Les Adieux Du Vieillard

en l’imitant frappée a la porte, et en tremblant comme Orphise Transit, pâlit, rougit, me cache en sa ruelle, Ouvre enfin, et d’abord (qu’elle eut d’esprit et d’art !) En immitant Orphise ouvrir la porte Elle se jette au cou de ce pauvre vieillard, Dérobe en l’embrassant son désordre à sa vue ; En ouvrant grand les bras Il se sied ; il lui dit qu’il veut la voir pourvue, Lui propose un parti qu’on lui venait d’offrir. S'asseoit Jugez combien mon cœur avait lors à souffrir 

nue sur la civière (…) et sur son tombeau il a plu bien des larmes ». Cette dernière phrase nous montre une perte des sentiments de la jeune femme envers la mort de son père, aucune tristesse n’est ressentie dans ses paroles. Puis Ophélia dit : « Adieu, mon tourtereau » (l.15) or un tourtereau signifie l’être aimé mais ne caractérise pas un père, ce qui démontre une incohérence dans ses propos. Dans sa seconde chanson, Ophélia fait la répétition de « Et ne reviendra-t-il pas ? » ainsi que de « Il

d'exposition de L'Heautontimoroumenos, par l'intermédiaire d'un porte-parole exprime son esthétique dramatique : « donnez moi la possibilité de jouer une pièce calme, […] pour que je n'aie pas toujours à tenir le rôle, […] d'un esclave courant, d'un vieillard en colère, d'un parasite vorace, […] et cela avec de grands cris et de grands efforts. » C'est donc en ces termes qu'il faut définir les sources de Molière mais également de toutes les comédies: en Italie la commedia sostenuta tient plus de Térence

Laerte n’attends plus rien de sa sœur. On remarque tout de même que Laerte éprouve une certaine pitié pour sa sœur, même si elle n’ait pas la victime à la base, « est-ce possible que la raison d’une jeune fille soit aussi mortelle que la vie d’un vieillard ? » cette métaphore permet de montrer que Laerte éprouve de la compassion pour sa sœur. Laerte est davantage attristé par la mort de son père à cause de la folie de sœur Ophélia ; « Tu aurais ta raison et tu me prêcherais la vengeance, que je serai

parcourir le prétendu Supplément au voyage de Bougainville, qui remet en cause certaines affirmations du navigateur français. Deux récits (fictifs, puisqu'ils sont écrits par Diderot) tirés du Supplément s'intègrent au dialogue de A et B: Les adieux du vieillard et Entretien de l'aumônier et d'Orou. Au fil des récits et du dialogue, A et B vont progressivement réfléchir et débattre sur les moeurs et la société européenne en général, qui sont très différentes des coutumes Otaïtiennes dont il est question

même quand on se quitte pour peu de temps. Orso devait partir avec sa soeur de très bon matin, et la veille au soir il avait pris congé de miss Lydia, car il n’espérait pas qu’en sa faveur elle fit exception à ses habitudes de paresse. Leurs adieux avaient été froids et graves. Depuis leur conversation au bord de la mer, miss Lydia craignait d’avoir montré à Orso un intérêt peut-être trop vif, et Orso, de son côté, avait sur le coeur ses railleries et surtout son ton de légèreté. Un moment

roman sa vision pessimiste de l'existence. Ce roman est d'un registre pathétique. Résumé du roman Dans une plaine intérieure de l'Ile de France (la future île Maurice), le narrateur découvre les ruines de deux petites cabanes. Il rencontre un vieillard venant "à passer aux environs" et lui adresse la parole : " Mon père, lui dis-je, pourriez-vous m'apprendre à qui ont appartenu ces deux cabanes ?" Le vieil homme, à la fois conteur, témoin de ce paradis perdu, et unique survivant va lui conter l'histoire

l’immense azur. De ton sanglant linceul* tout le ciel se colore, Et le regard funèbre où luit ton dernier feu, Ce regard sombre et doux, dont tu couves encore Le lys* que ta ferveur* a fait naguère* éclore, Est triste infiniment, mais n’est pas un adieu. René-François Sully COMMENTAIRE

11 et 12, l’adverbe d’intensité « si » renforce les adjectifs « bonne, pure et radieuse » et exprime l’attachement du personnage à sa vie présente, sous le signe de la vertu, tandis que l’énumération montre l’ampleur du sacrifice l11 à13 : « dire adieu à cette existence…, à ce respect de tous, à l’honneur, à la liberté ! » La répétition de la négation « ne … plus » l 13 à 16 évoque avec insistance l’ampleur de la perte. Il s’agit en effet, en se dénonçant, de renoncer à sa dignité d’homme,

campagne aussitôt ; Et le citadin de dire : « Achevons tout notre rôt. – C’est assez, dit le rustique ; Demain vous viendrez chez moi. Ce n’est pas que je me pique De tous vos festins de roi ; Mais rien ne vient m’interrompre : Je mange tout à loisir. Adieu donc : Fi du plaisir Que la crainte peut corrompre ! » 19 Le Loup et l’Agneau La raison du plus fort est toujours la meilleure : Nous l’allons montrer tout à l’heure. Un Agneau se désaltérait Dans le courant d’une onde pure ; Un Loup survient à