Les Artistes Peuvent Ils Changer Le Monde

associent la jeunesse à la technologie ; un monde néfaste et complexe. Prenons internet par exemple, c’est un outil considéré comme dangereux parce que nous pouvons trouver, en quelques clicks, un grand nombre d’information. Cela apparait comme quelque chose de dommageable pour nos jeunes. Les parents n’ont plus aucun pouvoir sur les gestes de leurs progénitures. Seulement voilà, grâce aux nombreuses sources de renseignements qu’ils peuvent y trouver, ils peuvent d’avantage se construire un esprit critique

personnes ont une liberté d'expression, mais doivent faire attention à leurs propos (pas de discriminations, antisémitisme, misonéisme, racisme...). Pierre Desproges, dans une phrase célèbre, disait : « on peut rire de tout, mais pas avec tout le monde ». Donc il faut faire attention avec qui nous plaisantons. Bien souvent, l'humour se nourrit de la différence : religion, sexualité, idéaux politiques, nationalité… voire couleur de cheveux, tout est bon à prendre tant que ça fait rire. Et cela

vécus ainsi. Aussi tout au long du livre, l’un des thèmes principaux est l’art. 3- Les personnages : analysez les personnages (noms et leur connotation, psychologie, réactions, liens avec les autres personnages…) Zeus-Peter Lama : Il est un artiste de renommé international, il est très marginal et ne cherche qu’à se démarquer des autres et se faire parler de lui. C’est un homme autoritaire et un grand manipulateur. Il ne veut pas qu’Adam aille une conscience pour mieux le contrôler. Adam Firelli :

mots. Ça fais trop copié coller. En Chine et en Asie du Sud-Est, l'indispensable parapluie n'est pas un parapluie, c'est un outil intemporel et permanent, renforcé par une doublure opaque pour servir aussi d'ombrelle. Aussi loin que les experts peuvent faire remonter leurs souvenirs, être belle en Asie est synonyme de teint clair, pâle, blanc. Faudrais peut étre annocer ça en premier :) Au Japon, le culte séculaire ( séculaire ?) de la beauté blanche a même un nom, bihaku.( exemple les geïshas

« non-prêteuse » et la cigale, chanteuse, insouciante et « emprunteuse ». La première vit pour le travail, dans l’austérité et la privation des plaisirs auxquels s’adonne la cigale, elle qui vit dans la paresse, la célébration du moment présent, dans le monde du lyrisme et de l’art. S’affrontent ici deux personnages-type représentatifs de deux mondes antagonistes de l’époque : le bourgeois matérialiste et l’artiste bohême. Dans cet apologue, c’est la fourmi qui domine et qui aura le dernier mot, même si

traducteur du texte en une représentation, soit d’en être l’interprète et nous pousser à trouver notre propre interprétation. On peut donc se demander de quelle manière les choix du metteur en scène peuvent orienter la réflexion des spectateurs. On étudiera les différentes orientations que peuvent prendre les pièces en fonction de la répartition des rôles aux acteurs, puis des choix concernant le texte joué et enfin le rôle du décor dans le parti pris de mise en scène. La première responsabilité

Seconde Guerre mondiale. Hollywood Les débuts du cinéma américain Quelques années avant la Première Guerre mondiale, c’est la France qui domine l’industrie du cinéma à travers le monde. Les Américaines suivent la course en produisant près de 500 films par an comparés à 900 provenant de France. Dès 1914, le vent change de direction en raison de la guerre, permettant ainsi aux Américains de prendre le contrôle de l’industrie cinématographique. C’est alors qu’arriveront sur les écrans de cinéma des

« ma main dans ta crinière » disait Baudelaire, ou encore « n’es-tu pas l’oasis où je rêve ». Par ailleurs, Paul Verlaine décrit ses sentiments envers le monde qui l’entoure ; « La mélancolie berce de doux chants mon cœur qui s’oublie aux soleils couchants » ; il s’avoue mélancolique et impuissant face au temps qui défile. Cependant, les poètes peuvent également évoquer les sentiments des autres, en permettant aux lecteurs de s’identifier à lui, lors de ses aveux sentimentaux. Dans une toute autre idée

dans laquelle les artistes créaient n’a cessé de changer à travers l’histoire. Les normes de beauté, qu’on appelle parfois « canons », n’ont cessé de changer également, reflé- tant les visions, les désirs et parfois les obsessions d’une époque. Explorer en quoi consistent ces canons peut donc être un exercice intéressant, car il peut dévoiler en quoi la beauté est une question de sentiments, mais aussi une question de modèles. Pourquoi, dans la Grèce antique, les artistes ont-ils défini des règles

(Le Rouge et le Noir,1830) - Flaubert (Madame Bovary,1857) - Maupassant (Une vie,1883) - Balzac (La Comédie humaine,1842–1848) Le symbolisme Epoque : - fin du XIX° siècle Objectifs : - recréer les correspondances entre le langage,
 le monde de l’art et le monde naturel. - exercer un pouvoir évocateur et suggestif sur 
 l’imaginaire du lecteur - reproduire dans le texte l’harmonie de la musique Procédés d’écriture : - harmonie dans les sonorités - vers classique, vers blanc, vers libre - symboles