Les Bacchantes

Selon l'une d'entre elles, il aurait été foudroyé par Zeus pour le punir d'avoir révélé des mystères divins aux hommes qu'il initiait4. Pour Strabon, il aurait trouvé la mort dans un soulèvement populaire5. La version la plus courante est que les Bacchantes ou Ménades éprouvèrent un vif dépit de le voir rester fidèle à Eurydice et le déchiquetèrent6. Sa tête, jetée dans le fleuve Euros, vint se déposer sur les rivages de l'île de Lesbos, terre de la Poésie. Les Muses, éplorées, recueillirent les membres

furent pas bien accueillies par le public qui n’appréciait pas de voir des drames humains sur scène. Il inspirera de nombreux auteurs comme Racine et Corneille. Parmi ses grandes tragédies on peut citer Médée, Hippolyte, les Phéniciennes et les Bacchantes. 3 Médée, magicienne, barbare originaire de Colchide, sur les bords de la mer Noire, est l’épouse du héros grec Jason qu’elle a séduit lors de la conquête de la toison d’or par les Argonautes. Ensemble ils ont deux enfants. Mais tout bascule

remplacer, l’auteur sera récompensé par son maître, bien que cette récompense soit futile et sans importance. Par la suite, ces idées sont accentuées, en effet l’auteur fait preuve d’ironie à travers l’énumération : « brailler » (l.7) ; « stupides bacchants » (l.7) ; « ne connaissaient pas le premier mot » (l.7/8) ; « chantaient quelque peu » (l.8). A travers ce procédé, l’auteur explique que les disciples seraient prêts à tout pour recevoir les ordres, ainsi, si certains comme lui ont de véritables

Fondement le souvenir, toujours qui passe, étrangeté au monde, incompatibilité au monde. • Dyonisos : fondateur des mystères; L'initié entrait en communication directe avec les Dieux au moyen de l'ivresse. Tout est basé sur la transgression. (les Bacchantes) APOLLINAIRE. RIMBAUD. BAUDELAIRE. LAUTREAMONT. MICHAUX (poèmes de la dissolution de tout ce qui est rassurant, ancien.) Il réagit par l'agression, la révolte « au fond de l'inconnu pour trouver du nouveau. » BAUDELAIRE. • APOLLON : dieu

Lénéennes. Les Dionysies rurales, les plus anciennes, se déroulaient dans les dèmes ; après l'institution des deux autres fêtes, on n'y présenta plus que des reprises. Les Lénéennes furent instituées au VIème siècle (Pisistrate) ; c'était la fête des bacchantes mais elles comportaient aussi des représentations dramatiques. On y jouait essentiellement des comédies, dont le sujet s'adressait surtout à un auditoire du cru : or, en janvier, seuls les Athéniens assistaient à ces représentations. Les tragédies

préférant repartir vers d’autre conquête. Olympias est adepte des mystères d’Orphée et des fêtes orgiaques. Plutarque dit que les femmes d’Epire se sont toujours adonnées aux rites orgiaques d’Orphée et de Dionysos, et de ce fait on les appelle Bacchantes ou Mimallonéide, qui est le terme macédonien pour signifier les femmes en folie à la suite de Bacchus ou Dionysos. Plutarque nous dit qu’Olympias elle-même participe avec une ferveur particulière à ces cérémonies frénétiques, associés à des débauches

Gentilhomme de Molière, beaucoup vont plus retenir le caractère humoristique de Mr Jourdain que la critique envers les bourgeois cherchant à s’anoblir à tout prix. On peut également mal interpréter les idées que cherche à valoir l’auteur. Dans les Bacchantes d’Euripide par exemple, on peut interpréter la pièce comme étant l’éloge du Dieu Dyonisios, tout comme son blâme, à travers un personnage rude et peu magnanime, ainsi il peut avoir des malentendus dans la compréhension de la pièce. Enfin, dans

dans le monde des vivants. Mais au moment de sortir des Enfers, Orphée, inquiet de son silence, ne put s'empêcher de se retourner vers Eurydice et celle-ci lui fut ravie définitivement. Orpheo Orphée se montra par la suite inconsolable. Les Bacchantes ou Ménades en éprouvèrent un vif dépit et le déchiquetèrent. Sa tête, jetée dans le fleuve Hébros, vint se déposer sur les rivages de l'île de Paullebosse, terre de la Poésie. Les Muses, éplorées, recueillirent les membres pour les enterrer au pied

[534a] dansent lorsqu'ils n'ont plus leur raison, tels les poètes lyriques lorsqu'ils n'ont plus leur raison, créent ces belles mélodies ; mais lorsqu'ils se sont embarqués dans l'harmonie et la cadence, ils se déchaînent et sont possédés. Telles les bacchantes puisent aux fleuves le miel et le lait quand elles sont possédées, mais ne le peuvent plus quand elles ont leur raison ; tels les poètes lyriques, dont l'âme fait ce qu'ils nous disent eux-mêmes. Car ils nous disent, n'est ce pas, les poètes, qu'à

réalisateur de cinéma. Sa première pièce de théâtre, Les débutantes, a été créée au Festival Off d'Avignon en 1998. En 2005, il revient invité au Festival d'Avignon "In" avec une nouvelle pièce, Dionysos impuissant, adaptation contemporaine des Bacchantes d'Euripide avec Louis Garrel dans le rôle de Dionysos et Joana Preiss dans le rôle de Sémélé. En 2008, il met en scène Angelo, tyran de Padoue de Victor Hugo. Le spectacle est crée au Festival d'Avignon, puis repris en tournée. Il devient également