Le Spectre

relation  = /a, la signification et l’unité de chaque terme.  Définir une lumière monochromatique et une lumière polychromatique.  Connaître les limites des longueurs d’onde dans le vide du spectre visible et les couleurs correspondantes.  Situer les rayonnements ultraviolets et infrarouges par rapport au spectre visible.  Savoir que la lumière se propage dans le vide et dans les milieux transparents.  Savoir que la fréquence d’une radiation monochromatique ne change pas lorsqu’elle passe d’un milieu

On peut remarquer aussi que les voyelles ne sont pas données dans l’ordre alphabétique habituel. Volonté de terminer sur l’Oméga, dernière lettre de l’alphabet grec dont la symbolique est importante? Souhait de placer les couleurs dans l’ordre du spectre lumineux? A partir du vers 3, en une série de phrases nominales, le poète développe ces premières correspondances, associant aux voyelles d’autres perceptions sensorielles (synesthésies). A le “noir corset velu” met en évidence par antéposition

concentration de la solution (en mol.L-1) e : coefficient d'extinction molaire (en L.mol-1.cm-1) e dépend de la nature de la solution et de la longueur d'onde On retiendra simplement que : A = k x C 2) Mise en oeuvre On trace tout d'abord le spectre d'absorption A = f( λ ) afin de déterminer le maximum d'absorption λ max. Cette longueur d'onde lmax est directement liée à la substance étudiée et à sa couleur éventuelle. En effet, la radiation préférentiellement absorbée correspond à la couleur

litre de solution • Concentration massique: g.L-1 – M : masse de soluté en g – V volume de la solution en L • Une solution est colorée si l’espèce solvatée absorbe un domaine de longueur d’onde • Une solution incolore est transparente pour tout le spectre visible • Remarque : la nature du solvant peut modifier la couleur • Concentration molaire : mol.L-1 – n : quantité de matière en mol – V volume de la solution en L On irradie l’échantillon étudié avec une source monochromatique Approche historique:

CRÉATION DE GRAPHIQUES AVEC EXCEL Première partie - Spectre d'absorbance Les données du Tableau I ci-dessous sont utilisées pour déterminer le spectre d'absorbance du bleu de bromophénol. Tableau I. Absorbance du bleu de bromophénol à différentes longueurs d'onde. Longueur d'onde (nm) Absorbance 450 0,107 ± 0,001 470 0,113 ± 0,001 490 0,141 ± 0,001 510 0,209 ± 0,001 530 0,360 ± 0,001 550 0,506 ± 0,001 570 1,800 ± 0,001 590 1,950 ± 0,001 610 0,584 ± 0,001 630 0,115 ± 0,001 *** À tout moment, utilisez

ondes électromagnétiques perçues par la vision humaine, c'est-à-dire dont les longueurs d'onde dans le vide sont comprises entre 380 nm (violet) et 780 nm (rouge)1. Par un effet d'adaptation des espèces vivantes à leur environnement, cette région du spectre électromagnétique recoupe celle où l'éclairement énergétique solaire est maximal à la surface de la Terre2. La discipline qui étudie la lumière est l'optique. Comme les lois de la propagation de la lumière sont largement semblable à celles des

L’œil n'est sensible qu'à une toute petite partie de ces rayonnements. En effet, nous ne voyons que les radiations dont la longueur d'onde est comprise entre 400 et 780 nm. La lumière est dite blanche lorsque son spectre se compose de toutes les radiations du domaine du visible Le spectre de la lumière visible et les longueurs d’onde correspondantes (Schéma réalisé avec illustrator) Nous voyons les objets parce qu'ils nous renvoient de la lumière qui est captée par des récepteurs situés au niveau

longueur d’onde et la puissance du champ. En fonction de leur longueur d’onde (ou de leur fréquence) les ondes portent des noms différents. Elles possèdent toutes des caractéristiques et des utilisations industrielles propres. En les classant sur un spectre électromagnétique, c'est-à-dire des plus basses fréquences aux plus hautes fréquences, on trouve : Les ondes radio de basse et très basse fréquence (découvertes fin XIXème par Alexandre Popov, Heinrich Hertz, Édouard Branly et de Nikola Tesla)

Le coefficient de dispersion "£i" dépend des facteurs suivants [Goulden, 1958] : (a) la relation entre la granulométrie et la longueur d'onde employée ; (b) les indices de réfraction ; (c) l'absorption de la lumière, en général négligeable dans le spectre visible. Cahier FIRP F552A 2 Méthodes d’analyse granulométrique Van de Hulst [1957] a calculé que pour des émulsions qui ne présentent pas d'interférence entre les gouttes : £=2-4 (sen ß) (1-cos ß) ß +4 ß2 où ß (radiant) = 2 π a (n* - nº) /

Newton approfondit cette expérience en concluant que le rayon rouge était moins dévié que le rayon violet et par conséquent en déduisit que la lumière change de direction en fonction du milieu traversé. Le nom donné a ce rayon multicolore est un spectre de la lumière visible qui, dans l'ordre du moins dévié au plus dévié est du rouge au violet. Cette déviation a pour nom la réfraction. Il a également montré que la lumière colorée ne modifie pas ses propriétés par la séparation en rayon de couleurs