Le Progrés Technique Nous Rapproche T Il Du Bonheur

Le bonheur Introduction 2 La difficulté à définir le bonheur (Kant) 2 Le bonheur est-il concret ou abstrait ? 3 Le bonheur est-il durable ou éphémère ? 4 I. Bonheur et désir 4 A. L’hédonisme 4 1. Le bonheur est dans la satisfaction de tous nos désirs (Calliclès) 4 2. Le bonheur est la satisfaction de certains désirs seulement (Epicure) 5 B. Le stoïcisme 6 1. Le stoïcisme classique (Sénèque, Epictète, Marc-Aurèle) 6 a. Distinguer ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas 6 b.

Le bonheur Introduction2 La difficulté à définir le bonheur (Kant)2 Le bonheur est-il concret ou abstrait ?3 Le bonheur est-il durable ou éphémère ?4 I. Bonheur et désir4 A. L’hédonisme4 1. Le bonheur est dans la satisfaction de tous nos désirs (Calliclès)4 2. Le bonheur est la satisfaction de certains désirs seulement (Epicure)5 B. Le stoïcisme6 1. Le stoïcisme classique (Sénèque, Epictète, Marc-Aurèle)6 a. Distinguer ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas6 b. Modifier nos

terre aura nécessairement sa limite liée aux manques de ressources, d’eau, d’énergie, d’espace, d’air sain etc… Sans pouvoir exploiter des horizons ou espaces plus lointains par défaut de vecteur de mobilité suffisant, l’homme devra trouver son bonheur près de chez lui, sur notre bonne vieille terre nourricière. Notre contexte fini sera encore pour un bon moment notre quotidien au beau milieu de notre univers soit disant infini. Quelle frustration mais quel challenge. Et si, soyons fous, la solution

inébranlable dans le pouvoir de la raison humaine. La découverte de la gravitation universelle par Isaac Newton fit une impression considérable sur le siècle. Grâce à l'usage judicieux de la raison, s'ouvrait un progrès perpétuel dans le domaine de la connaissance, des réalisations techniques et des valeurs morales. Dans le sillage de la philosophie de Locke, les penseurs du XVIIIe siècle considéraient, à la différence de Descartes, que la connaissance, loin d'être innée, procédait uniquement de l'expérience

INTRODUCTION GÉNÉRALE – 18e siècle (l'époque des Lumières → prosvjetiteljstvo) l'esprit de liberté, progrès; moins de guerre, peste, famine; le mortalitet diminue les objectifs intellectuels: plus de gens apprennent à lire; l'Encyclopédie, les manuels téchniques; humanisation → humanisme → les droits le développement de commerce, colonies → la France est le pays le plus prestigieux et puissant de l'Europe profession de l'écrivain → écrire pour vivre (littérature devient industrie) la noblesse

sceptique et de reconnaître que la vérité et le bien universels n'existent pas. Si la vérité est plurielle, chacun doit admettre que l'autre, non seulement peut avoir, mais a toujours raison, de son point de vue, quitte, ensuite, à s'efforcer de rapprocher les points de vue, si cela est possible, en pratiquant l'expression réciproque des convictions et des réactions plus émotionnelles que réfléchies. A quoi, en effet, peut servir la réflexion rationnelle et critique, si la vérité est purement subjective

l’exemple de l’apparence. La beauté, de tout temps, a été soumise à des critères stricts. Ce qui était considéré comme beau hier ne l’est plus forcément aujourd’hui, c’est certain, mais l’apparence a toujours été primordiale dans les sociétés. Les progrès techniques sont tels qu’il est désormais possible de modifier (parfois radicalement) son visage, grâce à la chirurgie esthétique. Un marché en pleine expansion qui touche même des jeunes femmes, effrayées à l’idée de voir apparaître la première ride :

lui. Par leur curiosité intellectuelle, les humanistes remettent à l’honneur la civilisation antique qui connaît ainsi une « Renaissance ». Ils s’intéressent aux textes religieux, mais aussi aux écrits philosophiques, politiques, scientifiques et techniques. Ils redécouvrent en particulier les réflexions d’Aristote, la démarche philosophique de Platon ou les thèses d’Euclide ( mathématicien grec du III ème siècle avant notre ère ). Ces écrits, redécouverts au cours du Moyen-Áge lors des contacts entre

pour des hommes vivants » est son leitmotiv et il cherche la symbiose entre l’entreprise et son personnel. Aujourd’hui à travers son association, il propose des séminaires ayant pour objectif « réflexion et échanges ». Il témoigne dans les clubs Progrès du management du CNPF et anime des commissions d’études au CFPC et à l’ACADI. | Publications | * Articles de Presses * Vidéo de témoignage aux Assises Nationales du CFPC à Grenoble en 1993 | Bruno JARROSSON | | Né le 26 décembre 1955

- le bien suprême est le bonheur ; et plus précisément la politique et surtout la science - éthique du juste milieu : toute vertu tient le milieu entre deux vices (ex : courage entre audace et pusillanimité) - le « divin » est le premier moteur (pour éviter une régression à l’infini), c’est-à-dire le but, le Bien, le bonheur - l’homme est un animal politique : la cité est une communauté naturelle - la cité ne vise pas seulement la subsistance mais surtout le bonheur et les « belles actions »