Le Radeau De La Méduse

manè ge , Manu, mare, mari, marine, Marion (na), M ase rati, me, mécano, médire, méduse, méfier (an ce ), méga, même, mémo, mena ce , ména ge , menu, mère, mérite, mi

médiocrité, enfant bâtard de l'époque, un néant suspendu dont on ne défait point. L'histoire est devenue poussière, à l'image désséchée de la petite embaumée de Strasbourg, et comme elle, rigides et glacés, des lendemains que Vénus a oubliés. Le radeau d'une génération naufragée « Dénégation », « désenchantement », « désespérance » : le préfixe privatif « dé », à lui seul, caractérise bien l'état d'esprit de la génération romantique. Il exprime l'absence, la défaite (telle la mine décomposée d'un

tentatives de Gros, avec des œuvres (« Les pestiférés de Jaffa », 1804 ; « Napoléon à Eylau », 1808) qui par leur mouvement, la liberté des couleurs et le réalisme des figures font de leur auteur l’initiateur d’un mouvement dont Géricault (le « le radeau de la méduse », 1819) fut l’un des principaux représentants. Au salon de 1827, « la mort de Sardanapale » marqua nettement la séparation entre classiques et romantiques. : avec « la barque de Dante » (1822) et « les massacres de Chio » (1824), puis « la

sénateurs », « les mots sont égaux, libres et majeurs ». L’art est lui aussi dissident notamment avec les peintres réalistes qui, malgré tous les dénigrements reçus, renouvellent les thèmes picturaux. C’est le cas de Géricault avec Le Radeau de la méduse , Des raboteurs de parquet de Caillebotte ou de L’Enterrement à Ornans de Courbet où le peuple, la misère entrent en peinture. Le cubisme de Picasso ou les sculptures de Rodin,

Jean-Honoré Fragonard (1732-1806) Le Verrou (vers 1776) EPOQUE CONTEMPORAINE (1789 à nos jours) Néoclassicisme : Jacques-Louis David (1748-1825) Jean-Auguste Ingres (1780-1867) Grande Odalisque (1814) Romantisme : Théodore Géricault (1791-1824) Radeau de la Méduse (1819) Eugène Delacroix (1798-1863) La Liberté guidant le peuple (1830) Impressionnisme : Édouard Manet (1832-1883), Paul Cézanne (1839-1906) Claude Monet (1840-1926), Auguste. Renoir (1841-1919) Post-Impressionnisme : P. Gauguin (1848-1903)

de nouvelle beauté. Les romantiques l’ont d’ailleurs bien prouvé, comme Baudelaire avec le Désespoir de la vieille, ou une Charogne. La nature n’est plus évoquée seulement positivement, elle est terrifiante, négative, dangereuse, laide. Le Radeau de la méduse de Géricault n’est pas une ode à la vie, ni un éloge de la nature. Mais ce tableau renvoie pourtant une grande beauté. La beauté n’est alors plus une notion positive. Les arts visuels se concentrent d’ailleurs maintenant plus sur l’horreur,

intellectuelle au cours de ces années difficiles. L'Eglise retrouve une part importante de son pouvoir :  comme sous l'Ancien Régime, l'éducation est largement dirigée par l'Eglise. 1816 : E.T.A Hoffmann : L'Homme au sable. 1817 : Géricault : Le radeau de la Méduse 1820 : Lamartine : Méditations Poétiques; Walter Scott : Ivanhoé; naissance de Baudelaire 1821 : Carl Maria von Weber : Freischütz; Thomas de Quincey : les confessions d'un mangeur d'opium 1823 : Stendhal : Racine et Shakespeare ; Beethoven

d'un préromantisme pictural à travers les œuvres de Girodet (les Funérailles d'Atala), ou de Gros (Bonaparte au pont d'Arcole). L'esthétique romantique se démarque dans le paysage artistique français, avec l'exposition de deux tableaux, le Radeau de la Méduse de Géricault en 1819 qui frappe l'opinion, étant vu comme une charge contre le régime royal, et La Barque de Dante d'Eugène Delacroix exposé au salon de 1824, et qui se voit confronté à la dernière toile de David Mars désarmé par Vénus. Delacroix

mais surtout parce qu'elle avait été cachée parce qu'à son époque elles étaient immontrables et invendables. FRANCE GÉRICAULT il mourra assez tôt, il peint pendant une dizaine d'années. LE RADEAU DE LA MÉDUSE !!!! C'est un fait divers, naufrage d'un bateau où certain on put se sauver sur un radeau. Les gens meurt et se mange entre eux. Il habite en face d'une morgue et va s'en inspiré pour le réalisme. Il y représente la laideur la souffrance. La composition est très déstructuré et fond tempétueux

modèle. Cela veut dire qu’il faut distinguer la laideur du sujet représenté et la laideur de l’œuvre d’art elle-même (dans ce dernier cas, il s’agit de l’échec de l’œuvre d’art). L’art est donc ce qui peut transfigurer la laideur (exemple : Le radeau de la méduse de Géricault, œuvre splendide qui représente pourtant des cadavres verts ou gris, et une scène dramatique). L’art n’a donc pas pour fonction d’imiter la nature : l’art crée un œuvre originale. Dès lors, ne serait-il pas possible de retourner