Le Tour Du Monde En 80 Jours Description Personnages

¨ Alexandre Dumas ¨ Prosper Mérimée ¨ Alphonse de Lamartine ¨ Guy de Maupassant ᕤ Quand on étudie un roman, on emploie le terme «héros» pour désigner : ¨ Un personnage au comportement remarquable, au caractère noble et valeureux. ¨ Le personnage principal du roman. ᕥ Un héros de roman est toujours un personnage exceptionnel, hors du commun. ¨ C’est vrai ¨ C’est faux ᕦ Dans un roman, l’auteur et le narrateur sont toujours identiques. ¨ C’est vrai ¨ C’est faux ᕧ Lorsqu’un

fait particulièrement courtisan. En fait, tout le prologue l’est : la nouvelle du retour du roi est présentée comme exceptionnelle (l. 28-47); Louis XIV est digne d’être le sujet d’un concours de chant (l. 50-76) ; Tircis, dans son premier chant (l. 80-87), souligne la force invincible du roi ; Dorilas, dans son premier chant (l. 90-95), affirme que le roi sème la terreur parmi ses ennemis; selon Tircis, dans son deuxième chant (l. 97-103), le roi est supérieur aux héros du passé ; selon Dorilas,

actanciel 3.     Biographie de David B. 3.1 Sa vie 3.2 Œuvres 4.     Contexte historique 4.1 La nouvelle bande dessinée 4.2 Influence sur le récit 5.   Analyse des couvertures 5.1 Analyse du titre 5.2 Analyse de l’illustration 6.     Les personnages 6.1 David 6.2 Jean-Christophe 6.3 Parents 6.4 Sœur                          6.5 Sophie et Hélène 7.     L’imaginaire 8.     Espace-Temps 9.     Thèmes principaux 9.1 Enfance et évolution au sein de la famille 9.2 Épilepsie 9.3 Rapport famille

protége de tout, et surtout de nous même. » Daniel Pennac DEDICACE Je dédie ce travail à ma très chère mère, sans qui je ne serais pas où j’en suis aujourd’hui. Je dédie aussi ce travail à ma grand mère Zoulikha qui m’a fait découvrir le beau monde des contes merveilleux, à mes enfants : Mohammed Rissel et B.B Nour et aux deux orphelins : Zamene et Yasmine. Remerciements Je tiens tout d’abord à adresser mes plus vifs remerciements à mon directeur de thèse, le responsable de l’Ecole Doctorale

dangereuses SOMMAIRE Introduction Séance 1 › Séance 2 › Séance 3 › Séance 4 › Séance 5 › Séance 6 › Séance 7 › Séance 8 › Séance 9 › Des Lumières à Hollywood Étude de la composition narrative Étude comparée des ouvertures Étude de l’espace Étude des personnages Dire, écrire Genres et registres L’amour Étude comparée du dénouement p. 1 p. 2 p. 5 p. 9 p. 13 p. 16 p. 20 p. 23 p. 26 p. 29 Fiche pédagogique conçue et rédigée par Laurent Canérot, agrégé de Lettres modernes, professeur de français et de cinéma

Carlo Muscetta - devenue en 2002 la seule que la maison d’édition Feltrinelli ait réimprimée, et qui sert de texte original pour toutes les traductions qui existent aujourd’hui -, les réactions critiques de la presse ont constitué un florilège tour à tour positif et négatif. En guise d’introduction à notre analyse de l’oeuvre, qui ne fera pas l’économie le moment venu d’une étude comparative des deux traductions françaises existantes (Fanette Pézard en 1959 et l’actuelle de Jean-Paul Manganaro),

par une diversité et une singularité qui bousculent les conventions théâtrales et cinématographiques, c’est ce qui fait d’elle une créatrice importante. Avec sa première publication en 19506, l’écrivaine sort de l’ombre et embrasse avec succès le monde de la littérature. Associée au mouvement du nouveau roman, elle publie des romans qui la font davantage connaître à un plus large public avec des thèmes tels que l’amour, la sensualité 6 Marguerite Duras, Un barrage contre le pacifique, Paris,

), même si le choix du jardinier –personnage qui déclare sa solitude et tient des propos paradoxaux- est déconcertant. Mais l’étrangeté de ce personnage permet au dramaturge, à travers sa voix, de mener une réflexion sur la Tragédie. I) Une parabase entre tradition et modernité 1) Du théâtre hors du théâtre -Acte I, scène 13 : didascalie > « Rideau ». Puis, lamento > le jardinier est placé devant le rideau > n’intervient plus complètement comme personnage de la pièce : « Je suis libre de venir

Terre - Gallimard 1978 pp.87-88] Ce n'est certainement pas dans la rigidité hypocrite du monde bourgeois qu'une telle dimension du langage peut être découverte. Pour pouvoir retrouver cette facilité d'expression à la fois corporelle, gestuelle et langagière, il faut se déshabiller du carcan guindé qui nous opprime. Et l'enfant, comme nous le dit Gerda Zeltner représente le "rapport irrationnel et magique avec le monde ainsi qu'avec le langage... " [op. cit. p. 219] L'enfant de Le Clézio, un enfant sans

que tel, prend la nouvelle en charge, qu'elle est, comme le roman, l'unité d'une diversité successive, tandis que le conte (une histoire qu'on raconte...) manifeste souvent une oralité, déléguée à l'un des personnages ou assumée, semble-t-il, par l'auteur - travesti en une sorte de personnage anonyme. Ainsi que l'avait fait Jean-Paul Sartre, Matthew Mac Namara a judicieusement insisté sur cette oralité, ce telling with audience, qui permet à Maupassant, comme l'écrit Philippe Bonnefis, de cadrer