Légende noire

symbole= el símbolo Incarner = encarnar Lutter = luchar por Combattre= combatir Avoir envie= Tener ganas de Donner envie = Dar ganas de Rêver de = Soñar con   Le héros= El heroe   Les qualités= las cualidades Les exploits= las hazañas La légende = la leyenda Héroique= heroico Idealiste = idealista Fort= fuerte La force = la fuerza Courageux= valiente Le courage= El valor Persévérant= perseverante Modeste = modesto Altruiste = altruista Intègre = íntegro Généreux= generoso Intelligent=

 un  ombilicologue1  averti  !   En  10  ans  plus  de  50  000  personnes  ont  pu  déambuler,   «  benaiser2  »,  écouter  histoires  d’ci  et   d’ailleurs...  et  découvrir  LA  VERITABLE  LEGENDE  DE  POUGNE-­‐HERISSON.   Le   JARDIN   DU   NOMBRIL   est   aussi  devenu   un   théâtre   pour   spectacles   et   rendez-­‐vous   culturels.     Enfin,  LE   NOMBRIL   est   un   lieu  de   formation

Dallet Eldorado Nicolas 1ereS3 1. Eldorado est une légende : c’est un pays supposant regorger d’or. Ce mythe est apparu dans la région de Bogota en 1536. Ce pays légendaire est supposé se trouver en Amérique du Sud. Dans Candide de Voltaire ce lieu est décrit comme un endroit qui n’existe pas. C’est une utopie : un lieu qui n’existe pas, un pays imaginaire où l’homme n’est pas corrompu par l’argent. Eldorado peut être utilisé comme un lieu idéal

 Lecture analytique du poème Ondine Ondine est un poème extrait du livre Gaspard de la nuit et écrit par Aloysius Bertrand en 1842. Une Ondine est une créature surnaturel d'eau douce selon la mythologie germanique. Créatures olympiennes plutôt maléfiques possédant une chevelure verte et un corps ondoyant, elles attirent les hommes au fond des eaux afin de se reproduire puis les tuent. A travers cette poésie, nous allons essayer de savoir si le poète est séduit par cette créature légendaire malgré

Beaugrand a voulu laisser sa marque dans l’histoire en suscitant le scandale et la polémique. Alors, c’est un bon endroit pour faire la prochaine manifestation, son esprit sera probablement des vôtres. La chasse-galerie La chasse galerie est une légende québécoise écrite par Honoré Beaugrand. Il publiera ses premiers récits du livre «La chasse galerie» dans le journal La patrie. La première parution fut en 1900. En fait, ceci est une œuvre importante de la littérature canadienne-française du 19ième

d’abord le récit de Beaugrand, qui par son caractère fantastique, amène les personnages à faire preuve d’un grand héroïsme. Au premier abord, l’auteur intègre des événements particuliers qui forcent le récit à prendre un caractère de légende. Sachant qu’une légende est toujours caractérisée par une confrontation entre le bien et le mal, on peut déduire que les occupants de l’histoire devront faire preuve d’héroïsme afin de sortir victorieux sur l’emprise « du méchant ». Dans l’extrait à l’étude,

a légende du kraken est, finalement, presque réelle, étant donné que dans les mers vivent effectivement calmars et pieuvres énormes; d'autre coté sont seulement légendes les récits qui parlent d'attaques contre les navires et aussi certaines caractéristiques attribuées à ces creatures. Le kraken dans la légende est un animal géant qui vit dans les mers, sourtout dans les abysses, et parfois émerge en causant accidents aux marins; la version plus diffusée (environ 1700) parle d'une sorte de calmar

Romulus et Remus. 2) T.L propose les deux versions de l’histoire comme un souci d’objectivité et donne de la vraisemblance psychologique à son récit. II/ Une valeur essentiellement symbolique 1) Une légende, pas un événement : T.L n’a bien sûr pas de source historique, il se fonde sur la légende : fertur (l.6) fama (l.12) a) Le récit fondateur de la lutte entre les frères jumeaux R et R (cf. bible Abel et Caïn) b) Champs lexical de la violence Conclusion : selon T.L il semble que la volonté

qu'elle fut engloutie pour punir Dahu de ses péchés. Le premier récit réellement complet (à partir duquel tous les récits actuels sont écrits) est dû à Charles Guyot et date de 1926. Il est très marqué par l'image de la femme au XIXe siècle. La légende de la ville d'Ys n'a pas été fixée. Il n'y a pas d'histoire originelle, les versions les plus anciennes datant d'après la christianisation de la Bretagne. Il n'y a que des variations plus ou moins bonnes autour d'un thème, lui-même peu stable. Globalement

(le Ficus Ruminalis) situé devant l'entrée de la grotte du Lupercale, au pied du Palatin, par une louve qui les allaita[9],[10] et par un pivert, l'oiseau de Mars[11],[12]. Tite-Live et Plutarque rapportent[13],[14] une autre explication de la légende : les jumeaux auraient été nourris certes par une lupa, mais au sens de prostituée[15]. Ils sont découverts dans la grotte du Lupercale, par le berger Faustulus, gardien des troupeaux d'Amulius, et sa femme Larentia, une prostituée que les bergers