Le Roi et l'Oiseau

l'eau par elle étant jeté,  Ce fut un promontoire où la fourmis arrive.              Elle se sauve ; et là-dessus  Passe un certain croquant qui marchait les pieds nus.  Ce croquant, par hasard, avait une arbalète.              Dès qu'il voit l'oiseau de Vénus,  Il le croit en son pot, et déjà lui fait fête.  Tandis qu'à le tuer mon villageois s'apprête,              La fourmis le pique au talon.              Le vilain retourne la tête.  La colombe l'entend, part et tire de long.  Le soupé du

guerre tue l’amour et la paix « O mes amis partis en guerre […] meurent mélancoliquement. Le sous-titre du recueil est d’ailleurs « poèmes de la paix et de la guerre ». La colombe est poignardée = l’amour est poignardée, la paix est poignardée. L’oiseau blessé illustre la destruction des relations amoureuses du poète engendrée par la guerre. -La poésie engagée. Hugo et les poètes de la résistance, Aragon, Eluard considèrent la poésie comme un instrument pour soigner les lèpres de la société.

miracles extraordinaires on peut citer que Lorsque sa mère Amina le mit au monde, elle vit jaillir de lui une lumière lui montrant les palais de Chêm, ce signe avait pour but d’indiquer l'universalité de sa mission. Aussi à sa naissance, le palais du roi Khosrô fut ébranlé et quatorze tours en tombèrent. L'écroulement de ces quatorze tours est encore un signe. En effet dix rois et reines furent balayés en un laps de quatre ans, suivis de quatre autres lors du gouvernement des califes. Aussi lors de

(88) : allusion à Roméo et Juliette, à la poésie amoureuse. Coursier (89) : Cheval rapide et fort utilisé en tant que monture de guerre au Moyen-Age. Tarquin (93) : Surnommé Tarquin le superbe à cause de son caractère orgueilleux et violent. Dernier roi de Rome. Ébéniers amers (95) : Ce sont des arbustes. Vierge à la joue empourprée (102) : poésie du Moyen-Age. Éperon (107) : Aide artificielle qui se fixe sur la cheville du cavalier. Troubadours (111) : Poète, compositeur et musicien médiéval. Élégie

Prévert. - Rejoignent le groupe Octobre, théâtre ouvrier. - Paul Grimault : La bergère et le ramoneur (1953). Thème : l’amour, lutte contre un tyran ridicule. Fin changée par les prod, films non accepté par les deux. - 1979, Le Roi et L’oiseau. Récompensé prix Delluc. Ailleurs dans le monde : - Animation canadienne : ONF : Office national du film, permet la recherche d’une foule de créateur dont Norman McLaren. Il dessine directement sur la pellicule, des lignes, des points

donc les longs jours, lumière, amour, délire ! Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire, Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis ! Les peupliers, au bord des fleuves endormis, Se courbent mollement comme de grandes palmes ; L’oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ; Il semble que tout rit, et que les arbres verts Sont joyeux d’être ensemble et se disent des vers. Le jour naît couronné d’une aube fraîche et tendre ; Le soir est plein d’amour ; la nuit, on croit

à minuit le soleil. Si quelqu’un devant eux reçoit un bon visage, Ils le vont caresser, bien qu’ils crèvent de rage, S’il le reçoit mauvais, ils le montrent du doigt. Mais ce qui plus contre eux quelquefois me dépite, C’est quand devant le roi, d’un visage hypocrite, Ils se prennent à rire et ne savent pourquoi. Texte 2. La Fontaine, Fables, 1668-1694, VIII, XIV, « Les Obsèques de la Lionne » La femme du Lion mourut : Aussitôt chacun accourut Pour s’acquitter envers le Prince

14-15: champ lexical de exploitation: opposition entre les deux: les actions du peuple créent du profit et mis en opposition avec le roi qui en profite - “piller”, “convoite”, “luxure”:l.14-15:vocabulaire religieux: le roi est coupable des 7 péchés capitaux - “usez”, “affaiblissez”:l.17-18: mots connotés/antithèse: opposition entre la situation du peuple et celle du roi Mouvement 4:l.19-fin(l.~23): - “Soyez résolus (...) et vous voilà libres.” : l. : rythme binaire: cause => conséquence, il montre

donc les longs jours, lumière, amour, délire ! Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire, Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis ! Les peupliers, au bord des fleuves endormis, Se courbent mollement comme de grandes palmes ; L’oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ; Il semble que tout rit, et que les arbres verts Sont joyeux d’être ensemble et se disent des vers. Le jour naît couronné d’une aube fraîche et tendre ; Le soir est plein d’amour ; la nuit, on croit

lors de l’inscription a un peu fatigué mes nerfs. Ce bijou de ma grand-mère m’est très cher. Tu te mets à rêver à chaque fois qu’il met son costume du roi Louis XIV. m’as/m’a ma  m’avais/m’avait → m’as/m’a (pronom me + auxiliaire avoir)  ta, sa → ma (déterminant) Sophie m’a donné ses livres de français. L’oiseau a mangé dans ma main. m’ont mon  m’avaient → m’ont (pronom me + auxiliaire avoir)  ton, son → mon (déterminant) Je crois que ces étudiants