Le Trou noir

ans, 1m65, 70Kg, est hospitalisée dans le service depuis 5 jours mais est connue par les membres du personnel soignant car elle vient du 1er étage gauche, soit de court séjour. Mme R. présente un escarre au sacrum, qui se présente sous la forme d'un trou suintant. Cette patiente ne présente pas d'allergie aux produits qui vont être utilisJe rentre dans la chambre de la patiente, je lui demande son accord pour effectuer le soin, celle-ci  ne me répondit pas. Mme R. semblait être particulièrement fatigué

beaucoup évolué, le principe est resté le même... Philippe Bessi - 2009/2010 - La Photographie La chambre noire Tout appareil photographique est en fait une chambre noire plus ou moins complexe. Le principe est simple : la lumière qui pénètre par un trou minuscule dans une boîte hermétique projette sur la paroi opposée une image renversée des objets situés devant la boîte. Pour enregistrer l'image ainsi formée, il suffit de placer contre cette paroi un support sensible à la lumière. Au début de l'histoire

de fin : figures d’amplification : hyperboles : « flots vivants qui semblaient ne pas devoir s’épuiser »/ « toujours (…) se montraient de nouvelles masses noires »/ « enflaient de plus en plus ». Insistance sur l’indétermination : la foule devient un être en elle-même, toute particularisation est exclue : « flots vivants », « masses noires », « tempête humaine », « petite armée ». c) Un concert humain Bientôt, la foule ne s’identifie plus qu’à un chant, elle s’efface au profit de la Marseillaise

L'acquisition d'une image s'obtient de la même manière que la chambre noire, dispositif de reproduction photographique que de nombreux peintres de la Renaissance utilisaient pour le dessin en perspective. Le principe est simple : les rayons qui passent par le trou proviennent de différentes directions, donc de différents points de l'objet observé. la lumière extérieure est filtrée de façon à ce qu'elle ne rentre que par l'objectif, dans une chambre obscure et poursuit sa trajectoire rectiligne jusqu'à rencontrer

de famille tout les deux, tout était parfait et maintenant, plus rien ne va. Cette lumière qui était dans mon cœur à chaque fois que nous passions de merveilleux moments tous les deux s'est éteinte. Dans mon cœur, c'est le trou noir. Je ne ressens plus rien. Tout est noir, tout est vide. Sauf dans ma tête où tu demeures encré. J'ai beau essayer de te chasser, de te dire de dégager de là et de me laisser vivre, mais rien n'y fait. Tu restes. Quand j’essaye d'être heureuse, ma tête me rappelle.

récente, en effet il fut découvert durant l'antiquité grec par Aristote et Euclide. En effet ces deux savant ont observé et décrit le phénomène de la lumière du jour qui, pénétrant par un petit trou dans le mur d'une pièce, va former sur le mur opposé une image inversée des objets placés à l'extérieur devant ce trou. C'est la découverte de la chambre noire. Sans cette découverte la photographie n'aurait jamais existé. Mais Aristote et Euclide ne peuvent conserver l'image ainsi crée à l'intérieur de la

par ses parents aux Theradiers apparaît dans cet extrait descriptif. Ceux-ci sont abominables envers elle. Dans le passage proposé, la fillette doit aller jusqu'au puit pour ramener de l'eau à ceux qui l’hébergent, alors que la nuit tombe et que le noir est sa plus grande phobie. Voyons en quoi cette foret effraie et est fantastique par l’intermédiaire de la description de la nature elle-même et de la vision de Cosette, qui à une peur démesurée de cette foret. Tout d'abord, nous pouvons voir

nuit ce qu'elle n'aurait jamais dit au plein jour. Souvent même, comme il savait les airs de mémoire, Julien soufflait sa lumière, par économie. Du reste, il aimait l'obscurité. Alors, assis devant une fenêtre, en face du ciel, il jouait dans le noir. Des passants levaient la tête, cherchaient d'où venait cette musique si frêle et si jolie, pareille aux roulades lointaines d'un rossignol. La vieille flûte de bois jaune était un peu fêlée, ce qui lui donnait un son voilé, le filet de voix adorable

Il n'est pas d'objet plus profond, plus mystérieux, plus fécond, plus ténébreux, plus éblouissant qu'une fenêtre éclairée d'une chandelle. Ce qu'on peut voir au soleil est toujours moins intéressant que ce qui se passe derrière une vitre. Dans ce trou noir ou lumineux vit la vit, rêve la vie, souffre la vie. Par delà des vagues de toits, j'aperçois une femme mûre, ridée déjà, pauvre, toujours penchée sur quelque chose, et qui ne sort jamais. Avec son visage, avec son vêtement, avec presque rien, j'ai

bandes dessinées tournent autour de la guerre et mettent en valeur l’accablement de l’humanités par les évènements. D’autres BD comme « Les aventures extraordinaires d’Adèle Blanc-Sec » ou « Nestor Burma » sont moins pessimistes et ne se limitent pas au noir et blanc. « Les aventures extraordinaires d’Adèle Blanc-Sec » est un récit fantastique digne d’Alexandre Dumas mis en BD. Il en existe également une adatation cinématographique. Jacques Tardi au Salon du Livre de Paris De Hergé à Jacques Tardi