Le Superflu C Est Le Premier Des Besoins

Nathaniel et Johannes, assient à l'abri d'un arbre, débatent des plaisirs de la vie. Le premier, pure produit de la société de consomation, revendique le bonheur matérialiste, tantids que le second défend le bonheur immatériel. Nathaniel prend la parole : « - Mon bonheur est matériel. Vois tu, je me complais dans ce que le monde nous offre de plus rassurant : l'argent et je suis heureux d'en avoir. - Voyons mon cher, l'argent ne sert que de substitut au bonheur. Le bonheur c'est l'amour, c'est

omniprésent dans l’histoire de l’homme. De nos jours, ils est partout, on peux difficilement s’en passer : monuments, moulures, peintures, papiers peints, sur les vêtements, bijoux, coiffures, sur notre peau (tatouages, maquillage..). L’ornement est un besoin humain, il nous identifie, nous individualise, nous embellit. C’est une valeur ajoutée qui marque parfois notre appartenance à une culture ou un groupe, à l’instar du tatouage (qu’il soit ancestral ou contemporain) Il en est de même pour les domaines

d'agir. L'argent est le meilleur moyen de jouir de tout, il permet d'influer sur le monde ainsi que sur le cours de sa vie, il nous libère. L'argent est également un moyen de s'émanciper d'autrui, signe d'indépendance, comme lorsque l'on gagne son premier salaire, nous nous émancipons des aides financières venant de la famille. Enfin l'argent peut même nous faire atteindre une liberté intérieure qui permet de connaître les vrais valeurs et de faire preuve de détachement quand au reste. Oui, l'argent

5 mais que lui est différent de ce poète « Moi (…) plus basse » au vers 7 et « Je me (…) écrire » au vers 9. b) Rejet de la grande éloquence et du superflu -Vers 4 : « la voix d’un Ronsard » Du Bellay évoque le fait qu’il n’a pas besoin d’un grand poète pour lire ce qu’il écrit. -Dans tous le premier quatrain Du Bellay fait comprendre qu’il n’a besoin que de lui pour parler de ce qu’il ressent et non de grands poètes ‘ exemplaire Grecs » au vers 1, «  Horace » au vers 2, « Pétrarque » au vers 3 et

monde correspond plus à un aspect positif de l'Humanité et ne à un tas de personnes sauvages et barbares en recherche d'une culture que les reçût. Il y a trois exemples dans le texte Des Cannibales lorsque les aspects humanistes sont évidents. Le premier aspect est la terminologie dans laquelle il se centre l'auteur dans la première part du texte, plus exactement « sauvages » et « barbares ». La stratégie argumentative utilisé est situé en montrer par opposition cela que dans l'époque était instillé

- Pensées philosophiques, 1746 - Premier tome de l’Encyclopédie, 1751 - La Religieuse, 1760

L’homme ne désire-t-il rien d’autre que ce dont il a besoin ? Analyse : Sur quoi porte la question et qu’est-ce qu’elle soupçonne ? Les hommes ont des besoins, sans préciser lesquels, donc au sens le plus général - pas seulement biologiques – et que l’on veut les satisfaire : désirer ici c’est vouloir. Mais il y a un soupçon, avec la restriction « ne … que » souligné par « rien d’autre ». On désire davantage. Les besoins ne sont pas tout ce que les hommes désirent : il y a autre chose.

nécessaire, cela devient un besoin. Désirer est à la fois une souffrance lorsqu'on est en état de manque et à la fois une satisfaction lorsqu'on aboutit à ce dernier. Les désirs contribuent à notre bonheur car il créé une satisfaction, c'est pour cela que nous sommes toujours en quête de nouveaux désirs à assouvir. Notre vie tourne autour de nos désirs ce qui sont nécessaires et utile à notre vie tel nos besoins primaire lié aux organes vitaux et nos désirs qui ne sont que des besoins matériel et superficiel

Les hommes ne désirent-ils rien d’autre que ce dont ils ont besoin ? L’Homme, selon Hegel, est un être qui diffère des animaux par sa conscience de soi-même. Cet être est animé de désirs car sa conscience de soi le pousse à vouloir se changer lui-même, le désir étant une tendance spontanée et consciente vers une fin connue, jugée bonne ou du moins imaginée comme tel. Le groupe « Homme » doit alors être traité comme « Les hommes » car l’être que veut devenir un homme n’est pas forcement celui que

regret, le ciel étoilé. Le désir représente une source possible de satisfaction ou de plaisir que l’on peut avoir envers un objet.La question vient alors de savoir si l’on peut désirer sans nécessairement souffrir. Est-ce possible ?  Nous verrons en premier lieu que désirer, c’est chercher à combler un manque et dans un deuxieme temps que cette situation nous amène à souffrir. I/a)Le désir se révèle à nous par l'intermédiaire d'une expérience aussi douloureuse qu'incontestable: celle du manque de