Le Rêve Incipit Zola

l’entourent, créant deux mondes distincts. On pressent que la rencontre de Frédéric avec Mme Arnoux, simple jeu d’observation dans ce passage, ne restera pas sans conséquences. Le traitement de cette scène qui repose essentiellement sur la substitution du rêve à la réalité annonce l’attitude future du personnage en même temps qu’il poursuit cette thématique flaubertienne. Pour le commentaire... L’Éducation sentimentale (1869), I, 5 • Dans les deux premiers paragraphes, la sensibilité du protagoniste est

d’amplification se situent en fin de paragraphes, afin de ponctuer le discours par des moments forts. c. Ces figures de style donnent à ce discours une ampleur oratoire qui vise à frapper l’assemblée. 6 Commenter des figures d’analogie a. Le texte de Zola multiplie les figures d’analogie notamment les comparaisons « comme deux cœurs  jumeaux  », «  comme le sang dans ses veines », « pareilles à des bras convulsés », « prenait l’affreuse tristesse d’un cadavre humain », et les métaphores « une petite

métamorphose de l'élément et le virage progressif à l'angoisse de la grosse gaieté partagée. C'est aussi l'époque des rencontres hebdomadaires avec Zola, d'abord à Paris, au café Trapp, où l'auteur de Germinal réunit chaque jeudi un cénacle d'amis écrivains, puis, grâce au succès de l'Assommoir, dans 25 la vaste demeure de Médan, près de la Seine, que Zola apprendra à connaître à bord du chasse-canard, "Nana", choisi et baptisé par Guy. En 1880, Flaubert donne le feu vert pour l'édition. Paraissent

cornée s’était faite cornue et, par une alchimie inconnue, il allait rendre au monde à centuples coups de brosse ce que le monde lui avait offert de vibrations, de visions, de turbulences, d’apparitions et de secrets. » L’œuvre est vivante, ouverte au rêve, à l’interprétation. Cf. église d’Auvers et ses possibles lectures : p. 43-44. • Dans Renommer, présence aussi de la peinture dans l’article sur le Carpaccio : référence aux noms de peintres devenus des noms propres ou des adjectifs. La peinture

vécu à la même époque que Maupassant, ils ont tous deux dix ans d’écart. c) Ce tableau est impressionniste. Monet est le chef de file du mouvement pictural (de peinture) qui s’appelle l’impressionnisme. Ce mouvement est souvent contesté et Émile Zola défend les peintres impressionnistes avec force. 2- Le tableau représente un voilier. 3- a) Au premier plan, se trouve la Seine. Au second plan, se trouve le voilier. À l’arrière-plan se trouvent des habitations et un paysage de campagne

sensations premières en les éveillant par ses images. L'exploration poétique se veut en effet connaissance de l'homme et du monde par l'imagination et le rêve qui entend percer le secret des choses. Donc le poète se veut penseur, se déclare prophète, se nomme voyant, interpelle les hommes et a pour but l'enseignement 1.3. c. L'invention: Qu'il se rêve inspiré par les dieux, par la muse ou par sa propre expérience intérieure, le poète est un artisan du langage. Le lieu central de sa création est l'univers

désert 3. Le détour initiatique : le sacrifice de l’élan. 2. L’analyse de la séquence n°1 : l’appel de la nature Objectif : En quoi le détour par la nature comporte-t-il un risque potentiel ? Questions : Quelles sont les caractéristiques de cet incipit ? En quoi ce début de film s’inscrit-il dans le thème du détour ? L’analyse de cette première séquence permet de d’étudier le portrait de Chris McCandless et la vision de la nature qui l’entoure, à la fois inquiétante et séduisante 1. Un personnage

interdit jusqu'à une sortie au théâtre. C'est donc à travers les horaires des trains qu'il voit Balbec et surtout Venise. À cette partie fait écho la partie "Nom de pays: le pays". Ce parallèlisme souligne la déception naissant de la confrontation du rêve à la réalité brute. Seul l'art est capable de réanchanter les paysages et de les rendre à la hauteur des espérances du narrateur (par exemple, les peintures de Balbec par Elstir dans À l'ombre des jeunes filles en fleur). C'est à partir "Nom de pays :

il est maître du monde …»². Ce phénomène ne date pas seulement d'aujourd'hui, mais cela remonte au début du XXème siècle voire même plus loin, vers la fin du XIX siècle avec les grands chefs-d'œuvre de l'époque, notamment avec Balzac, Flaubert, Zola, Stendhal et beaucoup d'autres, non seulement au niveau de la littérature française mais aussi dans la littérature dite francophone comme la littérature maghrébine au début du XX siècle. En effet, à partir de 1945, les auteurs maghrébins entreprennent

qu’en peinture. Le réalisme au sens large caractérise déjà vers 1830 les romans de BALZAC ou de STENDHAL (marqués par le romantisme, mais qui représentent la société réelle), et le mot sera appliqué à FLAUBERT (Madame Bovary, 1857). Le naturalisme de ZOLA (vers 1880) définit plus rigoureusement cette esthétique de la vérité en se référant au modèle des sciences expérimentales. • L’Art pour l’Art (1850-1880) et le symbolisme (1880-1900). Le mouvement de l’Art pour l’Art prétend réagir aux prétentions