Le Travail Deshumanise

fois la cause et la conséquence de la pauvreté. L’alcool va permettre aux personnages d’oublier tous les désagréments de la vie, tous leurs soucis mais les entraînent aussi de plus en plus dans la pauvreté ; ils ont de moins en moins envie d’aller travailler. Par exemple, dans le livre, Coupeau boit tout l’argent que Gervaise gagne. C’est un cercle vicieux qui ne s’arrête jamais. L’alcool dans le quartier de la Goutte d’Or est vu comme un échappatoire aux conditions difficiles que les ouvriers subissaient

corps est pris en compte et joue un rôle capital dans la description. Ce qui rend le récit encore plus réaliste car on reconnaît bien les traits d’un corps en situation d’épuisement. Zola utilise dans son texte tous un vocabulaire technique du travail, assurant un effet d’authenticité garanti aux lecteurs. Cette lecture devient plus qu’une simple lecture car en effet le fait d’avoir autant joué sur la description et la précision permet de pouvoir visualiser la scène. Ainsi le lecteur s’imagine

l’homme a gauche : Il n’a plus de bras : le gauche est une prothèse en bois tandis que le droit est absent (manche vide). Pour jouer, il se sert du seul pied qu’il lui reste. Cette manière de jouer aux cartes nous donne l’image d’un singe ce qui déshumanise cet ancien combattant. Son visage est couvert de cicatrices et de brûlures, il lui manque un oeilainsi qu’une oreille. A la place de celle-ci, il a un tuyau qui est relié à un phonographe posé sur la table pour entendre. 6EME DIAPO l’homme au

harmonieuses . L'ambiance est glauque , limite repoussante . Les regards des personnages ne font preuve d'aucune expressivité . Pour la représentation des corps, l'accent est mis sur les visages et sur les mains . L'autueur n'a pas énormément travaillé les membres inférieurs et le lieu . Tous les personnages sont mutilés : L'homme de droite se tient de profil sur sa chaise. On peut constater qu'il lui manque certains de ces membres, ses jambes, son nez est dissimulé sous un cache. Sa mâchoire

d’une part dans l’économie puis dans la mobilisation idéologique. I) Les civils, nouvelles victimes de la guerre : a) Les civils de plus en plus menacés dans la 1ere guerre mondiale : - situation des populations occupées difficile : travail forcé pour main d’œuvre gratuite, les Soldats peuvent exercer leur violence envers les civils ex : viols nombreux des femmes parce qu’il n’y a pas d’homme proche pour les protéger - Les civils deviennent des cibles : modernisation de la guerre =>

clientèle particulière, le désir d’unicité. Le style Miyake ne résulte en aucun cas d’un conformisme ou de déjà vu. Par cette originalité, il attire ses semblables, c'est-à-dire une clientèle avant-gardiste capable d’apprécier à sa juste valeur son travail. La clientèle est donc impliquée et contribue fortement au processus identitaire de la marque. C’est également par son implantation sur la zone géographique parisienne que Miyake réitère sa différence avec les maisons de haute couture et sa volonté

L'action se situe à Londres dans une société Dystopique où un combattant de la liberté se faisant appelé V cherche à Mettre en place un changement politique . Dystopie ou contre-utopie est une description à l'aide d'une fiction, ou d'un univers déshumanisé et totalitaire où les rapports sociaux sont dominé par les technologies ou la science. Ces sociétés imaginaires sont organisées de telle façons qu'elles empêchent ses membres d'atteindre le bonheur. La dystopie était par définition la description

David Olère, les inaptes au travail, exposé au mémorial vivant de l’holocauste à New York Voir aussi le lien qui approfondit l’œuvre de David Olère sur le sort des populations déportées : http://histoirencours.fr/blog/?p=1489 Biographie : 1902-1985, français à partir de 1937 Artiste juif polonais, peintre, sculpteur issu d’une famille de médecins. Arrêté à Paris en février 1943, il est déporté jusqu’en 1945 à Auschwitz sous le numéro 106144. Il est intégré aux « kommando » de prisonniers

questionnais beaucoup sur son impact, son utilité (n’est-il pas nécessaire de trouver un moyen de substitution à l’enfermement des hommes qui déshumanise plus qu’il ne réinsère ?) dans notre société. C’est pourquoi j’ai choisi ce livre « la famille à l’épreuve de la prisons » de Caroline TOURANT qui fut passionnant et très instructif. L’auteur a réalisé un travail approfondi et minutieux, elle nous révèle l’importance des liens familiaux durant une épreuve telle que l’est l’incarcération. Elle nous montre

et de travail pour les déportés – juifs, résistants, homosexuels, etc. -. Ceux-ci étaient complètement déshumanisés : dénudés, rasés, réduits à un numéro parfois tatoué sur le bras, classés par un triangle ou une étoile de couleur, ils perdaient leur statut d’êtres humains. Le froid, le manque de nourriture, les violences permanentes, les maladies, les expériences pseudo-médicales comme celles de Mengele causaient une mortalité effroyable. Les déportés étaient soumis au travail forcé