Le Rapport De Brodeck Question

Tu lis n'es ce pas ? Un Martine ? Ou un Ange et compagnie ?" dit-il d'un ton moqueur. - " Je vois que tu connais bien le sujet... Tu les a déjà lu combien de fois toi ? A tu toute la collection ?" demanda-t-elle en ricannant. -"Pourquoi cette question ? Tu voudrais peut-être les lire je suppose... Enfin après avoir perdu ton temps a finir Mia et le Migou ou bien Le roman des filles de Natalie Somers." répondit-il avec mépris. - "C'est bien se que je dis tu es très bien informée sur les livres

écriture) - L'Insoutenable légèreté de l'être, M. Kundera - Chroniques des sept misères ou Texaco, P. Chamoiseau (écrivain antillais, très belle écriture) - Stupeur et tremblements, A. Nothomb (ou Hygiène de l’assassin) - Les Âmes grises/ Le Rapport de Brodeck / La Petite Fille de monsieur Linh*, Ph. Claudel. (*Un vieux réfugié du Vietnam arrive en France avec sa petite fille. Fin du roman bouleversante, au propre comme au figuré) - Pars vite et reviens tard, Fred Vargas (et ses autres romans policiers)

Baudelaire Questions étudiées et plans associés : Charles Baudelaire Le vieux saltimbanque : Né le :9 avril 1821 Comment le regard du poète ce déplace t-il de la foule Mort le :31 aout 1867 vers le vieux saltimbanque ? Métier :traducteur, critique d'art, essayiste, poète ➢ I. La foule symbole de joie et de vie : a) Une foule anonyme b) Une impression de vitalité Auteur de : ➢ ➢ ➢ Les Fleurs du Mal A une Madone A une Malabaraise II. Le vieux saltimbanque, triste, seul a) Éloignement géographique

capacités, notamment intellectuelles ; ou bien encore qui est sans grand intérêt. Cependant, certains auteurs de romans ont tenté de passer outre l'opposition apparente de ces deux termes en faisant de personnages médiocres les héros de leurs écrits. Une question se pose alors : Un personnage peut-il être médiocre et héros romanesque simultanément ? Nous verrons premièrement en quoi dans un roman , un héros s'impose puis nous montrerons que le héros peut laisser place à un personnage plutôt médiocre.

Cette question d'apparence évidente ne l'est pourtant pas. En effet chaque auteur a son point de vue particulier sur pourquoi il écrit. Même quand plusieurs écrivains sont d'accord sur cette raison, leurs manières de l'exprimer sont totalement différentes. C'est ces différences qui font la diversité de la littérature. Ainsi plusieurs thèmes reviennent souvent à travers les œuvres et les époques : l'amour, les religions ...et aussi l'Homme. C'est ce dernier thème qui nous amène à cette question. En

lecteur ! Cette liste appelle néanmoins une petite série de mises en garde : il s’agit de textes parfois difficiles de par leur écriture (langue plus ou moins datée, notamment pour ceux du XVIIe siècle) ou leur contenu ; il n’est, donc, évidemment pas question de tout lire d’une traite mais de « papillonner » selon vos goûts et vos accointances littéraires, d’autant plus que vous en étudierez certains - je l’espère ! - au cours de vos études au lycée ; leur lecture ne doit, par conséquent, être ni une

particulièrement de ce qui ne l’est pas et qui dégoûte les gens. Un des poèmes les plus représentatifs de cette volonté est sûrement « Une charogne ». Mais, peut-on dire que dans ce poème, Baudelaire insiste sur la laideur? Afin de prendre position sur cette question, la description de la laideur, celle de la beauté qui peut en sortir et enfin, l’amalgame des deux, qu’on pourrait appeler la vie, seront développés. Il est évident que l’auteur insiste sur la laideur puisqu’il expose toute l’horreur d’une carcasse

I- Après avoir pris connaissance de l’ensemble des textes, vous répondrez d’abord à la question suivante (4 points) : En quoi le personnage central de chacun de ces textes est-il rendu antipathique ? Vous justifierez votre réponse en vous appuyant sur quelques exemples précis. II. Vous traiterez ensuite, au choix, l’un des sujets suivants (16 points) : Commentaire Vous ferez le commentaire de l’extrait des Trois mousquetaires, d’Alexandre Dumas (texte B). Dissertation Julien Sorel,

CLAUDEL, Le Rapport de Brodeck Un soir, alors qu’il vient de pousser la porte de l’auberge du village, Brodeck est sommé par la communauté de raconter ce qui vient de s’y passer. Le narrateur devine, parce qu’il le pressentait, que ce groupe, soudé dans sa dureté, vient de commettre un meurtre et ne veut rien oublier. Il faudra donc écrire un rapport sur l’événement. Pourquoi lui ? Parce qu’il a fait des études et qu’il est payé par une lointaine administration pour rédiger des rapports, sans doute

rapprochant beaucoup plus de la réalité que le roman traditionnel. Nous pouvons donc dire que l'écriture est en continuelle évolution depuis la nuit des temps, comme nous le montre Michel Butor en intitulant l'un de ces romans « La Modification », le rapport entre l'écrivain et le lecteur, ou le lecteur à l'écrivain est en pleins tourment, c'est pour cela que nous allons nous demander en quoi les modifications des romans dans le temps changent-elles les réactions du lecteur ? Nous allons nous intéresser