Le Salaire de la peur

primaires origine= richesse créée par entreprises lors production: valeur ajoutée -salariés: apportent travail (salaire) -actionnaires: apportent leurs capitaux (dividendes= part du bénéf) -banquiers: prêtent argent -Etat: préleve impôt sur bénéf -entreprise: met argent en réserve pour s'autofinancer(puiser ds capitaux) ●revenus ménages sont principal. revenus de activité du travail= salaire aussi: -revenus propriété= loyer, interêt(placement) -revenus mixtes= revenus entreprise individuelle

du partage de la VA au détriment des salaires et au profit des actionnaires et des plus hauts salaires. * Démantèlement des syndicats et Etat-providence surtout dans les pays anglo-saxons (Reagan et Thatcher). B. Déclanchement de la crise Il est du à 3 facteurs articulés ensemble : * Le partage de la VA au détriment des salaires * L’endettement des ménages articulé à la dérégulation * La PM active 1. Baisse de la part des salaires dans la VA * Baisse de la consommation

Afin de comprendre les représentations sociales concernant les travailleurs pauvres nous avons choisi d’interroger des cadres. Nous pensions en effet que les cadres évoqueraient des idées intéressantes sur les travailleurs pauvres puisqu’eux ont un salaire plutôt élevé. Nous avons été cependant étonnées du nombre de personnes interrogées qui se sont identifiés à cette population grâce aux images de la planche inductive. Nous avons ainsi interrogés huit cadres de 25 à 45 ans en leur montrant la planche

l’enjeu de la méritocratie pour l’école et la société en nous appuyant sur les théses de Bourdieu et de Passeron, puis dans une seconde partie nous étudieront l’intériorisation des individus sur la méritocratie scolaire avec la relation diplôme, salaire et emploi et comment les individus définissent cette conception. Comme nous l’avons vu dans l’introduction le système éducatif français est basé sur la méritocratie c'est-à-dire sur le mérite personnel et l’égalité des chances au départ. Seul

définition du travail est plutôt péjorative. Pour lui le travailleur cherche a maximiser son bien être. Son seul interet et le salaire. Il oublie l’aspect social, l’esprit d’équipe qu’on peur retrouver au travail dans sa définition. Pour lui le travailleur n’est qu’une sorte de consommateur qui vient travailler par obligation pour y trouver a la fin son fruit : le salaire. Le travailleur oublie la chance qu’il a de travailler, c’est un individu rationnel qui va chercher a maximiser ses profits, il

Taylor dès 1904 La doctrine sociale de Taylor, c'est-à-dire, l’idée, attribuée à tort à Ford même s’il l’a bien mise en pratique, d’une convergence des intérêts des ouvriers et du patronat en une production efficace permettant la distribution de salaires élevés. Une acceptation plus large, finissant par désigner toute forme de rationalisation ou d’organisation scientifique du travail au XXe siècle. Ces trois acceptations du taylorisme organisent les propos de ce cours I- Le taylorisme : un

produits étrangers. On peut alors parler d’esprit libéral : « A compter du 1er avril 1791, il sera libre de faire tel négoce ou d’exercer telle profession ou tel métier que l’on trouvera bon ». L’organisation des travailleurs est aussi supprimées, les salaires ne sont plus fixes et tendent à diminuer : la main d’œuvre est plus que suffisante (paysans sans terre...), le régime coopératif est supprimé en France en 1791, ainsi que les organisations ouvrières. L’économie de marché induit un «laisser

patrons et des banques est une résistance par rapport à la prise de risque car cette industrie demande de plus en plus de moyens financiers. Il faut des investissements de plus en plus importants. Il y a une peur de l’endettement. Du point de vue des ouvriers, le machinisme présente une peur du chômage technologique c'est-à-dire que les machines vont prendre l’emploi des ouvriers, cela a entraîné de fortes réactions, des émeutes. Ce mouvement de lutte est appelé le ludisme c'est-à-dire que les ouvriers

poste. De plus ces employés de maison qu’on pourrait qualifier de victimes, son souvent l’objet de châtiments corporels ou d’abus dans la majorité des cas, sexuels. Fréquemment obliges de travailler, parfois plus de 15 heures par jour pour des salaires de misères, qui d’ailleurs ne sont souvent pas payés intégralement, elles sont aussi privées de congés et de repos, et même séquestrées avec une interdiction formelle de communiquer avec l’extérieur et la famille elle même. De ceci en découle notre

radical, en 1917 qui rétablit l’ordre et assure la victoire.  reprise des affrontements politiques entre la droite et la gauche accusée de vouloir propager la révolution en France. - Victoire de la droite, le Bloc national en 1919, jouant sur la peur d’une révolution bolchévique. Le Congrès de Tours en 1920 Pour adhérer à la IIIe Internationale, créée par Lénine en 1919, il y a 21conditions à accepter, les dirigeants de la SFIO (Section française de l’Internationale ouvrière, nom du parti