Le Sillon

toujours plus éprise, Prodigue les senteurs, et, dans la tiède brise, Envoie au renouveau ses baisers odorants; Tous ces bouquets, azurs, carmins, pourpres, safrans, Dont l'haleine s'envole en murmurant: Je t'aime! Sur le ravin, l'étang, le pré, le sillon même, Font des taches partout de toutes les couleurs; Et, donnant les parfums, elle a gardé les fleurs; Comme si ses soupirs et ses tendres missives Au mois de mai, qui rit dans les branches lascives, Et tous les billets doux de son amour bavard

qui écrivent des chansons d’amour (J. Brel) Des trains sifflaient de temps à autre et des chiens hurlaient de temps en temps. Elle travaille vingt-six heures par jour, huit jours sur sept. Tiens v’là l’bonheur Tout pomponné (Michel Rivard) Mon sillon ? Le voilà. Ma gerbe ? La voici. (Victor Hugo) Je n’ai pas eu le temps de dîner, je meurs de faim. L’habitude venait me prendre dans ses bras (Marcel Proust) Les femmes le disent. Les tests le prouvent. (pub) La jalousie me frôla, m’invita à la

insectes, les mammifères, les oiseaux.... et peut aller féconder des fleurs très éloignées.... Comment déterminer un pollen ? (réponse en observant les préparations microscopiques fournies) Le nombre de loges (sphères), les ornementations (les sillons), les pores, la forme, la taille.... En botanique on détermine des association polliniques dans des sédiments afin de déterminer les conditions climatiques dans lesquelles le sédiment s'est déposé. La méthode ne fonctionne guère que pour le Quaternaire

C'est le moment crépusculaire.J'admire, assis sous un portail,Ce reste de jour dont s'éclaireLa dernière heure du travail. Dans les terres, de nuit baignées,Je contemple, ému, les haillonsD'un vieillard qui jette à poignéesLa moisson future aux sillons. Sa haute silhouette noireDomine les profonds labours.On sent à quel point il doit croireA la fuite utile des jours. Il marche dans la plaine immense,Va, vient, lance la graine au loin,Rouvre sa main, et recommence,Et je médite, obscur témoin,

lui fend. Si tost que tu es arrosée Au point du jour, de la rosée, Tu fais en l'air mile discours En l'air des ailes tu fretilles, Et pendue au ciel, tu babilles, Et contes aus vens tes amours. Puis du ciel tu te laisses fondre Dans un sillon vert, soit pour pondre, Soit pour esclorre, ou pour couver, Soit pour aporter la bechée A tes petis, ou d'une Achée Ou d'une chenille, ou d'un ver. Lors moi couché dessus l'herbette D'une part j'oy ta chansonnette ; De l'autre, sus du poliot

la pyramide nasale se présentant sous forme d’un triangle isocèle dont la base égale la hauteur. La distance séparant l’implantation des deux ailes du nez et la hauteur de la columelle (ou sous-cloison) sont égales. • Le sillon naso-labial (ou naso-génien) forme un sillon profond entre l’aile du nez et la joue, descendant vers l’angle de la bouche. Morphologie du nez3. VASCULARISATION ET INNERVATION • Les artères proviennent de l’artère faciale. • Les veines : le réseau veineux particulièrement

dessin destiné à enrayer la misère du monde, vous pouvez toujours réussir à arracher un sourire à quelqu’un qui est en train de pisser ! Je conseille à tout le monde de faire des graffiti, ne serait-ce que parce que c’est toujours intéressant de sillonner une ville en recherchant de nouveaux endroits et en se demandant comment on peut les transformer. De même, si jamais vous êtes du genre à vous ennuyer au musée, vous ne vous ennuierez plus du tout si vous y venez avec votre propre œuvre dissimulée

Garnier III – L’organisation de l’arc réflexe à l’échelle cellulaire 1. L’organisation d’un centre nerveux, la moelle épinière Coupe transversale de moelle épinière observée au microscope optique Face dorsale Sillon dorsal Substance grise Substance blanche méninges Face ventrale Sillon ventral La moelle épinière est un long tube d’environ 1 cm de diamètre logé dans le canal rachidien constitué par les vertèbres. La substance blanche La substance grise Zoom sur la substance grise La

Il fait froid L'hiver blanchit le dur chemin Tes jours aux méchants sont en proie. La bise mord ta douce main ; La haine souffle sur ta joie. La neige... Ferme ta porte à emplit le noir sillon. La lumière est diminuée l'aquilon ! Ferme ta vitre à la nuée ! Et puis laisse ton coeur ouvert ! Le coeur, c'est la sainte fenêtre. Le soleil de brume est couvert ; Mais Dieu va rayonner peut-être ! Doute du bonheur, fruit mortel ; Doute de l'homme plein d'envie ; Doute du prêtre et

décrivait ce haillon , qu'un homme d' imaginations aurait pu prendre cette vieille tête pour quelque silhouette due au hasard , ou par un portrait de rembrandt , sans cadre. Les bords du chapeau qui couvraient le front du vieillard projetaient un sillon noir sur le haut du visage . Cet effet bizarre quoi que naturel , faisait ressortir , par la brusquerie du contraste , les rides blanches , les sinuosités froides , le sentiment décoloré de cette physionomie cadavéreuse. Enfin , l'absence de tout