Le Trou noir

aussi l'escalier, et il criait : " Écoute, Jeanne ! " Non, elle ne voulait pas écouter ni se laisser toucher du bout des doigts ; et elle se jeta dans la salle à manger courant comme devant un assassin. Elle cherchait une issue, une cachette, un coin noir, un moyen de l'éviter. Elle se blottit sous la table. Mais déjà il ouvrait la porte, sa lumière à la main, répétant toujours : " Jeanne ! " et elle repartit comme un lièvre, s'élança dans la cuisine, en fit deux fois le tour à la façon d'une bête acculée

15 - Qu’est ce que l’empreinte écologique ………… p 15 - Empreinte écologique du groupe ………………… p 16 - Résultat des empreintes écologiques …………. P 24 Explication de phénomènes ……………………………………………. P 27 - L’effet de serre ………………………………………….. p Le trou dans la couche d’ozone ………………….. p Le phénomène d’albédo ……………………………….. p Situation mise en place ………………………………. P 27 31 34 37 Conclusion ………………………………………………………………………… p 40 Bibliographie ……………………………………………………………………. P 43   2  

une pierre, il appuya dessus et un passage s’ouvrit et dégagea beaucoup de lumière, Jean entra, les mains devant les yeux pour ne pas être éblouis par ces étranges blocs lumineux et il arriva dans une grande pièce avec un trou béant plein de lave, et de l’autre côté de ce trou se trouvait un bloc bleu étincelant. C’était bien ce qu’il croyait, le minerais sacré, c’était du diamant, enfin ! Tout près du but, oui tout près. Jean était si proche d’attraper ce qu’il voulait depuis six longues années

En rose = emma en bleu = arthur en violet = alice en vert = sacha en noir = amine I) Introduction a) introduire la problématique I)a) Dans le diaporama que nous allons vous présentez, nous allons vous parlez de la communication entre plante et parasite, nous avons comme exemple la cuscute champêtre qui parasite la tomate celles-ci fera objet de notre expérience. 1)b) Historique ( explication cuscute + parasite) La cuscuta campestris fait parti d'un genre comprenant 100 à 170 espèces de

P R E S E N T A T I O N => FELIX VALLOTTON, peintre suisse (1865-1925) => Verdun, tableau de guerre interprété, projections colorées noires, bleues et rouges, terrains dévastés, nuées de gaz. Peinture à l'huile => 1917 D E S C R I P T I O N 1er plan : terre, pluie. 2e plan : vallée ou trou béant ? Cratère ? ✗ à gauche, une forêt verte, pluie et ronds blancs. ✗ à droite, une forêt enflammée. ✗ entre ces deux forêts, deux épais nuages blancs et noirs, des flammes ET jaillisement de rayons

boyaux lui sortent du ventre. Elle est rouge partout. Le bébé aussi. La tête de notre Mère pend dans le trou qu’a creusé l’obus. Ses yeux sont ouverts et encore mouillés de larmes. [… ] Nous la recouvrons d’une autre couverture puis nous comblons le trou. Quand notre cousine rentre de la ville, elle demande : - Il s’est passé quelque chose ? Nous disons : - Oui, un obus a fait un trou dans le jardin. » Explications : Quelque page avant cette citation, il était écrit que les jumeaux portaient

va devenir, de ce que toi, tu vas devenir. Tu crois que tu peux tout avoir, sans rien faire, sans rien dire ? Tu te trompes. Tu pourri ta santé, ta jeunesse. T’es foutu, c’est fini. Tu es tombé dans ce trou noir profond. Toutes les personnes que je connais, celles qui sont aussi tombées dans ce trou, n’ont jamais réussir à remonter. Tu ne réussiras pas toi non plus tellement que t’es tombé bas. Fais quelque chose, essaies au moins de te relever, je sais qu’au fond tu sais que sa te plaît pas, mais

assure la nutrition de l’œil. Elle renferme une pigmentation, la mélanine, qui lui donne une couleur brun-foncé, elle forme un genre d’écran noir de telle sorte que l’intérieur de l’œil soit comme une chambre noir. Elle forme en avant l’iris. • L’Iris donne la couleur à l’œil. Son centre est percé circulairement de façons à laisser passer la lumière, ce trou est nommé pupille. Il se contracte ou se dilate selon l’intensité de la lumière.

est tranquile, loin de tout parasite Baby, donne moi la bise puis suce moi la bite Ok je suis vulgaire, les bourges en chopent des ulcères Quand ils écoutent ce qui sort d'ma bouche, c'est le son dangereux du ter-ter Sono à fond, intérieur cuir noir, boîte sécancielle Pour écrire il m'faut du (?), la drogue m'est essentielle On est v'nu cracher notre haine, fuck la SDRM Hauts-de-Seine ça vend du seum car c'est le cash qu'elles aiment J'étais là bien avant Break street Sans limites comme dans

par des phrases courtes juxtaposées et qui commence par l’oxymore « un sourire sanglant », puis « une salive rougeâtre » et enfin « un trou noir dans la bouche ». Ce zoom nous amène donc à comprendre que « deux dents étaient arrachées » (l10). Cette triste réalité est accentuée par l’opposition du rouge (« sanglant », « rougeâtre » (l8)) et du noir (« trou noir » (l9)) et par la connotation péjorative voire humiliante du mot « souillait » (l8). Victor Hugo raconte que Fantine « avait les yeux