Les Armes secrètes

de Jean-Marie Bockel…, étaient reliés par une logique implacable : la mise en oeuvre d’une politique occulte dont la motivation principale était l’approvisionnement énergétique de la France, en particulier en pétrole. Françafrique révèle un monde secret où, en dehors de tout contrôle parlementaire ou gouvernemental, tous les coups sont permis pour maintenir au pouvoir des chefs d’État africains dévoués à la France. Un monde ou des sommes d’argent colossales irriguent clandestinement des réseaux d’enrichissement

ils sont accusé d’avoir livré à l’URSS des secrets de larme nucléaire ce qui est une haute trahison à l’époque. Ils sont reconnus coupables et condamnés à mort. Toute une campagne médiatique émane alors, on critique les Etats-Unis, ils ont le monde contre eux, il faut sauver les « Rosenberg ». Le maccartisme devient alors très négatif. Cependant, après l’ouverture des archives en 1990, on découvre que ces gens sont effectivement depuis 1948 des agents secrets de l’URSS sous les noms de code « Libéral »

marchandises illicites entre différents pays ou au sein d’un même pays. Parmi ces réseaux on trouve : • Le trafic d’animaux qui est le commerce illégal (d'animaux ou de plantes protégés). • le trafic d’armes qui consiste à approvisionner en armes ou en munitions une entité (groupe combattant, association criminelle, État) en violant les réglementations internationales sur les ventes d'armes. Sa définition reste floue, nombre de ventes d'armes se faisant sur le « marché gris » de l’armement

quelques jours de combats, seuls 16 des 82 hommes engagés ont survécu. Ils se réfugient dans la Sierra Maestra d'où ils mènent une guérilla contre l'armée de Batista. Batista est soutenue par le gouvernement américain qui lui fournit de l'argent et des armes. Batista commet une erreur stratégique en ne les repoussant pas à la mer : il déclare que personne ne survit dans la Sierra Maestra. Mais Castro et ses hommes survivent parmi les survivants se trouvent Che Guevara, Raúl Castro, Camilo Cienfuegos.

« rations » revenaient donc à une surimposition de la taille. RÉVOLTES Les révoltes Louis XIII annule en 1624 droit particulier pour le Quercy en ce qui concerne impôt sur sel (gabelle). Printemps : on parle de 5000 paysans armés, parfois aidés par nobles qui saccagent et pillent et incendient maisons des collecteurs. Armée de Richelieu intervient. Paysans dispersés aux environ de Cahors. Chefs de révolte exécutés. Émeutes des villes de Guyenne (mai-juillet 1635) : Août

procèdent au suffrage selon l’organisation militaire du peuple ; les centuries. Celles-ci votent les unes après les autres et en leur sein, par ordre hiérarchique ; les equites (les officiers de cavalerie) puis les pedites (soldats a pieds) puis les non armés. Enfin les, comices tributes rassemblent le peuple en tribus, 4 urbaines et 31 rurales. Le vote est censitaire. Il peut être rapproché du concilium plébis qui, fonctionnant selon le même schéma exclu néanmoins les patriciens. Dans le deuxième extrait

alliés du ghetto que nous raconte Amélie. Elle nous décrit toute l'organisation de la petite armée. L'hôpital, les grades, les armes hors normes (heureusement) pas d'armes à feu, pas de mines, pas d'armes blanches mais des armes naturelles : pipi, vomissure, menaces en langues étrangères pour faire monter la pression? tout ça utilisé en véritable torture. L'arme secrète est tout simplement dégoûtante, les petits alliés vont tous faire leurs besoins dans une grande cuve dans laquelle ils trempent

(1962-1975) La crise de Cuba Fidel Castro est au pouvoir à Cuba suite au renversement du régime proaméricain. Celui-ci est arrivé au pouvoir par les armes. Il est procommuniste. En 1961, les Etats-Unis, inquiets organisent un débarquement dans la baie des cochons mais Castro parvient à accueillir des armes nucléaires soviétiques. En 1962, les services secrets américains ont la preuve de leur existence. Cette crise a faillit déclencher une 3ème guerre mondiale. Les deux blocs se rendent compte qu’ils

empruntée au nationalisme « völkisch » (ethno-raciste) d'avant 1914, elle est présentée avec beaucoup de force. Le racisme en constitue la charpente, c'est-à-dire l'idée que la race est le principe explicatif de l'histoire du monde et la pureté raciale le secret de la puissance d'un peuple. De là découle la nécessité, à la fois de l'épuration des éléments « racialement malsains » au sein même du peuple allemand – ainsi les malades mentaux – et de l'élimination des allogènes qui s'y trouvent – les Tsiganes

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