Le roi s'amuse

de sens, par des clichés [expressions banales et attendues] qui surchargent le texte : « élevés jusqu'aux nues..., ornés de mille colonnes... fontaines d'eau pure». L'auteur, en outre, établit par l'humour une connivence avec le lecteur : on s'amuse de la naïveté de Candide et de Cacambo, qui sont seulement impressionnés par les apparences et se trompent constamment sur la réalité d'Eldorado. La fantaisie des trois hypothèses avancées par Cacambo met comiquement en valeur cette méprise : « Cacambo

d’insistance, hyperbole, une exagération «  beaucoup de monde »la tristesse « chaos de boue » sa représente bien la tristesse, on a l’impression que la ville de paris n’est pas modernisé , et « chaos de neige » sa nous montre la joie car les enfants peuvent s’amuser entre eux .Le mot «  délire officiel » nous montre aussi une grande agitations par les émotions, les passion, ce mot prend 2 sens c’est-à-dire la 1er sens la folie et la 2éme la sens joie, sens de rêve, la société se moque de ce qui se passe a PARIS

anciennes et savantes les 7 arts libéraux (quadrivium : arithmétique, géométrie, astronomie et musique AINSI que le trivium : grammaire, rhétorique et dialectique) tous les domaines (droit, médecine,…) Chevalerie -> défense et aider (pour Rabelais, le roi est pacifiste) Religion (+ la bible dans toutes ses langues d’origine : Grec et hébreux) La forme : enseignement théorique (médecine) ET pratique (dissection) savoir encyclopédique =UTOPIE « science sans conscience n’est que ruine de l’âme » savoir

cadre spatio temporel → La mer avec “homme d’équipage” → Scène fréquente : Présent d’habitude + “Souvent” (1er mot)2-Les personnages → Les marins qui capturent => ennui + immaturité (infinitif de but: “pour s’amuser” => violence + danger (“prennent” donc capturent et métaphore “glissent” pour voguent → L’albatros => insistance sur la taille (vaste : normalement pour 1 lieu et au vers 2 l’albatros occupe tout l’espace) =>

invoquant le nom du dieu. On chante l'hymne à Dionysos On désigne ensuite par le sort, souvent par les dés, qui sera le « roi du banquet », le symposiarque qui définit les proportions d'eau et de vin à mélanger dans le cratère, et définir combien de coupes chaque convive devra boire. On boit à tour de rôle à la santé des autres convives, celui qui désobéit au roi du banquet est puni : il doit par exemple danser tout nu ou faire trois fois le tour de la salle en portant dans ses bras la joueuse

l'horreur, la folie et la monstruosité du personnage. Il se trouve également qu'à un moment la comédienne retourne son sac à dos pour l'accrocher sur son ventre, elle l'ouvre et à l'interrieur se trouve un véritable petit théâtre avec lequel elle s'amuse à nous compter des histoires. Nous voyons ici le coté enfentin et naïf du personnage. Ce qui devait relever de l'horreur, devient donc une image poétique d'un monde réinventé par le regard d'une femme qui ne donnera pas la clefs de ses actes. En

le monde s’avance par deux et est présenté tour à tour. Petite danse spécifique tandis que tout le monde tape des mains. Messager qui accourt avec un message du seigneur soudain. Guenièvre lit le message tandis que tout le monde continue de s’amuser puis part en courant. Scène 2. (Chant) Guenièvre, seule avec une amie. Scène chantée. - « J’ai reçu une lettre, d’un seigneur qui me guette. Il habite à côté, mon père doit le payer.

de II,1, sur quel ton la comtesse dit-elle : "Quoi, Suzon, il voulait te séduire?"; "Et le petit page était présent"? Est-ce surtout le ton de la surprise indignée, la honte d'apprendre que son infortune est connue du petit page? Ou au contraire, s'amuse-t-elle avec sa camériste, sans étonnement excessif, des frasques bien connues d'un mari libertin et de la situation ridicule où il s'est placée en présence de Chérubin? La didascalie : "se jette dans une bergère" est elle-même polysémique : on peut

rhétoriques sont ridicules car l'homme de loi est mort donc il ne peut plus rien ▪ Le langage familier rabaisse et ridiculise les personnages. c)La désacralisation de la mort. Le comique désacralise la mort. Par ailleurs, Hamlet manipule les os, il s'amuse en les faisant parler. En fait, il n'est pas choqué. Les morts sont outragés (= offensés) : - on représente les cadavres - on les balance (outrage physique) - on les traite de « caboche », « couvercle » (« ordure ») → la mort est désacralisée

La loi du roi BorisChapitre 1Le roi Boris n’aime pas travailler, il aime juste dessiner sa signature sur des papiers, qu’il ne lit même pas. Le roi veut donner l’impression au gens qu’il travail donc, il reste dans son bureau à s’ennuyer. Pour faire passer son ennui il eu l’idée de courir à la bibliothèque pour chercher son livre, « Le Grand Livre De La Guerre ».Chapitre 2Igor, le fils du roi, veut jouer a son père mais se dernier a trop de travaille. La femme rit de se que dit son mari. Monsieur