Le Tartuffe ou l'Imposteur

les dévots. • Quand des dévots remettent en cause la privée du roi et les spectacles de la cour La vie privée du roi n’est pas conforme à la foi catholique. Jusqu’en 1670, c’est un mari infidèle, il y a des « bâtard » élevés à la cour… « Tartuffe ou l’imposteur » écrite et mise en scène en 1664 pour la cour de France met en dérision un faux dévot. Le clergé et le dévot tentent d’empêcher que cette pièce soit jouée. Le roi soutient Molière au détriment de l’Eglise catholique. • Quand les jansénistes

| 14 octobre 1663 | 20 | 9 | oui | Le Mariage forcé | Comédie-ballet en un acte et en prose | 29 janvier 1664 | 36 | 6 | oui | La Princesse d'Élide | Comédie galante en cinq actes, en vers57 et en prose | 8 mai 1664 | 25 | 9 | oui | Tartuffe ou l'Imposteur | Comédie en cinq actes et en vers | 12 mai 1664 | 82 | 13 | oui | Dom Juan ou le Festin de pierre | Comédie en cinq actes et en prose | 15 février 1665 | 15 | | | L'Amour médecin | Comédie en trois actes et en prose | 15 septembre 1665

Bibliographie L’ensemble des œuvres de Molière comporte essentiellement des comédies. Les Précieuses ridicules, 1659
 Sganarelle ou le Cocu imaginaire, 1660
 L'École des maris, 1661
 L'École des femmes,1662
 Le Mariage forcé ,1664
 Tartuffe ou l'Imposteur, 1664
 Dom Juan ou le Festin de pierre, 1665 Le Misanthrope ou l'Atrabilaire amoureux, 1666 Le Médecin malgré lui, 1666
 L'Avare ou l'École du mensonge, 1668 
 Les Amants magnifiques, 1670
 Le Bourgeois gentilhomme, 1670
Les Fourberies

tournait en ridicule les travers humains. Il le dit lui-même  : « On veut bien être méchant, mais on ne veut pas être ridicule ». Il s'est ainsi moqué entre autres du pédantisme dans Les Femmes savantes, des faux dévots et des crédules dans Tartuffe ou l'Imposteur, de l'avarice dans L'Avare et des faux savants - il y vise en particulier la médecine - dans Le Malade imaginaire. La tragédie tente, elle aussi, de corriger les vices des hommes, ou plutôt leurs passions, de deux manières : d'abord en montrant

tournait en ridicule les travers humains. Il le dit lui-même  : « On veut bien être méchant, mais on ne veut pas être ridicule. » Il s'est ainsi moqué entre autres du pédantisme dans Les Femmes savantes, des faux dévots et des crédules dans Tartuffe ou l'Imposteur, de l'avarice dans L'Avare et des faux savants - il y vise en particulier la médecine - dans Le Malade imaginaire. La tragédie tente, elle aussi, de corriger les vices des hommes, ou plutôt leurs passions, de deux manières : d'abord en montrant

Ses personnages : Dom Juan, Tartuffe, (l’imposteur, le faux dévot) l’Avare, le misanthrope sont des personnages qui se moquent des bourgeois, des dévots, des nobles…chaque personnage incarnant ce qu’il y a de plus abject ou de meilleur dans les traits de caractère humain. Les comédies de Molière sont intemporelles et font rire tous les publics sans distinction d’âge, de race ou de religion. Pourtant, à son époque, certaines de ses oeuvres comme Dom Juan ou Tartuffe ont été interdites un temps

les spectateurs, tournait en ridicule les travers humains. Il le dit lui-même  : « On veut bien être méchant, mais on ne veut pas être ridicule ». Il s'est ainsi moqué entre autres du pédantisme dans , des faux dévots et des crédules dans Tartuffe ou l'Imposteur, de l'avarice dans L'Avare et des faux savants - il y vise en particulier la médecine - dans Le Malade imaginaire. La tragédie tente, elle aussi, de corriger les vices des hommes, ou plutôt leurs passions, de deux manières :Les Femmes savantes

de la religion. Se croyant fort de la protection du Roi Louis XIV, Molière contre-attaque par une comédie féroce contre l'hypocrisie, le Tartuffe ; la cabale des dévots l'accuse alors d'athéisme, une accusation très grave pouvant mettre sa vie en danger, et fait interdire Tartuffe. Molière écrit alors, à partir d'août 1664, Dom Juan, destiné à remplacer Tartuffe à l'affiche : courageusement, il y reprend l'attaque contre l'hypocrisie ; Dom Juan fera à son tour l'objet d'une violente attaque des dévots

 son  maître   Un  cœur  simple  in  «  Trois  contes  »   Ruy  Blas   Le  Jeu  de  l'amour  et  du  hasard   Une  vie   Les  Fourberies  de  Scapin   Le  Malade  imaginaire   Le  Tartuffe  ou  l'Imposteur   Dom  Juan  ou  le  festin  de  Pierre   Phèdre   La  Curée   1833   1843   1778   1775   1605-­‐1615   1655   1765-­‐1784   1877   1838   1730   1883   1671   1673   1667   1682   1677

je me cloître plus qu’un bénédictin puisque je n’ai pas même la prière pour répit. J’ai travaillé d’abord quinze heures, puis dix-huit heures par jour. » 5 Pour Pierre Louÿs, « dire que le même poète a fait les vers de Polyeucte, d’Auguste, de Tartuffe et d’Alceste – ou bien c’est absurde – ou bien c’est la découverte capitale de l’histoire littéraire. » 6 Tandis que les continuateurs de Pierre Louÿs, que l’on regroupe sous le nom de cornéliens, veulent que soit connue cette « découverte capitale