Les Amours Sonnet 18 Ronsard

|Poèmes d’amour (L – juin 2009) |Question : Quels sont les différents destinataires de ces poèmes ? | |- Ronsard, « Madrigal », Sonnets pour Hélène |Commentaire : Musset, « A George Sand », Poésies posthumes | |- Musset, « A George Sand », Poésies

François Rabelais L'Heptaméron de Marguerite de Navarre. Le théâtre: Eugène , Cléopâtre captive d’Etienne Jodelle Les Juives de Robert Garnier La poésie: Défense et illustration de la langue française, Regrets de Joachim du Bellay Amours de Cassandre de Pierre de Ronsard Les réflexions et les essais : Essais de Michel de Montaigne La peinture : La Joconde de Léonard de Vinci LE BAROQUE Dans la seconde moitié du 16ème siècle, le conflit entre catholiques et protestants, la faiblesse du pouvoir

très recherchées. Peire Cardenal (v. 1180 - v. 1280), de famille noble, après une formation de clerc, compose une œuvre abondante : après quelques chansons d'amour dans sa jeunesse, il s'adonne plutôt à la satire, d'une ironie âpre, dans 56 sirventès, 18 coblas et divers chants. Guiraut Riquier (fin XIIIe-1292) est l'un des derniers troubadours et l'un des plus féconds. Pour vivre de sa plume, il doit aller, en ce crépuscule de la poésie occitane, de protecteur en protecteur. Très prolixe, il compose

valorisées « Une femme est l’amour » , Gérard de Nerval (p 9-10) « Une femme » , Louise Ackermann (p 11-12) « Mon rêve familier » , Paul Verlaine (p 13-14) « D’où nous venons » , Bernard Lorraine (p 15-16) « Le temps dans tes yeux » , Michel Lautru (p 17-18) « L’aïeule » , Alice de Chambrier (p 19-20) Femmes tout simplement « Lettre » , François Coppée (p 21-22) « Aux trois aimés » , Marceline Desbordes-Valmore (p 23-24) Femmes dévalorisées « Vous faites voir des os » Vous faites voir des

l’éblouissement | | | |perdu... » (Saint-John Perse, Images à Crusoé, « Le Livre ») ? |18 – Saint-John Perse, Eloges « Le mur », Images à Crusoé, p.15 | | | |

J’ai tant rêvé de toi » in « A la mystérieuse », Corps et Biens - Eluard, « La dame de carreau », Les Dessous d’une vie - Roy, « Tant », Le Voyage d’automne HACHETTE Annales Bac 2007 HATIER Annabac 2006 Poèmes d’amour (L – juin 2009) - Ronsard, « Madrigal », Sonnets pour Hélène - Musset, « A George Sand », Poésies posthumes - Verlaine, « Ô triste, triste était mon âme », Romances sans paroles - Desnos, « Non, l’amour n’est pas mort », Corps et Biens NATHAN Annales 2010 Verlaine (corpus 5, p. 318)

J’ai tant rêvé de toi » in « A la mystérieuse », Corps et Biens - Eluard, « La dame de carreau », Les Dessous d’une vie - Roy, « Tant », Le Voyage d’automne HACHETTE Annales Bac 2007 HATIER Annabac 2006 Poèmes d’amour (L – juin 2009) - Ronsard, « Madrigal », Sonnets pour Hélène - Musset, « A George Sand », Poésies posthumes - Verlaine, « Ô triste, triste était mon âme », Romances sans paroles - Desnos, « Non, l’amour n’est pas mort », Corps et Biens NATHAN Annales 2010 Verlaine (corpus 5, p. 318)

Livre ») ? Etudes transversales et thématiques : le motif de la ville  Le chant du monde 17 – Saint-John Perse, Eloges « Vendredi », Images à Crusoé, p.19 18 – Saint-John Perse, Eloges « Le mur », Images à Crusoé, p.15 19 – Saint-John Perse, Eloges « La Ville », Images à Crusoé, vs 13-25, p.17-18 20 – Saint-John Perse, Eloges « Palmes ! [...] », Pour fêter une enfance, I p.28-29 Textes complémentaires : Saint-John Perse, Allocution au banquet Nobel,

facile rend l'amour sans valeur, une conquête difficile lui donne du prix.  15. Tout amant doit pâlir en présence de son amante.  16. A la vue soudaine de son amante, le cœur d'un amant doit tressaillir.  17. Un nouvel amour fait oublier l'ancien. 18. Rien que le bon caractère rend l'homme digne d'amour.  19. Quand l'amour diminue, il diminue vite et se renforce rarement. 20. L'amoureux est toujours craintif.  21. Vraie jalousie fait toujours croître l'amour. 22. Un soupçon sur son amante, jalousie

Si celui qui s'apprête à faire un long voyage Si celui qui s'apprête à faire un long voyage Doit croire celui-là qui a jà voyagé, Et qui des flots marins longuement outragé, Tout moite et dégouttant s'est sauvé du naufrage, Tu me croiras, Ronsard, bien que tu sois plus sage, Et quelque peu encor (ce crois-je) plus âgé, Puisque j'ai devant toi en cette mer nagé, Et que déjà ma nef découvre le rivage. Donques je t'avertis que cette mer romaine, De dangereux écueils et de bancs toute pleine