Le Théâtre Rôle Des Confidents

Il s’agissait de savoir quelle est la version préférée des professeurs de français dans l’optique de l’étude du théâtre en Première. A propos de la mise en scène de Armand DELCAMPE Au départ, la question était plus précise : il s’agissait de savoir quelles sont les particularités, les aspects intéressants (ou gênants ?) de la mise en scène de Dom Juan par Armand DELCAMPE. Don Juan (Didier Colfs), comique, un peu poseur, est une sorte de grand enfant, un grand gamin un peu efféminé qui

s, classicisme. Fils et petit-fils de tapissiers du Roi, il fait ses humanités chez les jésuites et étudie le droit à Orléans, avant de s'orienter, malgré la volonté de son père, vers le théâtre auquel il avait été initié par son grand-père. En 1643, avec sa maîtresse Madeleine Béjart, il crée l’Illustre-Théâtre et, l'année suivante, prend le pseudonyme de Molière. Mais la nouvelle compagnie est un échec en raison de dettes (en août 1645, Molière est même emprisonné). M s'engage alors avec Madeleine

Introduction (rédigée) Curieusement, dans le théâtre grec, le mot qui désignait l'action d'une pièce – « agôn » – signifiait aussi le « jeu », le « concours », la « lutte », le « combat » ; ce terme marquait déjà clairement que le conflit, ainsi que sa concrétisation – l'affrontement – sont primordiaux au théâtre. Pascal, au XVIIe siècle, va dans le même sens quand il affirme : « Les scènes contentes » (c'est-à-dire les scènes où les personnages sont en harmonie) « ne valent rien ». Le texte théâtral

terreur, la pitié. Visée morale : CATHARSIS. Cadre : Antiquité, Rome ou Grèce antique ou encore orient. Personnages de la haute noblesse : Princes, rois, empereurs. Personnages du rôle inférieur sont confidents. Langage très soutenu, interdiction de toute faiblesse de langue, règle des trois unités (temps, lieu, action) – de 24heures, 1seul lieu de communication, une

Racine dut se retourner contre eux. L’enfant chéri devint prodigue et contestataire, choisissant, pour satisfaire son ambition, la réussite par le théâtre qui était justement celle qui pouvait causer le plus grand déplaisir aux jansénistes. En effet, ils condamnaient absolument les mises en scène de sentiments profanes et considéraient les gens de théâtre comme des empoisonneurs publics, le milieu comme embourbé dans la concupiscence. Racine, devenu ambitieux, voulut donc briller sur la scène. Comme

sommet de sa gloire et publie là certainement son chef-d’œuvre. Cette scène est la première où apparaît l’héroïne éponyme. Phèdre se laisse dépérir pour des raisons encore obscures pour le spectateur. Sous le questionnement inquisiteur d’Œnone, sa confidente, elle finit par avouer la source de son mal : l’amour incestueux qu’elle voue à son beau-fils Hyppolite. Cet aveu est arraché au cours d’une tirade sous forme de récit lyrique où la jeune femme restitue les étapes de sa passion, la naissance d’un

ses angoisses, fait que celui-ci se réfugie dans l’écriture afin d’y trouver une certaine reconnaissance. Il développe dans l’inconscience individuelle le sentiment et la manière d’accompagner un moment de sa vie, qu’il fera ou non partager à son confident ou son grand public, en tant que son vivant ou divulgué après sa mort, prédestiné à être malgré tout lu avec une certaine articulation entre le processus d’individualisation et de socialisation. L’expression écrite d’un journal intime « diariste »

droit à Orléans.Depuis son enfance, Jean-Baptiste Poquelin a toujours aimé les bouffonneries, les parades, les chansons et en règle générale, le monde du spectacle. C’est pourquoi, à 21 ans, il prend le pseudonyme de Molière pour fonder « L’illustre Théâtre » avec Madeleine Béjart et se tourne vers une carrière de comédien.Il va parcourir les routes de France avec sa Troupe, jouant des pièces qui ont eu peu de succès jusqu’aux Précieuses Ridicules, en 1659, qui lui valu de pouvoir s’installer la Cour

Sous l’apogée du Roi-Soleil Louis XIV, Racine écrit Andromaque pour offrir à la comédienne Thérèse du Parc un rôle à sa mesure. Mais plus que le résultat d’une relation amoureuse, la pièce sera un calque de la vie du Roi et connaîtra un succès qui propulse son auteur au rang de dramaturge célèbre, devant son rival Corneille. Voltaire, un siècle plus tard, dans ses Remarques sur le troisième discours du poème dramatique de Corneille, écrira : «Il y a manifestement deux intrigues dans l’Andromaque

prof de français. On est émus car ça se termine. Il y a Cédric et Zaza ma rivale. C'est moi qui avait le premier rôle : Camille. Mes parents ne sont pas là. Il sont sur leur péniche sur la Seine, papa sur le pont et maman aux fourneaux. Jouer une pièce est un moment fort : dédoublement de personnalité. Cédric me rejoins dans une salle de classe vide. C'est comme mon frère, mon confident, mon complice « on ne badine pas avec l'amour » est à prendre au pied de la lettre. C'est la veille des grandes