Le Vallon De Lamartine

d'école, il y a de grands créateurs. Alphonse de Lamartine (1790-1869). La publication de ses Méditations poétiques (1820) est l'une des grandes dates de la littérature française du XIXe siècle. Ce recueil eu un succès éclatant, car les lecteurs attendaient la transposition en vers des tendances profondes du romantisme: subjectivité, étalage du Moi, sensibilité extrême, sentimentalité, communion avec la nature aspiration vers l'infini. Lamartine a su insuffler à la poésie lyrique l'émotion sincère

récentes. La poésie lyrique permet au poète d’exprimer une émotion personnelle intense. Par conséquent les thèmes abordés par le lyrisme sont souvent l’amour, la femme, la mort, la nature, les saisons et les souvenirs. C’est le cas de Alphonse de Lamartine qui exprime son appréhension sur la mort a travers son poème l’Automne. La poésie engagée a pour but de dénoncer des faits, témoigner et faire prendre conscience d’un phénomène au lecteur, elle regroupe les thèmes tel que la misère, la guerre

révolutionnaire qui ne respecte pas trop les règles classiques adoptés dans le classicisme à l’époque de Louis XIV, et qui fait une synthèse de l’esprit du romantisme. On pouvait 6 trouvait des auteurs comme Balzac et Stendhal pour le roman, Hugo et Lamartine pour la poésie, Géricault et Delacroix pour la peinture et Berlioz pour la musique. Le massacre de la rue Transnonain (14 avril 1834), vu par Honoré Daumier. Wikipédia. 7 C) La Deuxième République (1848-1852). Le règne de Louis-Philippe

grotte humide et sombre Nous ne chercherons plus le frais, Et le soir, au temple rustique, Quand la cloche mélancolique Appellera tout le hameau, Nous n’irons plus, à la prière, Nous courber sur la simple pierre Qui couvre un rustique tombeau. Adieu, vallons; adieu, bocages ; Lac azuré, rochers sauvages, Bois touffus, tranquille séjour, Séjour des heureux et des sages, Je vous ai quittés sans retour. Déjà ma barque fugitive Au souffle des zéphyrs trompeurs, S’éloigne à regret de la rive Que n’offraient

La Liberté Préface : Poèmes : 1) 2) 3) 4) 5) 6) 7) 8) 9) Liberté, Paul Eluard 1942………………………. L’évadé, Boris Vian…………………… La Liberté, ou une nuit à Rome, Alphonse de Lamartine……………………….. La guerre, Louise Ackermann Mon livre, Louise Ackermann Le lion abattu par l’homme, Jean de La Fontaine La liberté de la lune, Robert Frost La liberté, Ambrose Bierce Sainte liberté, Raymond A. Foss 10) Je préfère la liberté superbe, Aleksandr Blok 11) XIV liberté, Gibran Khalil Chansons : 12) Liberté, Gilbert

Coat-ar-Gueven Y. Coll et Mesnos n Ta Feuillère Rue Cavale Blanche Kervallon Dupuy de de Lôme Kergrac'h Rte l rva Ke lo n Boulogne 3 teloire 26 28 e l'Har Pont d Coppin Foch l'Harteloire Albert Ier Ste Anne Lamartine Centre Funéraire B oulevard Bach Wagner Amiral Ronarc'h Bouguen Porte de la Brasserie 22 23 24 Gendarmerie25 27 20 Harteloire Médecine 24 2 25 12 5 27 22 as M Kerigonan e Ru Je e Ru 3 1 an u Ja Valmy

parle d’un pays qu’il n a jamais vu, qui lui a été révélé par des lectures, des recherches, des récits de voyages. -Exotisme concret : car il est vécu, c’est l’exotisme des voyageurs quand ils sont écrivains, Chateaubriand en Amérique et en Orient, Lamartine, Nerval, Gautier, Bowles sur les rives de la Méditerranée. Paul Bowles aura été un des derniers occidentaux à avoir été révéler sensuellement par la découverte des colonies, Bowles cherche t-il à se perdre ou à se retrouver en débarquant à Tanger

inspire à Hugo la volonté d’être lui ou rien ; Lamartine également, dont la carrière ensuite lui sert d’exemple –à ne pas suivre ; ou encore, plus tard, Vallès, Zola, voire Thiers, Guizot et, pourquoi pas ? Emile de Girardin. Est-ce à cause de l’infériorité de leur génie, de la moindre portée de leur action qu’a été réservée à Hugo cette gloire qui est l’aveu par l’histoire et l’absorption en elle d’une excellence ? C’est selon. Mais surtout, en Lamartine comme en Chateaubriand, seule l’individualité

Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens, Qui chantent les transports de l'esprit et des sens. [8] Lamartine : Milly ou la terre natale (I) Pourquoi le prononcer ce nom de la patrie ? Dans son brillant exil mon coeur en a frémi ; Il résonne de loin dans mon âme attendrie, Comme les pas connus ou la voix d'un ami. Montagnes que voilait le brouillard de l'automne, Vallons que tapissait le givre du matin, Saules dont l'émondeur effeuillait la couronne, Vieilles tours que le soir

humide et sombre Nous ne chercherons plus le frais, Et le soir, au temple rustique, Quand la cloche mélancolique Appellera tout le hameau, Nous n’irons plus, à la prière, Nous courber sur la simple pierre Qui couvre un rustique tombeau. Adieu, vallons; adieu, bocages ; Lac azuré, rochers sauvages, Bois touffus, tranquille séjour, Séjour des heureux et des sages, Je vous ai quittés sans retour. Déjà ma barque fugitive Au souffle des zéphyrs trompeurs, S’éloigne à regret de la rive Que n’offraient