Les Bleus du ciel

Il regarde longtemps, longtemps cherche sans voir - Ces murs, maudits par dieu, par Satan profanés COMPARAISON n.f. Etablir un parallèle entre un comparé et un comparant à l’aide d’un mot-outil (comme, semblable à...) - Tes yeux sont bleus comme le ciel ENUMERATION n.f., ACCUMULATION n.f. Juxtaposition d'une série de termes - Un gros meuble à tiroirs encombrés de bilans, de vers, de billets doux, de procès, de romances EUPHEMISME n.m. Formulation adoucie d’une idée qui pourrait

est : du papier, des métaux, du plastique et de la peinture. 2. Description  En premier plan je peux constater un frigidaire rose bonbon avec des bouteilles de la boisson 7up dessus. Je peux aussi voir une table avec une nappe a carreaux bleus et blancs très garnie : on peut voir un pot de yaourt, des crêpes, du riz et divers aliments. Dans le deuxième plan je peux apercevoir un évier et un four avec une cafetière dessus qui sont tous les deux peints a la même couleur qui est le rose

visible, les ombres sont peu présentes. L'espace est organisé en trois parties, il y a l'intérieur ou est située la vierge, l'extérieur où est l'ange Gabriel et enfin une ouverture vers le divin avec la partie supérieure gauche ou sont présents le ciel, le soleil et dieu à l'intérieur de celui-ci. L'espace vide entre la vierge et l'ange Gabriel évoque l'idée d'infini. Le point de vue place le spectateur qui assiste à cette scène à la même hauteur que les deux personnages principaux, le divin est

regarde longtemps, longtemps cherche sans voir - Ces murs, maudits par dieu, par Satan profanés COMPARAISON: Etablir un parallèle entre un comparé et un comparant à l’aide d’un mot-outil (comme, semblable à...) - Tes yeux sont bleus comme le ciel ENUMERATION ; ACCUMILATION: Juxtaposition d'une série d'expression. - Un gros meuble à tiroirs encombrés de bilans, de vers, de billets doux, de procès, de romances EUPHEMISME: Formulation adoucie d’une expression qui

dans ce vertige et s’y complaire. Pour cette enquête sur soi-même, pour cette quête toujours renouvelée d’une raison de vivre, quel moment plus favorable que le soir ? La lumière resplendit et disparaît, messagère symbolique d’espoir et de mort ; le ciel serein promet l’apaisement, la nuit qui vient, l’oubli dans le néant. Comment le soir ne serait-il pas le moment privilégié, aimé du poète ? Situation et importance du thème dans le recueil Sur les quelque 150 poèmes que réunit la dernière édition

| |profanés | |COMPARAISON n.f. |Etablir un parallèle entre un comparé et un |- Tes yeux sont bleus comme le ciel | | |comparant à l’aide d’un mot-outil (comme, | | | |semblable à...)

le 23 avril 1775 à Londres et mort le 19 décembre 1851 à Chelsea) Support : Huile sur toile Dimension : 91 x 122 cm Sujet : paysage, l’avenir, (ou une route de commerce) Ligne : - symbole d’avenir d’horizon - les vastes étendues d’eau sous un ciel méditerranéen offraient une source inépuisable à sa créativité technique. La longue suite d’études en couleurs qu’il a peintes au milieu des canaux constitue une des merveilles de l’art occidental. La palette aux tons fondus du crépuscule et de l’aube

de nuls éperons Pour commander à vos galops ronds, Tournez, tournez, sans espoir de foin Et dépêchez, chevaux de leur âme : Déjà voici que la nuit qui tombe Va réunir pigeon et colombe Loin de la foire et loin de madame. Tournez, tournez ! le ciel en velours D’astres en or se vête lentement. Voici partir l’amante et l’amant. Tournez au son joyeux des tambours ! Paul Verlaine, Romances sans paroles Comme un Chevreuil Comme un Chevreuil, quand le printemps détruit L’oiseux

latitudes. Comment faire imaginer, par exemple, une ville sans pigeons, sans arbres et sans jardins, où l’on ne rencontre ni battements d’ailes ni froissements de feuilles, un lieu neutre pour tout dire? Le changement des saisons ne s’y lit que dans le ciel. Le printemps s’annonce seulement par la qualité de l’air ou par les corbeilles de fleurs que des petits vendeurs ramènent des banlieues; c’est un printemps qu’on vend sur les marchés. Pendant l’été, le soleil incendie les maisons trop sèches et couvre

dans ce vertige et s’y complaire. Pour cette enquête sur soi-même, pour cette quête toujours renouvelée d’une raison de vivre, quel moment plus favorable que le soir ? La lumière resplendit et disparaît, messagère symbolique d’espoir et de mort ; le ciel serein promet l’apaisement, la nuit qui vient, l’oubli dans le néant. Comment le soir ne serait-il pas le moment privilégié, aimé du poète ? Situation et importance du thème dans le recueil Sur les quelque 150 poèmes que réunit la dernière édition