Leo Fender

possèdent une certaine opacité et ne tiennent pas un discours édifiant; aussi l’analyse que nous nous proposons de mener, tentera-telle, de dégager des éléments qui éclaireront leur compréhension. Nous nous appuierons sur les schémas développés par Léo H. Hoek dans son article intitulé « Description d’un archonte : préliminaires à une théorie à partir du nouveau roman »1. Nous utiliserons les abréviations suivantes : dét. = déterminant déf. = défini ind. = indéfini sn. = syntagme nominal r. = opérateur

texte suivant : L'automobiliste et l'imprudent piéton échangèrent des invectives sonores. Le silence c'était le silence. Compact et tout quand il était de service. Mais si on le rompait, les responsables de cette rupture en voulaient pour leur fric. (Léo Malet) • Montrez comment les énoncés du texte suivant sont rattachés à ce qui précède : − Savez-vous quel est ce numéro, mademoiselle? − Bien sûr. C'est celui de la maison où la dame travaille. Justine le demande toua les jours : vous pouvez le voir

texte suivant : L'automobiliste et l'imprudent piéton échangèrent des invectives sonores. Le silence c'était le silence. Compact et tout quand il était de service. Mais si on le rompait, les responsables de cette rupture en voulaient pour leur fric. (Léo Malet) • Montrez comment les énoncés du texte suivant sont rattachés à ce qui précède : − Savez-vous quel est ce numéro, mademoiselle? − Bien sûr. C'est celui de la maison où la dame travaille. Justine le demande toua les jours : vous pouvez le voir

APPRENDRE À APPRENDRE Le management et l’histoire Nous qui voulons toujours raison garder. Philippe LE BEL, Lettre du 1er septembre 1286 La raison doit être la règle et conduite d’un Etat. RICHELIEU Du danger du manque de discernement : la vedette Léo Marjane à qui l’on reprochait d’avoir continué à chanter sous l’occupation devant des officiers allemands eut pour toute réponse à son procès : « Je suis myope ». Ils ont leur conception du patriotisme. Moi j’ai la mienne et je ne suis pas sûr d’avoir

APPRENDRE À APPRENDRE Le management et l’histoire Nous qui voulons toujours raison garder. Philippe LE BEL, Lettre du 1er septembre 1286 La raison doit être la règle et conduite d’un Etat. RICHELIEU Du danger du manque de discernement : la vedette Léo Marjane à qui l’on reprochait d’avoir continué à chanter sous l’occupation devant des officiers allemands eut pour toute réponse à son procès : « Je suis myope ». Ils ont leur conception du patriotisme. Moi j’ai la mienne et je ne suis pas sûr d’avoir

bannière embrasée, Rouge, vaste et sombre, Au-dessus de la lutte des vaillants : Sa joie est dans le cliquetis des épées et des boucliers rompus ; Il aime à lécher le sang fumant qui s’échappe des blessures. – 439 – IV Tous doivent périr ! L’épée fend les casques, La robuste armure est transpercée par la lance, Le feu dévore le palais des princes, Les machines renversent les défenseurs du camp. Tout doit périr ! La race d’Hengist a disparu, Le nom d’Horsa a disparu. Ne reculez donc pas devant votre

tubéreuses. LA BRUYÈRE Le management et l’histoire Nous qui voulons toujours raison garder. Philippe LE BEL, Lettre du 1er septembre 1286 La raison doit être la règle et conduite d’un Etat. RICHELIEU Du danger du manque de discernement : la vedette Léo Marjane à qui l’on reprochait d’avoir continué à chanter sous l’occupation devant des officiers allemands eut pour toute réponse à son procès : « Je suis myope ». Ils ont leur conception du patriotisme. Moi j’ai la mienne et je ne suis pas sûr d’avoir

lentement le tour. / Son eau fraîche a fui goutte à goutte, / Le suc des fleurs s’est épuisé ; / Personne encore ne s’en doute, / N’y touchez pas, il est brisé. / Souvent aussi la main qu’on aime, / Effleurant le coeur, le meurtrit ; / Puis le coeur se fend de lui-même, / La fleur de son amour périt ; / Toujours intact aux yeux du monde, / Il sent croître et pleurer tout bas / Sa blessure fine et profonde ; / Il est brisé, n’y touchez pas. Sully Prudhomme, Stances et poèmes , 1865 Chapitre 17 Les

lentement le tour. / Son eau fraîche a fui goutte à goutte, / Le suc des fleurs s’est épuisé ; / Personne encore ne s’en doute, / N’y touchez pas, il est brisé. / Souvent aussi la main qu’on aime, / Effleurant le cœur, le meurtrit ; / Puis le cœur se fend de lui-même, / La fleur de son amour périt ; / Toujours intact aux yeux du monde, / Il sent croître et pleurer tout bas / Sa blessure fine et profonde ; / Il est brisé, n’y touchez pas. Sully Prudhomme, Stances et poèmes, 1865 Chapitre 17

Jonas poursuit son hideux sommeil. Il ne voit ni le ciel obscur, ni la mer en furie, il n’entend pas craquer les membrures, à peine perçoit-il, ou remarque-t-il dans le lointain, la ruée de la puissante baleine qui, d’ores et déjà, la gueule béante, fend les mers à sa poursuite. Oui, camarades, Jonas, dans les flancs d’un navire, étendu sur sa couchette, dormait profondément. Mais le maître d’équipage, dans sa terreur, vint à lui et cria dans son oreille morte : « Pourquoi dors-tu ? Lève-toi ! »