Les Adieux Du Vieillard

: le noir soleil de la mélancolie; un mort-vivant Le chiasme : sur 4 éléments, le premier et le 4ème peuvent être associés, le 2ème et le 3ème peuvent être rapprochés. Ex : Et l’on voit de la flamme aux yeux des jeunes gens Mais dans l'œil du vieillard on voit de la lumière. (Hugo) L’antiphrase : expression ironique d’une idée par son contraire. Ex : Ah, tu es belle comme ça! =ça ne va pas du tout. → Les figures de la répétition : Le parallélisme : répétition de la même construction

lentement, de jour en jour. De toute façon, l’enfant ne sentira rien n’est même pas conscient dans le ventre de sa mère; je dis cela parce que je n’ai jamais entendu personne me dire qu’il a un souvenir lorsqu’il avait moins d’un an. La mort d’un vieillard est triste, mais pas autant que celle d’un enfant, car elle fait partie du cycle de la vie. Tout comme une chenille qui se métamorphose en papillon après avoir existé un certain temps, l’homme doit passer à la prochaine étape à un moment en arrêtant

- Permet d’exprimer implicitement plus qu’il n’est dit ; renforce l’idée L’anaphore (une) : On répète un mot ou une expression en début de vers, de phrase, de membre de phrase ou de paragraphe. Ex : " Adieu la peine et le plaisir. Adieu les roses / Adieu la vie adieu la lumière et la vent " Rythme le texte, souligne un mot, met l’accent sur une idée pour exprimer une obsession, ou pour convaincre. La gradation : On fait se succéder des termes d’intensité croissante ou décroissante

: le noir soleil de la mélancolie; un mort-vivant Le chiasme : sur 4 éléments, le premier et le 4ème peuvent être associés, le 2ème et le 3ème peuvent être rapprochés.  Ex : Et l’on voit de la flamme aux yeux des jeunes gens Mais dans l’oeil du vieillard on voit de la lumière. (Hugo) L’antiphrase : expression ironique d’une idée par son contraire.  Ex : Ah, tu es belle comme ça! =ça ne va pas du tout.    Les figures de la répétition : Le parallélisme : répétition de la même construction dans

fille. L'embarras des chasseurs succède au déjeuné. Chacun s'anime et se prépare : Les trompes et les cors font un tel tintamarre Que le bon homme est étonné. Le pis fut que l'on mit en piteux équipage Le pauvre potager ; adieu planches, carreaux ; Adieu chicorée et porreaux ; Adieu de quoi mettre au potage. Le Lièvre était gîté dessous un maître chou. On le quête ; on le lance, il s'enfuit par un trou, Non pas trou, mais trouée, horrible et large plaie Que l'on fit à la pauvre haie Par ordre du Seigneur

rendent responsable Etienne des morts causés par la révolte. Chez les Grégoire, on célèbre les fiançailles de Cécile et de Négrel. Deneulin s'est résigné à vendre sa mine à la Compagnie. Étienne et Souvarine confrontent leurs opinions. Il fait ses adieux à Étienne, avant de descendre dans le puits du Voreux pour le saboter. C'est la reprise du travail. Par suite du sabotage, les galeries sont inondées. On évacue, mais l'équipe d'Étienne est restée au fond. La mine s'effondre dans un gigantesque cataclysme

lecteur d Bougainville, A, et un ami curieux mais ignorant, B. Ceux-ci commencent par échanger sur les origines des maux et sur les rôles de la propriété. Comme preuve, Diderot fait intervenir un soi-disant passage du Supplément, intitulé «  Les adieux du vieillard », où il imagine le discours qu’aurait prononcé un vieux Tahitien, cité par Bougainville, au moment du départ de celui-ci. Cet extrait s’inscrit dans les débuts de ce discours. Problématique : En quoi ce discours réunit-il le blâme et la promotion

voilà, toi ! Tu t’embêtes déjà dans ton logis. — Non, père, mais j’avais à causer avec maman ce matin. Jean s’avança, la main ouverte, et quand il sentit se refermer sur ses doigts l’étreinte paternelle du vieillard, une émotion bizarre et imprévue le crispa, l’émotion des séparations et des adieux sans espoir de retour. En ce qui concerne l’organisation du récit, Maupassant utilise le plus souvent une narration linéaire avec éventuellement quelques retours en arrière explicatifs limités (dans Bel-Ami

convaincre, persuader, délibérer) Tahar Ben Jelloun, site www.taharbenjelloun.org, « suis-je un écrivain arabe ? » p. 151-2. Césaire, Discours sur le colonialisme, p. 146-147 Diderot, Supplément au voyage de Bougainville, chap. II « Les adieux du vieillard », p.142-3 Voltaire, L’Ingénu, Chap. I, « Comment le prieur de Notre Dame de la Montagne et Mademoiselle sa sœur rencontrèrent un Huron », p. 116-117 Analyse d’image : Henri Rousseau (dit le douanier), Forêt vierge au soleil couchant ou

assurance de qui ne fait qu'accomplir son travail de tous les jours ; mais comme Renzo s'attardait un peu trop à dire adieu à Francesca, sa fiancée, d'un seul coup en pleine figure ils l'envoyèrent rouler à terre : c'était leur travail de tous les jours. En moins de dix minutes, je me trouvai faire partie du groupe des hommes valides. Ce qu'il advint des autres, femmes, enfants, vieillards, il nous fut impossible alors de le savoir : la nuit les engloutit, purement et simplement. Aujourd'hui pourtant