Le Village des ombres

BIOGRAPHIE : Colette Sidonie-Gabrielle Colette née à (Bourgogne) le 28 janvier 1873, morte à Paris le 3 août 1954. Vecu enfance heureuse un village de bourgogne. Adorée par sa mere. Rencontre à l’adolescence Henri Gauthier Villars Elle se marie avec lui à l’âge de 20 ans. Son mari, surnommé willy était un auteur de roman bien connu. Il remarque les dons d’écriture de sa femme, et lui demande d’écrire ses souvenirs d’école dont elle fit un livre nommé « Claudine a l’école » que son mari signa

peinte en 1952 représentant une villa au bord de l’eau. On remarque tout d’abord que les deux peintres ont choisis le même thème, à savoir un paysage méditerranéen, mais qu’il ne le traite pas de la même manière. Ainsi Matisse représente un vieux village de campagne avec son clocher et ses maisonnettes : il choisit donc un décor champêtre. Tandis que Picasso se concentre sur une grande villa et favorise la richesse et la modernité. Ensuite nous pouvons remarquer que Picasso favorise les couleurs chaude

l’eau polluée et donc inutilisable ; sur le fait qu’énormément de soldats sont envoyés constamment en patrouille pour faire des prisonniers et les interroger ; sur le fait que des troupes sont périodiquement retirées pour aller au repos dans un village français en retrait du front. Il nous indique que les tranchées étaient infestées de rats. Il nous montre la différence entre une tranchée Allemande et une tranchée Française. Il est également instructif sur la banalité de la guerre, la camaraderie

ANALYSE : -COORDONNEES : LE CARAVAGE, Le souper à Emmaüs, 1606, huile sur toile, 141cm sur 175cm -THEME: Cette scène issue du Nouveau Testament[->17] est traité « à la lettre » par Le Caravage : (Marc, 16,12). Deux disciples font route vers un village nommé Emmaüs. Pendant leur marche, un homme (Jésus) les rejoint. Ce n'est qu'au moment du repas, après une longue discussion entre les trois personnages que les deux disciples se rendîrent compte que l'homme qui est en train de bénir le pain est Jésus

les mains. Un chemin creux s'enfonçait. Tout disparut. L'homme avait à sa droite une palissade, quelque mur de grosses planche fermant une voie ferrée; tandis qu'un talus d'herbe s'élevait à gauche, surmonté de pignons confus, d'une vision de village aux toitures basses et uniformes. Il fit environ deux cents pas. Brusquement, à un coude du chemin, les feux reparurent près de lui, sans qu'il comprît d'avantage comment ils brûlaient si haut dans le ciel mort, pareils à des lunes fumeuses. Mais

 loin des bouillonnements de la grande ville,  avec  ses  lumières,  ses  ombres  sur  le  pavé,  des  bourgeois  hypocrites,  bien  habillés,  qui,  dans   la  nuit,  se promenaient  avec  leurs  familles  dans  les  rues de Paris. Mais à la campagne, la Lune éclairait les champs et les prés  glacés  par  le  gel.  Les  étoiles  étincelaient,  seul  le  hululement  des  hiboux  résonnait  dans  la nuit fraîche. La place  du  village  était  déserte,  silencieuse,  sans  un  bruit de pas ni un éclat de voix

est un décor avec des toits de bâtiments. La photo n’etant pas d’une qualité extraordinaire on discerne mal les motifs représentés. 4) Composition de l’œuvre La photo représente qui la cour de sa maison de campagne, domaine du Gras, dans le village de Saint-Loup-de-Varennes, a été prise de la fenêtre d'un des étages supérieurs ; cela représente une aile de sa propriété. Au centre de l’œuvre on peut distinguer le toit d’un bâtiment avec sur les cotés des murs peu visibles. Les motifs sont placés

Canavaro est un ancien rugbyman expérimenté mais son fils Tom est un piètre joueur, capable de comprendre le théorème de Thalès mais incapable de plaquer un adversaire. Jo n’arrive pas à concevoir cela et va décider de créer une nouvelle équipe dans son village du Tarn, cette idée ne plait pas à tous mais grâce à l’aide de ses amis il va réussir à faire de son fils un vrai Canavaro. Une comédie familiale qui permet de passer un bon moment devant un film, l’équipe du film à touché au rugby ce qui nous

Blés jaunes, 1889, Nuit étoilée, 1989). II. Analyse de l’œuvre. a) description: C’est par une belle nuit étoilée que Vincent Van Gogh a dû peindre ce tableau. En effet, nous pouvons d’abord apercevoir un cyprès se découper devant un petit village pas totalement endormi : l’arbre est large à sa base, mais devient de plus en plus filiforme à mesure qu’il grandit dans le ciel. Un clocher se profile derrière les habitations, accompagné de quelques arbres et d’une imposante colline. Le ciel lui

 Mon auberge était à la Grande­Ourse.  ­ Mes étoiles au ciel avaient un doux frou­frou.    Et je les écoutais, assis au bord des routes,  Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes  De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ;    Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,  Comme des lyres, je tirais les élastiques  De mes souliers blessés, un pied près de mon cœur !    Arthur Rimbaud (1870)                    Voyageur, voyageur …    Voyageur, voyageur, accepte le retour,  Il n’est plus place en toi pour de nouveaux visages