Le Roman Nous Rapproche Ou Nous éloigne T Il De La Réalité

montrer que l'on peut trouver dans cette œuvre des aspects poétiques, théâtrales et fictionnels, et ainsi de se convaincre du mélange des genres qui est à l'œuvre tout au long du livre, ce qui permettra de confirmer ce que l'auteur pense de son roman. Poésie : Il y a bien dans Enfance certains éléments que l’on peut clairement identifier comme poétiques. En effet, on peut dire que contrairement à ce que l’on pourrait attendre d’une autobiographie classique, Nathalie Sarraute ne tente pas

voire tragique ? Une représentation grotesque fait rire mais nous inquiète, nous dérange, nous déstabilise. Première spécificité du grotesque. Certaine variante sont là pour nous conforter dans nos normes et habitudes. Ce genre de comique, très éloigné du grotesque, prône un rire qui nous rend supérieur. Au contraire, face à un objet grotesque, nous allons rire mais nous ressentirons en même temps un malaise, on se sait plus si le rire est libérateur ou anxiogène. Pour que ce soit du grotesque doit

beauté 1 (a) Le kitsch (Kundera) 1 (b) Le beau est toujours bizarre (Baudelaire) 1 (c) Dionysiaque et apollinien (Nietzsche) 1 (d) Beauté et utilité (Gautier) 1 (e) Beauté et mysticisme (Platon, Baudelaire, Mallarmé…) 1 B. Le vrai 1 1. L’art nous éloigne de la vérité car les apparences sont trompeuses (Platon, Nietzsche) 1 2. L’imitation de la nature est un moyen d’accès à la vérité (Aristote) 1 3. Mentir pour faire vrai (impressionnistes, Maupassant) 1 4. L’expressionnisme (Van Gogh) 1 5. L’expression

Le kitsch (Kundera) 14 (b) Le beau est toujours bizarre (Baudelaire) 15 (c) Dionysiaque et apollinien (Nietzsche) 15 (d) Beauté et utilité (Gautier) 16 (e) Beauté et mysticisme (Platon, Baudelaire, Mallarmé…) 17 B. Le vrai 18 1. L’art nous éloigne de la vérité car les apparences sont trompeuses (Platon, Nietzsche) 18 2. L’imitation de la nature est un moyen d’accès à la vérité (Aristote) 19 3. Mentir pour faire vrai (impressionnistes, Maupassant) 20 4. L’expressionnisme (Van Gogh) 21 5

Nathalie Sarraute, Enfance :       Engagée dans l’aventure du Nouveau Roman dont elle était la doyenne, Nathalie Sarraute s’est d’abord fait connaître comme romancière, comme critique, puis comme dramaturge.    Elle est née à Ivanovo en Russie en 1900. Elle décède à Paris en 1999.    Elle est notamment l’auteure de Tropismes, Portrait d’un Inconnu ou L’Ere du soupçon.      Concernant Enfance il n’y a pas d’ambiguïté dans le titre : l’œuvre a bien pour sujet principale  l’enfance de Nathalie

auteurs tels que Maine de Biran, Alfred de Vigny et Benjamin Constant ont écrit des journaux intimes. “ C´est en nous-mêmes qu´il faut descendre, c´est dans l´intimité de la conscience qu´il faut habiter, pour jouir de la vérité et atteindre à la réalité de toute chose”. Maine de Biran Les mémoires, quant à eux, retracent une subjectvité. Il ne s´agit plus d´un compte rendu journalier, mais plutôt d´un récapitulatif tardif d´une partie de sa vie. Il s´agit presque d´une confession de sa personne

restitution des droits de la grande noblesse (Louis XIV a supprimé les droits de la noblesse; il a restraint leur privilèges → Phillipe d'Orléans a fait le contraire et a rétabli la gloire de la noblesse) il installe sa résidence à Paris (pour se rapprocher au peuple) expérience d'autres pays (Angleterre) l'apparition des idées impies (bezbožne) et matérialistes (athèisme) – Newton, sciences (l'esprit de révolte contre l'Église → examination des dogmes → sensualisme/John Locke) les persecutions

culminant de complexité. La fameuse Joconde de Léonard de Vinci est probablement l’un des meilleurs exemples pour illustrer cette première réalité, étant le pilier d’une nouvelle précision dans l’art pictural. Le roman d’Emily Brontë Les hauts de Hurlevent, quant à lui, est parfait en ce qui a trait au mélange des genres déjà explorés. En effet, Brontë crée un roman complexe et foisonnant, où se côtoient nombre de personnages aux caractères originaux. L’une des facettes les plus intéressantes de son

sur le mode fantastique : le fantôme de Camille est plus présent que Camille vivant. Au début du passage, Laurent a « peur du noyé ». Le fantôme se manifeste sous la forme de « la face verte et ignoble de sa victime ». Cette dernière prend plus de réalité encore aux yeux de Thérèse puisque le narrateur note « des envies de se jeter à genoux et d’implorer le spectre de Camille ». En se débarrassant du mari gênant, les deux complices en ont fait un être surnaturel qui n’existe bien sûr que dans leurs

statut singulier du personnage : le condamné à mort. Avant tout, on doit souligner l'originalité de Victor Hugo dans la mesure où il met en place, dans son œuvre, un nouveau mode d'écriture qui s'articule autour du je. Ce roman à la première personne n'a rien à voir avec le roman par lettres, ou encore l'autobiographie telles que Les Confessions de Rousseau. Le je du Dernier jour d'un condamné n'est ni autobiographique, ni lyrique, ni fictionnel. En fait, on note, dans la relation auteur/ narrateur/