Le Thème De Confession D Une Femme

Jean-Jacques Rousseau, François-René de Chateaubriand et Germaine de Staël. Jean-Jacques Rousseau est né le 28 juin 1712 et est mort le 2 juillet 1778. Ces premières œuvres qualifiées de romantiques sont : Julie ou la nouvelle Héloïse, Les Confessions et Les Rêveries du promeneur sont dites romantique car on peut y observer un approfondissement de ses sentiments. Les descriptions de la nature et des sentiments intérieurs de François-René de Chateaubriand ont inspirées plusieurs auteurs

oeuvres mettent l'accent sur l'expression de soi et des sentiments, et sur la recherche de l'harmonie entre l'être et la nature qui l'environne : "Julie ou la Nouvelle Héloise" : 1761 "Confessions" : 1782 "Rêveries d'un promeneur solitaire" : 1776-78 La mélancolie qu'il exprime revoie au thème romantique du "Mal du siècle". 2 - Madame de Staël et l'influence allemande Madame de Staël fait un procès à la littérature française dans un ouvrage, entre 1808 et 1810. Elle trouve que

rappellerons le parcours littéraire de l’écrivain et le rôle fondamental joué par Elsa Triolet dans la vie de ce dernier. Le poème sera étudié à travers deux thèmes principaux, le désarroi du poète face à l’absence et le caractère indispensable de la femme, dans le cas présent pour Aragon, Elsa. Pour finir, nous nous intéresserons aussi à la représentation de Paris dans l’œuvre d’Aragon. A la fois romancier, essayiste, critique d’art et d’histoire, Aragon a été avant tout un poète. Sa vie et son

quelques chroniques historiques et de nouvelles, il n’est pas encore un romancier expérimenté. Cependant, sont en germe dans Pauline tous les grands ressorts de son œuvre romanesque à venir. Alexandre Dumas y raconte l’histoire tragique d’une jeune femme innocente et pure que rien ne destinait à affronter les terribles épreuves qui seront les siennes. Ce texte court réunit thématiques gothiques et influences romantiques. L’intérêt du livre réside dans ce double héritage. Dumas compose un roman palpitant

qu’il ne me reste que bien peu de chose. Mais peut-être est-ce assez d’avoir ramassé sur une plage un caillou blanc poli par la mer, un caillou ordinaire qui n’a que le mérite d’être blanc et de se satisfaire avec sa beauté. » Maurice Magre : Confessions sur les femmes, l’amour, l’opium, l’idéal… J’ai beau fermer les yeux, j’ai beau ne pas vouloir il me faut contempler le fraternel visage qui dans la profondeur cruelle du miroir s’avance comme un spectre apportant un message Il vient de loin

Dmitri le sensuel est en recherche, Yvan, représentant de la raison est plutôt considéré comme athée et enfin Aliocha comme fervent croyant. Tous se retrouvent après vingt ans de séparation. Les conflits entre Dmitri et son père pour l’argent et une femme Grouschenka, se font de plus en plus violents : la famille se retrouve donc afin de régler leur différent autour du starets Zosime, grand moine reconnu, maître à penser d’Aliocha et réel figure du père dans ce roman. Mais ce fut sans succès. Au contraire

pas être touché, ce qui devrait être protégé dans une société normale : le premier sens de ce mot est donc un sens religieux mais le sacré a aussi un sens plus large et peut englober la virginité, la famille ou la vie par exemple. Le sacré est un thème très présent dans Lorenzaccio et particulièrement dans les actes I et II mais dans la ville corrompue qu’est Florence, le sacré est bien souvent désacralisé. Quelles différentes visions du sacré s’affrontent dans Lorenzaccio ? Dans un premier temps

Vingt-quatre heures de la vie d’Une femme de Stefan Zweig " Jamais encore, je n’avais vu un visage dans lequel la passion du jeu jaillissait si bestiale dans sa nudité effrontée.... J’étais fascinée par ce visage qui, soudain, devint morne et éteint tandis que la boule se fixait sur un numéro : cet homme venait de tout perdre !....Il s’élança hors du Casino. Instinctivement, je le suivis… Commencèrent alors 24 heures qui allaient bouleverser mon destin ! "  Ce double récit de Stefan Zweig débute

L'idée d'un laquais amoureux d'une reine serait venue à Victor Hugo à la lecture des "Confessions" de Jean-Jacques Rousseau. Mais il n'en a retenu que l'aspect le plus linéaire et non cette vie souterraine et obscure qui bouillonne chez l'auteur du XVIIIe siècle. La pièce, qui est une pièce éclatante, à éclats, est pourtant sobrement construite sur une intrigue, certes peu vraisemblable, mais unique et serrée, l'action ne cessant, par un effet de gradation, sans excès de diversions, de se tendre

narrative: en effet, avant de donner la parole aux souvenirs du chevalier, le marquis est censé l'avoir rencontré à Pacy une première fois, en compagnie de sa belle. 2 ans plus tard, il retrouve le chevalier, seul, en piètre équipage, et écoute sa... confession au Lion d'Or. Notre héros remonte alors à son coup de foudre avec Manon Lescaut. Subjugué, séduit, charmé, il l'enlève, ou plutôt, ils s'enlèvent et quittent Amiens pour Paris où, après avoir fraudé les droits de l'Eglise, Manon ne peut vivre d'amour