées par le problème des récoltes) ainsi que celui de la natalité (mentalité des mœurs, pas de moyens de contraception). Au XVIIIe siècle, nous pouvons remarquer une hausse de l’espérance de vie. Grâce aux progrès de la médecine, les femmes gagnent 55,5 années entre 1750 et 1993 ; 49,3 années chez les hommes. La prise de conscience du coût d’un enfant (nourriture et scolarité) fait baisser le nombre des naissances. Cette baisse des naissances peut aussi s’expliquer