Le Rouge Et Le Noir Portrait De Julien Sorel

roman L’incipit du roman (p.15-16) constitue un début programmatique. Alors que nous faisons la connaissance du personnage principal, de nombreux détails de la suite du roman nous sont annoncés. On y trouve de les principaux thèmes de l’œuvre : le portrait en mouvement de Duroy (tout au long du roman, Duroy est souvent présenté en action, pour illustrer son ambition), très en appétit (désir d’argent, ambition sociale, désir de conquêtes féminines) et très envieux des autres ; l’importance de l’argent

roman L’incipit du roman (p.15-16) constitue un début programmatique. Alors que nous faisons la connaissance du personnage principal, de nombreux détails de la suite du roman nous sont annoncés. On y trouve de les principaux thèmes de l’œuvre : le portrait en mouvement de Duroy (tout au long du roman, Duroy est souvent présenté en action, pour illustrer son ambition), très en appétit (désir d’argent, ambition sociale, désir de conquêtes féminines) et très envieux des autres ; l’importance de l’argent

que ce fût, cessant en même temps de voir quoiqu'il s'efforçât de garder les yeux ouverts et de se tenir le plus droit possible sur sa selle tandis que l'espèce de vase sombre dans laquelle il lui semblait se mouvoir s'épaississait encore, et il fit noir tout à fait et tout ce qu'il percevait maintenant c'était le bruit, le martèlement monotone et multiple des sabots sur la route se répercutant, se multipliant (des centaines, des milliers de sabots à présent) au point (comme le crépitement de la pluie)

“l’exigence sociale obsessionnelle de santé individuelle” qui explique cette fascination renversante pour la violence et les faits divers.   Le rouge et le noir, STENDHAL Cette œuvre a été éditée en 1830 (au XIXème siècle). Le roman compte deux parties : la première retrace le parcours provincial de Julien Sorel, son entrée chez les Rênal et la montée de ses ambitions au séminaire. La deuxième, elle, raconte la vie du héros à Paris, comme secrétaire de Monsieur de la Mole et

la couleur de ses cheveux. Le seul portrait se limite à son visage en forme de fer de lance. 2) Le silence est un moyen pour donner de l’épaisseur à un personnage. Ex. : Le personnage peut s’imposer par sa présence mutique comme les hôtes obligés d’accueillir l’officier allemand dans Le Silence de la mer de Vercors. Ex. : Au cinéma, Jean-Pierre Melville s’est rendu maître dans le recours au silence : ses héros, souvent des gangsters (Le Cercle rouge, Le Samouraï) ne disent quasiment rien

“dehors” contemporain. Hérédia se perfectionne dans l’art du sonnet dans Les Trophées, et travaille notamment le dernier vers dans un souci de beauté formelle. Ainsi, dans “Soleil couchant”: “Et le soleil couchant[...] / Ferme ses branches d’or de son rouge éventail”. Théodore Banville, le jongleur verbal de L’Ode funambulesque, a également mis en avant l’intérêt et la valeur de la rime, ce que Verlaine rejettera au bénéfice de l’assonance. Ce souci de perfection verbale et esthétique, cette recherche

la couleur de ses cheveux. Le seul portrait se limite à son visage en forme de fer de lance. 2) Le silence est un moyen pour donner de l’épaisseur à un personnage. Ex. : Le personnage peut s’imposer par sa présence mutique comme les hôtes obligés d’accueillir l’officier allemand dans Le Silence de la mer de Vercors. Ex. : Au cinéma, Jean-Pierre Melville s’est rendu maître dans le recours au silence : ses héros, souvent des gangsters (Le Cercle rouge, Le Samouraï) ne disent quasiment rien

Chapitre 3 > À quel courant rattacher Thérèse Raquin ? A ..................... 111 Roman réaliste ou naturaliste ? Lecture analytique n°3 : « La vie d’un employé de bureau » (ch.III) B C Thérèse Raquin : roman policier ou roman noir ? Au-delà des classements : autres spécificités de l’ouvrage Lecture analytique n°4 : « Un dimanche à Saint-Ouen » (ch. I) > Fiches Méthode ....................................................................................................

l'auteur étant de former et de faire l'éducation de l'individu d'où son implication personnelle quand il parle de son goût pour les voyages et les livres ; en particulier les auteurs Antiques qui auront influencés son œuvre. Il dessine également son portrait moral. En effet, l'auteur est en horreur de la cruauté et du mensonge et prône ainsi la paix et la tolérance. Il a un sens profond de la fidélité. Malgré tout, il ne se présente pas comme un modèle. Son simple désir est de se chercher, de se connaître

c’est là la loi du capitalisme qui sévit. Dans Les illusions perdues, Balzac aborde, d’ailleurs, le problème du statut de l’écrivain, du rapport qu’il y a entre l’homme et l’œuvre dans une société régie par la loi capitaliste. Il brosse ainsi un portrait critique de l’institution littéraire de son temps mettant bien en relief une littérature malade, dominée d’un bout à l’autre par la seule loi économique. Notons encore que les « cabinets de lecture » dits « cabinets littéraires » voient le jour.