Le Travail Des Enfants Produit La Richesse En Créant La Misère

prostitution, un bagnard condamné pour avoir volé un pain, et les enfants au travail. Cf aussi Mal du siècle, Spleen (Splin), Les Misérables, « L’enfant » de Les Orientales etc. I. Les enfants, des victimes 1. Les enfants en général Généralisation avec l’utilisation du pronom démonstratif « ces enfants » (l.1), « ces filles » (l.3) mais aussi avec « Oh servitude imposée à l’enfant » (l.17) « qui se sert d’un enfant ainsi qu’un outil » (l.25)( n’importe lequel, tous. 2. Description

La poésie : - Du grec « poiésis », ce terme renvoie à l’idée de créat°, de fabricat°. Travail sur de la forme et du langage. *L’ANTIQUITE : - Poésie gardienne de nos tradit° et de nos valeurs = elle travers les siècles, intacte = les muses, filles de Zeus ns le rappelle = une des fonct° de la poésie est de transmettre, de générat° en générat° la culture d’un peuple. - Orphée et sa lyre : charme avec ses chants afin d’aller chercher Eurydice en enfer = montre le pouvoir supèrieur du poète

choisi ce poème pour démarrer l’anthologie poétique car il nous donne une première approche de l’engagement au fil du temps. -« Melancholia », Ce poème traite quand à lui du travail des enfants au XIXème Siècle. Victor Hugo est révolté du fait que les enfants doivent travailler il estime que leur place n’est pas au travail. Car ce poème ne traite pas de la guerre et montre un autre type d’engagement. -« La victoire de Guernica »Dans ce poème l’auteur dévoile les atrocités commises lors de la guerre

de Lille. Il serait donc intéressant de se demander comment Victor Hugo parvient à critiquer le travail industriel des enfants et la société. Pour ce faire, il convient d'étudier dans un premier temps les conditions de vie désastreuses de ces enfants avant de voir en quoi ce poème est un texte argumentatif. Pour commencer, Victor Hugo décrit les conditions de vie des enfants qu'il cherche de toute évidence à dénoncer du vers un à seize, dans le but de bâtir une argumentation efficace

a était fait par apollinaire lui meme et reprend son poeme et disposant les vers et strophe de facon a dessiner une colombe et un jet d'eau. Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ? Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ? Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellement Dans la même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d'une machine sombre, Monstre

340-102-MQ Marx et Le matérialisme historique A. Éléments biographiques B. Le capitalisme du 19e siècle C. Le matérialisme historique D. L’homme comme être social E. L’être humain et le travail F. Différentes formes d’aliénation humaine G. La liberté et la libération collective H. Marx aujourd’hui [pic] Karl Marx et sa lutte contre le capitalisme du XIXe siècle A. Éléments

(extrait) «  Melancholia » est poème réaliste qui décrit la société du XIXème. À travers cet écrit, l’auteur nous illustre les conditions déplorables des enfants dans le monde de l’usine. Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ?Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ?Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ?Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules ; Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellementDans la même prison le même mouvement.Accroupis sous les dents d'une

Pierre de Ronsard (1524-1585), Sonnets pour Hélène (1578), II, 24 LA SEINE A RENCONTRÉ PARIS Qui est là toujours là dans la ville et qui pourtant sans cesse arrive et qui pourtant sans cesse s'en va C'est un fleuve répond un enfant un devineur de devinettes. Et puis l'œil brillant il ajoute et le fleuve s'appelle la Seine quand la ville s'appelle Paris et la Seine c'est comme une personne des fois elle court elle va très vite elle presse le pas quand tombe le soir des

poème est un véritable éloge de la vie et l’auteur nous invite à profiter de notre liberté acquise au prix de sacrifices nombreux. Melancholia (extrait) Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ? Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ? Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules ; Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellement Dans la même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d'une machine sombre, Monstre

Jean-Jacques Rousseau, Emile ou de l’éducation Extrait 1 : Que faut-il donc penser de cette éducation barbare qui sacrifie le présent à un avenir incertain, qui charge un enfant de chaînes de toute espèce, et commence par le rendre misérable, pour lui préparer au loin je ne sais quel prétendu bonheur dont il est à croire qu'il ne jouira jamais  ? Quand je supposerais cette éducation raisonnable dans son objet, comment voir sans indignation de pauvres infortunés soumis à un joug insupportable