Les Beaux Souvenirs

semblables, jours de captivité, Mon esprit qui brillait encore sur les feuilles Et les fleurs, mon esprit est nu comme l'amour, L'aurore qu'il oublie lui fait baisser la tête Et contempler son corps obéissant et vain. Pourtant j'ai vu les plus beaux yeux du monde, Dieux d'argent qui tenaient des saphirs dans leurs mains, De véritables dieux, des oiseaux dans la terre Et dans l'eau, je les ai vus. Leurs ailes sont les miennes, rien n'existe Que leur vol qui secoue ma misère, Leur vol d'étoile

supérieur au monde ordinaire, quelque chose de plus pur. L'amour entraîne le besoin de se révéler. La poésie est la forme naturelle de ces épanchements. Les genres de l'éloge, de la célébration, du blason amoureux sont étroitement liés à l'amour. Les plus beaux poèmes ne sont-ils pas des poèmes d'amour ? Les femmes sont souvent au centre -pour ne pas dire toujours- des poèmes. Pourquoi j'ai choisi l'amour comme thème: Tout d'abord, le thème m'intéressait . J'avais envie de savoir comment les poètes parlaient

toute parole. Les Feuilles mortes la musique de Joseph Kosma a permis cette composition de devenir une des plus belles chansons franaises de tous les temps, grce aussi linterprtation dYves Montand. Cest lautomne et ce pome exprime le souvenir, la nostalgie pour les beaux moments passs avec la personne aime. Les temps limparfait de lindicatif indiquent que cet amour appartient au pass. Seulement la chanson chante par lhomme permet la rcupration, certainement illusoire, de cet amour, destin passer.

mère corse chrétienne Christian BOLTANSKI est resté marqué par le souvenir de l'Holocauste.il exerce plusieurs types d’arts: Photographie, sculpture et cinéma, connus avant tout pour ses installations, il se définit lui-même comme peintre, bien qu'il ne peint plus depuis un certain temps , Boltanski est aujourd'hui reconnu comme l'un des principaux artistes contemporains français. Il enseigne à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris et vit à Malakoff dans l'île de france . Il commence

écrivains français. Ce poème est extrait du recueil Les Contemplations publié en 1856. Un tout petit : bébé C’est un rayon de soleil, Un vrai cadeau du ciel Il ressemble à un ange, Tout rempli d’innocence C’est le fruit de l’amour, Le souvenir d’un jour Où lon a tout donné Pour faire un nouveau né Il aime être bercé Dans des bras bien serrés, Là, tout contre le cœur Il fait croire au bonheur Comme l’oiseau dans son nid Il découvre la vie Il regarde et il rit, On voit qu’il

crèche, puis la fête qui s'éteint. Je regardais ma belle orange. Et voici ce qui, rituellement, arrivait : ma mère la tirait de son papier de soie ; tous deux nous en admirions la grosseur, la rondeur, l'éclat ; je prenais dans le buffet un de ces beaux verres à pied en cristal qu'on achetait alors dans les foires, je le renversais, le mettais à droite, au bout de la cheminée, et ma mère posait dessus la belle orange. La pomme d'or prenait ainsi sa place parmi tous nos fétiches. Pendant des mois

Les années qui s'envolent vite ! Et les mois devenus comme mite. Où sont passés tes beaux rêves ? Ne me dites pas : qu'ils crèvent ! Toi la fine brise, d'amour chargée Qu'as-tu fait de tes longues années ? Et de tes souvenirs bien enterrés ? Ne restent-ils pas des inconsolés ? Ô vieillesse avec ta grosse cane, Attention, tout sur terre s'éveille La souffrance et l'ennui flânent Mais les jours ensoleillés surveillent. La vie est pour celui qui ne pâlira pas Afin que ses rêves

mélancolie du poète ? Ce poème permet-il de comprendre pourquoi Baudelaire a été nommé « poète de la modernité » ? En quoi ce tableau urbain se charge-t-il d’une dimension allégorique ? I) Du tableau parisien à l’évocation du souvenir des exilés a) Le tableau d’un univers urbain qui se métamorphose - exclamation du vers 29 : « Paris change ! » => constat formulé de manière brève et condensée, souligné par la ponctuation (fait écho aux vers 7 et 8) et mis en évidence par sa position

t’ont fait plus ou moins souffrir. - Tu as peut-être raison, mais pourquoi cela me rend aussi perplexe… - Parfois certains souvenirs sont difficiles à avouer, mais tu n’es pas dans ce cas, ce ne sont que des chamailleries entre sœurs, des promenades en forêt, des moments magiques chez tes cousins… Pourquoi s’en faire pour si peu ? - Je ne sais pas… Evoquer mes souvenirs me demande beaucoup de réflexion, je ne suis plus si jeune tu sais, et j’ai peur de plus être bien claire au cours de mon écriture

monde tu n’as rien oublié de nos beaux jours passés ; toi seule tu te souviens de la vie qui n’est plus1 ; prends ta part de ma vie nouvelle ; donne-moi ton cœur, chère enfant ; voilà le gage de notre amour. Il lui pose sa chaîne sur le cou. ROSETTE. - Vous me donnez votre chaîne d’or ? PERDICAN. - Regarde à présent cette bague. Lève-toi, et approchons-nous de cette fontaine. Nous vois-tu tous les deux, dans la source, appuyés l’un sur l’autre ? Vois-tu tes beaux yeux près des miens, ta main dans