Le Soignant Face à La Mort

Groupe de parole de soignants en milieu hospitalier : la souffrance, cause commune ? Danièle Leboul[1] Participer à l’atelier qui nous réunit ce matin, m’a donné l’occasion de retravailler une question qui me tient à cœur depuis que j’anime des groupes de paroles composés de professionnels soignants en milieu hospitalier. Cette question est la suivante : pourquoi le groupe de parole peut-il être un vecteur de l’allègement de la souffrance des soignants ? Dans quelles conditions trace-t-il la

hospitaliers et en résidence pour personne âgée. Les premiers qui se trouve face à cette mystérieuse et inconnue étape finale de la vie, sont les infirmiers accompagnés souvent par des étudiants. Un grand nombre de fois désarmés « ne plus savoir quoi faire » devant la souffrance, la colère, la crainte suivit par le désespoir et la peur des patients en fin de vie. Cette situation je l’ai rencontré lors de mon troisième stage effectué à la résidence Diane Benvenuti – Fondation de Rothschild. Les deux

INTRODUCTION : « Environ 58% des français meurent dans un établissement de santé »1. Cette source est un rapport officiel sur la mort à l’hôpital établi, par des membres de l’inspection générale des affaires sociales. Ce pourcentage montre que la mort et la fin de vie sont présentes dans la moitié des cas en établissement de santé. J’ai été confronté lors d’un stage, à une situation en fin de vie. Cette situation m’a posé énormément de question. Elle décrit un patient accompagné de son épouse, dans

jour, un médecin constatera que mon cerveau a cessé de fonctionner et qu’irrémédiablement ma vie s’est arrêtée. Quand cela arrivera, voici mon testament : -Donnez mes reins à celui qui, jour après jour, semaine après semaine, va devoir pour vivre resté attaché à une machine. -Donnez ma vue à un homme qui n’a jamais regardé le soleil se lever, n’a jamais pu voir le sourire d’un enfant ou l’amour dans les yeux d’une femme. -Donnez mon cœur à une personne à qui le sien n’a jamais procuré que des souffrances

A- Introduction La situation que je vais vous présenter est une situation relationnelle que j’ai vécu lors de mon second stage au Château de Bassy à Mussidan. J’ai choisie cette situation la car elle ma beaucoup touchée, remis en question et surtout ma énormément marquée. Ce n’est pas une situation de communication mais une situation d’écoute. « Ecouter c’est se mettre à disposition de l’autre, dans ce qu’on appelle une neutralité bienveillante, en évitant tout jugement préalable, toute

Fiche de lecture Une ethnologue à l’hôpital, l’ambiguïté du quotidien infirmier Auteure : Anne VEGA. Editions des archives contemporaines. Date de parution : 2000. Nombre de pages : 212. AUTRES OUVRAGES DE L’AUTEURE : Soignants/soignés. Pour une approche anthropologique des soins infirmiers, De Boeck Université, 2001 Dans les cuisines des ministères, hachette littérature, 2003 PRESENTATION DE L’AUTEURE : Anthropologue de la maladie, Anne Vega est l'auteure d'une thèse de doctorat sur le groupe des

• Pourquoi avoir choisi le métier d'Aide-soignant ? J’ai choisi ce métier tout simplement car j’aime aider les gens. C’est un métier qui demande de la patience et le don de soi ; de plus ce métier demande de grandes qualités humaines et le respect des autres mais surtout « l’amour des autres Être à l’écoute, répondre aux besoins du patient, l’accompagner, c’est ce qu’il me plait. • Comment vous êtes-vous organisé pour vos révisions ? Je me suis inscrite tout d’abord sur le site e-sante.fr pour

de Hennezel est une psychologue et psychothérapeute française née à Lyon le 5 août 1946. ,Elle est titulaire d'un DESS de Psychologie et d'un DEA de Psychanalyse. Elle a travaillé pendant dix ans dans la première unité de soins palliatifs de France, créée en 1987 à l'Hôpital international de la Cité universitaire de Paris. Elle anime des conférences et des séminaires de formation à l'accompagnement de la fin de vie en France et à l'étranger. En 1992, elle fonde avec Jean-Louis Terrangle l'Association

.....................................................…...3 A. Environnement B. Humain 1) La personne soignée 2) L’aide-soignante 3) Moi-même II. Présentation de la situation relationnelle 4 A. La conversation III. Analyse de la situation 6 1) Points positifs 2) Points négatifs 3) Facteurs favorisants 4) Facteurs défavorisants IV. Mes solutions éventuelles. 9 1) La transposition de la vie personnelle au travail 2) Madame B. face à son « anxiété», sa « dépression » et sa « souffrance » V. Mon

mon stage s4 dans une unité de neurologie. Les personnes concernées lors de cette situation sont 2 infirmières et 2 aides soignantes soit 1 infirmière et 1 aide soignante qui faisaient partis de l’équipe du matin et 1 aide soignante et 1 infirmière de l’équipe de l’après midi, moi-même (esi 2éme année) et la patiente. Au sein du service les infirmière et les aides soignantes travail en binôme. La situation se déroule au près de Madame D, âgée de 75 ans mais paraissait plus jeune, présente dans le