Le Trou noir

la nuit ramène le calme et des rêves . Un rêve.. Celui d'une enfant lovée dans un cercle.. Magique ?..C'est le mot juste. Quand elle n'osait plus avancer dans le noir. Quand les ombres de la nuit glissaient autour d'elle.. Tu as peur. Tu ignore ce qui t'attend si tu avances. La route est noire. Et s'il y avait un ravin, devant ? Ou un trou ? Mais tu sais comment trouver le sentier. Souviens toi ! Trouver le bon chemin comme dans l'histoire. Souviens toi.. Des cailloux, pas des miettes ! Des cailloux

destinée à ses livres. Une bibliothèque où les livres était classés par genre littéraire, puis dans l’ordre alphabétique et un bureau noir qui lui servait d’endroit calme où il pouvait lire paisiblement. C’est la seule pièce qu’il entretenait avec soin, le reste de sa maison était sale: dans son salon, il y avait une table couverte de crasse, des fauteuils troués et même de la vaisselle cassée par terre. Dans l’histoire le personnage principal voulait se reposer dans un hôtel de la ville mais il

mineurs sont effrayés que le cheval meurt en chemin. Ils savent que l’animal que l’animal est dans une position très délicate et qu’il risque à tout moment de succomber à sa terreur. « Il ne bougeait toujours pas, il semblait dans le cauchemar de ce trou obscur, infini, de cette salle profonde retentissante de vacarme. (…) Trompette délié, ne bougeait toujours pas. Il demeurait sur le flanc, comme s'il eût continué à sentir le filet l'étreindre, garrotté par la peur. Enfin, on le mit debout d'un coup

la ronde de mes dents Valsait une brosse à dent Une Dame souris passe Dent de lait, dent qui lasse Une Dame souris passe Patatrac, dent de lait casse Au milieu de mon sourire Dent de lait, dent de rire Au milieu de mon sourire Fait un trou de tirelire Tireli, tirelire valse Tireli, tirelire lasse Tireli, tirelire casse Chantal Abraham Noël au pays ** Noel avec deux étoiles sur le e Deux petits points comme deux yeux Sur le nez gelé

le but de cacher leurs défauts ou de faire ressortir leurs yeux et leurs lèvres, les punks l’utilisent pour cacher leur vrai visage derrière un ``masque``. Yeux beurrés de noir pour les hommes. Les femmes vont jusqu’à se saupoudrer excessivement les paupières de couleurs vives comme le vert et le rose quand ce n’est pas du noir. Les lèvres aussi sont habituellement maquillées de couleurs foncées. Cette apparence corporelle constitue une nouveauté puisque les punks se sont montré anticonformistes et

des oiseaux dans leurs ailes Et des hommes dans le sommeil. Victor Hugo « Crépuscule », XIXème siècle L'étang mystérieux, suaire aux blanches moires, Frisonne; au fond du bois la clairière apparaît ; Les arbres sont profonds et les branches sont noires ; Avez-vous vu Vénus à travers la forêt ? Avez-vous vu Vénus au sommet des collines ? Vous qui passez dans l'ombre, êtes-vous des amants ? Les sentiers bruns sont pleins de blanches mousselines; L'herbe s'éveille et parle aux sépulcres dormants. Que

et je la vis. C'était un vendredi, et je ne l'oublierai jamais. Je vis cette Carmen que vous connaissez, chez qui je vous ai rencontré il y a quelques mois. Elle avait un jupon rouge fort court qui laissait voir des bas de soie blancs avec plus d'un trou, et des souliers mignons de maroquin(1) rouge attachés avec des rubans couleur de feu. Elle écartait sa mantille afin de montrer ses épaules et un gros bouquet de cassie(2) qui sortait de sa chemise. Elle avait encore une fleur de cassie dans le coin

levai. J’arrivai dans la cour déserte et je vis qu’il faisait nuit ? J’entrai dans le collège désert et sombre. J’avais peur. Mais je me résignai quand même à marcher. Aussitôt après avoir fait quelques pas, je le regrettai. Des ombres monstrueuses et noires se dessinaient sur les murs. J’étais effrayée. Pour comprendre d’où elles venaient, je regardai entre le mur et la lumière de la pleine lune à travers la fenêtre. Mais rien, à part moi. D’où venaient ces ombres ? Peut-être était-ce tout simplement

par une description du passage par une énumération "Ce passage a trente pas de long et deux de large, au plus ; il est pavé de dalles jaunâtres, usées, descellées, suant toujours une humidité âcre; le vitrage qui le couvre, coupé à angle droit, est noir de crasse". Au deuxième paragraphe on parle du passage pendant les différentes saisons, il y a des complément circonstanciels de temps "les beaux jours d'été", "les vilains jours d'hiver". Lorsque la saison c'est l'été il fait deux hyperbole "quand

violemment Napoléon III, le conformisme bourgeois et le catholicisme. Il laisse paraître sa tristesse pour les enfants pauvres (Les Effarés) ou les morts de la guerre (Le Dormeur du val). Le Dormeur du val C'est un trou de verdure où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte