Les Bacchantes

lors qu’il concerne une question sociale, une connotation péjorative désignant l’action de distinguer de façon injuste ou illégitime. Synonyme : distinction Prêtresse : dans l’antiquité, femme qui célébre le culte d’une divinité. Synonyme : bacchante, pythie Vulnérabilité : est sociale en étude et gestion des risques. La vulnérabilité d’un groupe, d’une organisation, d’un élément bâti. Synonyme : fragile, pénétrable, sensible Emancipation : le passage de l’état d’asservissement à celui

prose qu'ils voulaient des traductions de poèmes étrangers ou anciens : les Chansons madécasses d'Évariste Parny (1787), La Guzla de Mérimée (1827). Le genre se constitue ; Le Centaure de Maurice de Guérin, écrit en 1836, est publié en 1840, La Bacchante, écrit peu de temps après, sera publié plus tard, en 1862 ; Xavier Forneret publie en 1838 un recueil au titre exemplaire, Vapeurs, ni vers, ni prose, Jules Lefèvre-Deumier, Le Livre du promeneur en 1854. C'est dans ce climat que l’œuvre posthume

masques deviennent de plus en plus naturalistes. Les acteurs ne sont plus matelassés et ils s’assoient. Sur quatre-vingt treize pièces, seulement dix-neuf nous sont parvenues, comme: Alceste conçue en -438, les Troyennes, écrite en -415 ou encore Les bacchantes, écrite vers -390 (c’est la seule pièce qui met en scène Dionysos ; elle fut le testament d’Euripide. LE CHŒUR : Le chœur disparaît presque. Il est minimisé car le réalisme rejette le personnage collectif qui écoute indiscrètement les confidences

de musiques « crotales », « gringas », des détails de la danse orientale « balançait son ventre avec des ondulations de houle » ainsi que plusieurs comparaisons « comme la prêtresse des indes », « comme les Nubiennes des Cataractes », « comme les bacchantes de Lydie » . On retrouve également une succession de termes en ’s’ tels que « ses; sa; son » qui produisent le son du serpent très présent en Orient et qui fait penser à la danse ondulatoire de Salomé. Ces termes et procédés accentuent l’idée d’exotisme

dévoratrices : l'exploitation sans scrupules de la coquetterie féminine, une « mécanique à manger les femmes » écrit Zola dans Nana (Mouret flatte chez les femmes le goût de l'artifice, le désir de paraître) - La ruée des femmes fait penser à des bacchantes en folie, à un rituel cannibalesque et sexuel: « avec la volupté assouvie et la sourde honte d'un désir contenté au fond d'un hôtel louche » - un récit témoignage sur le pouvoir de l'argent** : « la clientèle dépouillée, violée, s'en allait à moitié

fameuses moustaches sont un des traits de différenciation entre l'homme et la femme. On l'assimile aux symbole de masculinité. Elle se porte dans toutes les tranches de la population, et n'a que la forme qui peut être assimilée à un groupe. Les bacchantes font aussi écho au symbole du "pouvoir", Une bonne partie des grands hommes de l'Histoires en portaient. Einstein, Hitler, Dali, Freddy Mercury chacun dans leurs domaines on marqués l'histoire et leurs moustaches aussi. D'un autre côté, cette fameuse

personnels • d’APOLLON : intermédiaire entre les dieux et les hommes, il les aide à lire dans le réel la volonté divine ==> révéler les secrets du monde, inciter à la méditation • de DIONYSOS : Dieu du vin et de l’ivresse qui suscitait les excès des Bacchantes, femmes déchaînées et lubriques qui vivaient dans des forêts sauvages. ==> atteindre l’inconnu, créer, provoquer Poésie sacrée, essentielle, inspirée et magique • Orphée et le lyrisme : - thèmes du regret, de l’émoi amoureux, de la joie, de

révolution française avec « La Marseillaise » l.18 - Eléments mythiques : o Jeanlin (l.4) apparait comme un ange annonciateur de la fin du monde, comme dans la bible o Femmes guerrières (l.8/9) rappellent le mythe des Amazones, mais aussi les bacchantes (culture grecque, Dionysos) qui sortent dans un état de transe o Femmes mènent leurs enfants au sacrifice (l.11) mythe des athéniennes qui apportent leurs enfants au minotaure - Couché du soleil : fin de la journée, donc fin de la vie (« le soleil

1988. En 2000, elle reçoit le Prix de la meilleure comédienne, décerné par le Syndicat de la critique dramatique, pour La Dernière Lettre de Vassili Grossman, mise en scène Frederick Wiseman. Ces dernières années, elle a joué notamment dans Les Bacchantes d’Euripide, Place des Héros de Thomas Bernhard et Savannah Bay de Marguerite Duras. Catherine Samie vient de quitter, en janvier 2007, la Comédie-Française, après cinquante ans de maison. 6 Calendrier des représentations Janvier : Mardi

ces vieilles « affreuses », hurlantes, font songer aux Erinyes, les déesses de la vengeance nées de la Terre-Mère : les « deux mille furieux» qu’elles conduisent ne sont-ils pas possédés des Furies, le nom latin des Erinyes ? Mais elles sont aussi Bacchantes, puissances dionysiaques, entraînant dans l’ivresse un troupeau où les hommes, les bêtes et les dieux se confondent. III – POINTS DE VUE ET IDEOLOGIE Le peuple-troupeau et le cataclysme D’emblée, c’est le fantasme du peuple-troupeau qui