Le Théâtre Permet De Se Cultiver

le sujet n°29. LES CLÉS DU SUJET Comprendre le sujet Les mots importants sont « fiction », « réfléchir sur l'homme et sur le monde » : « fiction » renvoie aux apologues et à tout genre qui comporte une histoire fictive (roman, théâtre, poésie allégorique), ou encore à la bande dessinée et au cinéma ; « inciter à réfléchir » implique la notion d'idée, donc d'argumentation ; « l'homme et le monde » renvoie aux grands thèmes humains (voir « Chercher des idées »). La thèse que vous

Au théâtre, le maître est-il toujours le maître ? Au théâtre, l'association maître valet est une convention traditionnelle. Avec un but comique ou de dénonciation, ce couple renvoie à une réalité sociale. Généralement, le valet sert d'intime, de confident envers le maître, ou bien alors de bouffon. Depuis, commedia dell'arte le valet qu’il soit homme ou femme, a conquis au théâtre une place non négligeable, en incarnant un personnage dont le rôle se limitait souvent à celui de bouffon, goinfre

L'homme vu par les classiques du XVIIème siècleLA BRUYÈRE, Les Caractères (1688) « Arrias » I - Introduction  L’auteur & l’oeuvre : Issu de la bourgeoisie aisée, avocat de formation, précepteur du duc de Bourbon, La Bruyère observe, avec ironie et amertume, le monde de la cour princière à laquelle il est mêlé. L'œuvre qui le fera connaître, en 1688, se présente prudemment comme une traduction : Les Caractères de Théophraste (auteur du IIIè siècle av.J-C) traduits du grec, avec les caractères

Faut-il être cultivé pour apprécier une oeuvre d’art? Quelqu’un qui sait apprécier une oeuvre d’art, c’est quelqu’un qui sait l’évaluer, la juger et donc en saisir la valeur. Apprécier une oeuvre d’art, c’est donc savoir déterminer si elle est « belle » ou au moins « appréciable ». L’homme cultivé, ici, c’est celui qui a le savoir nécessaire pour apprécier un beau tableau, une belle musique ou un beau texte littéraire. Ainsi, il se targue d’avoir bon goût et de savoir évaluer la qualité des œuvres

littérature a d’autres fonctions que celles de distraire. Nous étudierons plus particulièrement que la littérature a pour but d’instruire, par la morale, ou qu’elle peut faire preuve d’un engagement social, politique ou humanitaire et enfin qu’elle permet une meilleure connaissance de soi, des autres, et des humains en général. Dans une troisième et dernière partie, en synthèse nous mettrons en évidence le lien entre la distraction qu’offre la littérature et ses autres fonctions à travers des émotions

littéraire. Pour commencer, on peut prendre l'exemple de la célèbre histoire du Petit chaperon rouge de Charles Perrault, cette histoire a été l'objet de plusieurs réécritures, ainsi, Eve Bonfanti et Yves Hunstad ont réécris et adapter l'oeuvre au théâtre. On retrouve alors un tout autre genre qui est le comique ajouté à partir d'une histoire sérieuse comprenant une morale. Cette réécriture a donc un but qui est celui d'innover une histoire en lui apportant du comique. Enfin, on peut réécrire pour

Le Bourgeois Gentilhomme. Introduction : ce texte est un extrait de la pièce de théatre de Molière nommé Le Bourgeois Gentilhomme paru en 1670. Cette extrait est la fin de l’acte 2 , scène 4. 1 : extrait de comédie classique : un personnage ridiculisé 1. La comédie de caractère : une longue tradition reprise par la doctrine classique au 16eme siècle. Comme nous le savons, la majorité des comédies ridiculisait le caractère de certaines personnes qui ont vraiment existé. D’ailleurs cela fut un

Le XVIe siècle est le siècle de la Renaissance, une période de progrès dans tous les domaines. L'invention de l'imprimerie à caractères métalliques, par Gutenberg, vers 1450, permet l'essor du livre qui diffuse la culture antique comme les œuvres modernes. Le Nouveau Monde est découvert, c'est la découverte (et le massacre) de nouvelles civilisations. La preuve de l'héliocentrisme (le Soleil au centre de l'Univers, et non la Terre), apportée par Copernic en 1453, bouleverse l'idée de la place de

à persuader. Si l'auteur veut davantage toucher le lecteur dans son âme, l'auteur peut faire appel à ses sentiments plus qu'à sa raison, il peut employer le ton lyrique. Dans les textes de La Bruyère, on retrouve dès le début une dramatisation qui permet de persuader des exclamations, suivie de l'accumulation des qualités qui nous fait regretter un peu plus la disparition du jeune Soyecour pour finir sur un mode mineur et revenir à l'altérité de la logique : "Malheur déplorable, mais logique". La

ailleurs idéal, Baudelaire provoque sans doute chez son lecteur un désir d'évasion et l'entraîne vers des horizons inconnus, vers des voyages qui seul, le lecteur, pourrait réaliser dans son imaginaire. Contrairement à celui-ci, Arthur Rimbaud cultive le plaisir et la curiosité du voyage, la recherche d'un monde hors de ses frontières, un désir profond de changement, une quête de la vérité sont les forces du voyageur. En tant qu'expérience vécue celle-ci deviendrait connaissance et favoriserait