Le Père Goriot Malheur

cœ urs pusillanimes qui, pour trop prévoir la suite des choses, n'osent rien entreprendre. Molière Le chemin est long du projet à la chose. Molière La grande règle de toute les règles c'est de plaire. Molière Gardez-vous de demander du temps : le malheur n'en accorde jamais. Mirabeau Si l'on voit où les bonnes têtes ont mené la France, il serait peut-être pas inutile d'essayer les mauvaises. Mirabeau Autant de gens, autant de sens. Meurier 1568 jeudi 27 juillet 2000 © 2000 kratiroff / ad'valorem

Giraudoux, La guerre de Troie n’aura pas lieu Ionesco, Le roi se meurt, Rhinocéros, La Cantatrice chauve Sarraute, Pour un oui, pour un non Roman : Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves Laclos, Les liaisons dangereuses Balzac, Le Père Goriot Stendhal, Le Rouge et le Noir Hugo, Les Misérables Flaubert, Madame Bovary Maupassant, Bel-Ami Zola, L’Assommoir Camus, L’Etranger Céline, Voyage au bout de la nuit Proust, « un amour de Swann » extrait de Du côté de chez Swann Robbe-Grillet

par les mots »… Même l’architecture a sombré dans le vulgaire. À preuve la tour Eiffel, « ce squelette disgracieux », à la base énorme, qui avorte en ridicule cheminée d’usine…  Maupassant est intarissable sur l’adultère et sur le mariage, cause de malheur chez les uns et de crime chez d’autres. Plaidant pour la liberté de divorcer, il ne se lasse pas d’observer les femmes, avec des commentaires qui le feraient passer aujourd’hui pour un fieffé réactionnaire. La nature féminine, toute de « sensation » et

de vanités et d'ignominies, quelques havres de grâce, comme la pitié, l'exactitude, la sensualité, l'Art. Maupassant ne redoute pas vraiment la mort, vers laquelle il manquera trois pas. Mais elle ôte à tout toute valeur. Quand, par hasard et par malheur, l'homme s'interroge, elle donne la seule et unique réponse, à tous les instants de la vie : « Respirer, dormir, boire et manger, marcher, aller à ses affaires, tout ce que nous faisons, vivre enfin, c'est mourir » (L.G., 25 février 84). Au-delà de

Chateaubriand ou Hugo Embarquons avec le vicomte de Chateaubriand Voguons vers l’Amérique ! De la révolte à la Révolution « Le Génie du christianisme » Les espoirs déçus Le royaliste à l’oeuvre Les Mémoires d’outre-tombe La déferlante du siècle Hugo Père et mère d’une légende pour des siècles La bataille d’Hernani « Notre-Dame de Paris » Hugo en oeuvres Les années Juliette L’entrée en politique L’exil : Les Châtiments, Les Misérables… Vous souvenez-vous ?... Le triomphal retour Chapitre 16 - Poésie

lexique ou des comparaisons. Exemple : [...] L'homme est un apprenti, la douleur est son maître, Et nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert. C'est une dure loi, mais une loi suprême, Vieille comme le monde et la fatalité, Qu'il nous faut du malheur recevoir le baptême, Et qu'à ce triste prix tout doit être acheté. Les moissons pour mûrir ont besoin de rosée ; Pour vivre et pour sentir l'homme a besoin des pleurs ; La joie a pour symbole une plante brisée, Humide encor de pluie et couverte

poésie. Triomphe remis en question par le roman qui devient le grand genre littéraire de 19e. - Le roman à gagner un nouveau lectorat : le public féminin. Balzac développe des thèmes qui intéressent les femmes : question de la femme mal mariée, du malheur conjugal de la femme. Le roman tente aussi d’intéresser le public populaire, d’où une récupération par la littérature classique des procédés populaires : péripéties, utilisation du romanesque, vision manichéenne du monde qui met aussi en scène le

avec elle. MOREL, CHARLES: surnommé Charlie ou Bobette. C'est le fils du valet de chambre de l'oncle Adolphe. Il vient voir le narrateur pour le prier de ne pas faire état de son origine sociale (III, 237) et dans Sodome et Gomorrhe invente que son père était l'intendant des terres de la famille du narrateur. Le baron le rencontre dans une gare près de Balbec; il fait alors son service militaire à Doncières (V-2, 98). Très vite, ils se lient et le baron accepte pour lui de se rendre chez les Verdurin

Chateaubriand ou Hugo Embarquons avec le vicomte de Chateaubriand Voguons vers l’Amérique ! De la révolte à la Révolution « Le Génie du christianisme » Les espoirs déçus Le royaliste à l’œuvre Les Mémoires d’outre-tombe La déferlante du siècle Hugo Père et mère d’une légende pour des siècles La bataille d’Hernani « Notre-Dame de Paris » Hugo en œuvres Les années Juliette L’entrée en politique L’exil : Les Châtiments, Les Misérables… Vous souvenez-vous ?... Le triomphal retour Chapitre 16

sa chair (« joues pleines », « muscles ronds et développés ») voire sa bestialité (« cou large et court, gras et puissant », tel un taureau, « [il] aurait pu assommer un bœuf »). Sur le plan moral, Laurent apparaît comme un homme qui ose défier son père (p. 43), qui assume sa paresse (p. 44) et qui fréquente les femmes (p. 45) : il est donc l’exact opposé de Camille. © Éditions Belin/Éditions Gallimard. culier l’hérédité. Montrez comment les origines de Thérèse expliquent son tempérament nerveux