Le Théâtre Quête De La Vérité

LOUIS ARAGON Louis Aragon est né le 3 octobre 1897 à Paris. Il y meurt le 24 décembre 1982. Une vie en quête de vérité, de sa vérité. Une vie qui a commencée par un mensonge, celui de sa naissance. Son père : Louis Andrieux, 57 ans, un notable, procureur de la république à Lyon, puis député, préfet de police, et ambassadeur de France en Espagne. Sa mère : Marguerite Toucas, 24 ans. Elle fera passer Aragon pour le fils adoptif de sa mère et Andrieux pour son parrain. L’enfance se passe à Paris

Il passe la majeure partie de sa vie à voyager entre la France et la Roumanie. Représentant du théâtre de l'absurde, il écrit de nombreuses œuvres dont les plus connues sont La Cantatrice chauve, Les Chaises ou bien encore Rhinocéros, C'est à 9 ans que le goût pour l'écriture se réveille. Il possède une réelle obsession pour la mort, la question de Dieu y est sous-jacente, Dans son œuvre, il y a une quête intermittente d'une immortalité et d'une vocation spirituelle. Notes et Contre-notes est un

pauvreté, corruption, etc.). L’homme postmoderne n’a plus espoir en la salvation par le progrès et la raison. Il perd donc ses repères et n’a plus de certitudes, ce qui le mène à la désillusion, à l’impuissance et à la méfiance en ce qui concerne ces « vérités absolues ». La période postmoderne sera aussi marquée par de grands avancées technologiques (conquête de la lune, l’ordinateur, Internet, les téléphones cellulaires, OGM, etc.), par une ouverture sur le monde (mondialisation, création de l’Union

son père et qui souhaite sa mort. Un impie qui raille le ciel et qui se rit de ses foudres. Un athée qui réduit toute la foi à deux et deux sont quatre et quatre et quatre sont huit. Un démon qui se mêle dans toutes les scènes et qui répand sur le théâtre les plus noirs fumées de l'enfer. Et enfin, un Molière, pire que tout cela, habillé en Sganarelle, qui se moque de Dieu et du Diable, qui joue le Ciel et l'Enfer, qui souffle le chaud et le froid, qui confond la vertu et le vice, qui croit et ne croit

Du mensonge au Symbole L’art et rien que l’art. Nous avons l’art pour ne point mourir de la vérité F. Nietzsche René Girard dit à propos des mythes: «Le mythe décrit le passage du désordre à l’ordre, un affrontement raconté entre la nature et la culture.» Ainsi, la société néolithique (c’est à cette époque-ci qu’on situe le début de la création des mythes) de la Grèce

cette année, avez-vous eu le sentiment qu’étaient exprimées des vérités importantes à vos yeux La littérature a pour fonction de dire l’indicible, elle a comme vertu de faire tomber les masques derrière lesquels on cache notre propre malheur, de nous ôter notre hypocrisie et la fausse image que l'on se fait de la condition humaine. À travers de nombreuses pensées différentes, les auteurs nous exposent leurs points de vue, leurs vérités, même si elles sont amères et désagréables. Par le biais d’images

Electre est une pièce en deux actes et en prose, écrite par Jean Giraudoux (1882-1944) et mise en scène par Louis Jouvet au théâtre de l'Athénée, le 13 mai 1937. Encouragé par le succès de La Guerre de Troie n'aura pas lieu, Giraudoux a choisi de reprendre à sa façon un épisode du mythe antique des Atrides : Agamemnon, Le Roi des Rois, a sacrifié sa fille Iphigénie aux Dieux. Son épouse, Clytemnestre, aidée de son amant, Egisthe, l'assassine à son retour de la Guerre de Troie. Oreste, le fils est

passage prétend traiter de la mémoire involontaire, mais n’est-il pas avant tout un exemple de représentation (construction, interprétation) donc de création ? Lecture Il y avait déjà bien des années que, de Combray, tout ce qui n’était pas le théâtre et le drame de mon coucher n’existait plus pour moi, quand un jour d’hiver, comme je rentrais à la maison, ma mère, voyant que j’avais froid, me proposa de me faire prendre, contre mon habitude, un peu de thé. Je refusai d’abord et, je ne sais pourquoi

dernière version celle de Gide, on compte de nombreuses adaptations du mythe au théâtre, particulièrement. Ce mythe ne cesse de se métamorphoser sans pour autant s'affranchir des données de la légende. Cette vivacité du mythe et sa survivance depuis quelques vingt-cinq siècles semblent signifier que l'énigme que constitue le destin d'Oedipe n'a pas encore trouvé de réponse, voire ne trouvera jamais de réponse. La quête de soi, le problème de son identité, le problème de la fatalité et du libre arbitre

en 1928, il décide d’écrire des pièces de théâtre, ce qui le rendra célèbre. Bachelier de philosophie, il poursuit ses études en classes préparatoires, les interrompt pour faire son service militaire jusqu’en 1903 et ressort avec le grade de Caporal. Il continue ensuite ses études dans la section lettres et se passionne pour la culture allemande. Il participe également à la première guerre mondiale. De 1927 à 1934, il écrit ses premières pièces de théâtres dont Siegfried en 1928. Un certain Jean