Le Trou

bras blanc qui tourne La pâte grise, et qui l'enfourne Dans un trou clair. Ils écoutent le bon pain cuire. Le boulanger au gras sourire Chante un vieil air. Ils sont blottis, pas un ne bouge, Au souffle du soupirail rouge, Chaud comme un sein. Et quand pendant que minuit sonne, Façonné, pétillant et jaune, On sort le pain ; Quand, sous les poutres enfumées, Chantent les croûtes parfumées, Et les grillons ; Quand ce trou chaud souffle la vie ; Ils ont leur âme si ravie Sous leurs haillons

(/s6) eg (s6) ms? @ s3 Dey @ s4 L’opérateur peut sélectionner un cycle avec ou sans débourrage à l’aide du commutateur S6. Le débourrage consiste à usiner le trou en deux phases afin de dégager les copeaux trop abondants du trou usiné: · Perçage à mi-course · Remonter de la broche (débourrage) · Perçage complet du trou Dans cette exemple, la divergence en OU implique l’exécution ou pas de l’étape 4.On parle de saut d’étape ou saut de séquence s’il y a plusieurs étapes. Exemple : le transfert

Chronomètre. Protocole: Choix de l'emplacement pour effectuer le test de perméabilité, Réalisation du "trou" à l'aide d'une tarière pédologique de 15 cm, le "trou" doit faire entre 40 et 70 cm de profondeur, puis conserver la carotte de terre retirée pour faire un profil, (nous avons fait des trous d'environ 50cm de profondeur) Installation de la cellule de régulation au fond du trou de façon à ce qu'elle repose bien horizontalement, Connexion du réservoir d'eau claire à la cellule de régulation

l’embouchure, sur lequel est disposé un biseau permettant de faire vibrer l’air soufflé. 2 Contrairement aux autres bois la flûte traversière (tout comme le piccolo) ne contient ni anche simple, ni anche double. Son embouchure n’est fait qu’un d’un trou. Donc, pour produire un son, il suffit de trouver la bonne position de lèvres sur l’embouchure et de tenir la flûte horizontalement en plaçant ses doigts sur les clés. Pour jouer des notes graves nous devons souffler un peu vers le bas (plus dans la

le domaine de l’addition par exemple, quatre exercices sont proposés : * Le calcul différé : Une opération apparaît à l’écran, l’élève ne peut donner sa réponse avant que l’opération ne s’estompe. Image 11 * L’opération à trou : Une opération à trou apparaît à l’écran, l’élève doit donner sa réponse en dix secondes. Image 6 * La quadrilac : L’élève déplace l’étiquette du calcul vers le résultat correct Image 2 * Table attaque ! L’élève écrit le résultat des opérations

du poème, qui correspond au premier paragraphe, est marquée par la reprise d'un élément du titre : le nomfenêtre. Ce nom est répété trois fois avec le déterminant une ; puis il est repris par un terme associé (« une vitre ») et par la métaphore « ce trou noir ou lumineux », ces deux reprises se trouvant en progression linéaire. L'idée de fenêtre, objet donnant accès à l'imagination, n'est plus nommée par la suite. Ce sont plutôt les verbes dénotant le regard, qui apparaissent dans la zone du thème

Je guette, obéissant à mes humeurs fatales Des êtres singuliers, décrépits et charmants. Ces monstres disloqués furent jadis des femmes, Éponine ou Laïs ! Monstres brisés, bossus Ou tordus, aimons-les ! ce sont encor des âmes. Sous des jupons troués et sous de froids tissus Ils rampent, flagellés par les bises iniques, Frémissant au fracas roulant des omnibus, Et serrant sur leur flanc, ainsi que des reliques, Un petit sac brodé de fleurs ou de rébus ; Ils trottent, tout pareils à des marionnettes

pour conséquence de placer en début de vers et donc sous l’accent tonique des mots appartenant au champ lexical de la lumière. Cet effet est renforcé par le mot « rayons » qui clôt le dernier vers de la strophe. Ainsi, le paysage évoqué, ce petit « trou de verdure » se caractérise par son aspect lumineux et gai. On remarque que les sensations de la vue et de l’ouïe sont convoquées pour faire imaginer au lecteur un endroit enchanteur. La deuxième strophe introduit la figure du jeune soldat

travers un cercle de pierre d’une petite chapelle, rivalisent de laideur. Noël ! Noël ! Noël ! criait le peuple de toutes parts. C’était une merveilleuse grimace, en effet, que celle qui rayonnait en ce moment au trou de la rosace. Après toutes les figures pentagones, hexagones et hétéroclites qui s’étaient succédé à cette lucarne sans réaliser cet idéal du grotesque qui s’était construit dans les imaginations exaltées par l’orgie, il ne fallait rien moins, pour

LECTURE ANALYTIQUE N°1 : ARTHUR RIMBAU, « LE DORMEUR DU VAL » Le Dormeur du Val C’est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D’argent ; ou le soleil, de la montagne fière, Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tète nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l’herbe, sous la nue, Pale dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant