Les Bonnes Jean Gent

contraste entre le relâchement moral visible chez les épouses des princes étrusques (qui passent la nuit à banqueter) et l'attitude digne de Lucrèce accomplissant la seule tâche dévolue aux épouses depuis l'enlèvement des Sabines, filer la laine. Il est bon de savoir que les femmes étrusques, à la différence des femmes grecques et romaines, occupaient une place importante dans la société étrusque. La femme étrusque a une grande importance tant au niveau politique qu'administratif et vit pleinement une

un premier temps, nous présenterons la gens Fabia et dans un deuxième temps, nous évoquerons les raisons de cette guerre privée. I) Présentation de la gens Fabia a) Les Fabii La famille est généralement considérée comme ayant été comptée parmi les gentes maiores, le plus important des maisons patriciennes de Rome. La gens Fabii est une des plus grandes familles de Rome, mais elle n’a pas duré qu’un temps puisqu’elle disparait des fastes consulaires (liste chronologique des consuls) dès les débuts

moyen de remonter. Le renard lui dit qu'il avait une idée qui pourrait les sauver tous les deux : "Appuie donc tes pattes de devant contre la paroi et incline tes cornes : je monterai sur ton dos, puis je te hisserai à mon tour." Le bouc se rangea de bon coeur à ce deuxième avis ; le renard, escaladant en trois bonds de ses pattes, grimpa sur son dos, d'où il prit appui sur ses cornes, atteignit l'orifice du puits et se disposa à prendre le large. Comme le bouc lui reprochait de ne pas respecter leur

Scénario, adaptation et dialogues Librement inspiré de Producteur Chef Opérateur Chef Décorateur Créateur des costumes Conseiller musical Chorégraphie Montage Sound Designer 6/12/2000 Gérard CORBIAU Benoît MAGIMEL (Louis XIV) Boris TERRAL (Jean-Baptiste Lully) Tchéky KARYO (Molière) Claire KEIM (Julie) Ève DE CASTRO, Andrée CORBIAU, Gérard CORBIAU (avec la participation de Didier DECOIN) Philippe BEAUSSANT, Lully ou le musicien du soleil (Éd. Gallimard) Dominique JANNE Gérard SIMON, A.F.C

Corpus de fables de Jean de La Fontaine commentées pour l’entretien oral : 1. Les Deux Mulets (p57, Livre I,4) Deux Mulets cheminaient, l'un d'avoine chargé, L'autre portant l'argent de la Gabelle. Celui-ci, glorieux d'une charge si belle, N'eût voulu pour beaucoup en être soulagé. Il marchait d'un pas relevé, Et faisait sonner sa sonnette : Quand l'ennemi se présentant, Comme il en voulait à l'argent, Sur le Mulet du fisc une troupe se jette, Le saisit au frein et l'arrête. Le Mulet, en se défendant

vous tenterez d’exposer et de résoudre dans le développement. Si nous prenions pour exemple le sujet cité plus haut, soit l’étude de la fonction du serviteur dans les pièces de Molière, vous pouvez non seulement décrire les différentes figures de la gent domestique mais encore montrer que son rôle ne correspond pas nécessairement à l’image conventionnelle qu’on s’en fait. 1.3 L’introduction dans l’approche critique d’une opinion Dans l’introduction d’une approche critique d’une opinion,

les sonorités des consonnes) ici c’est le son [f] et [ s ]. • 3ème §f : jeu sur les rimes. Rimes st riches (>= 2 syllabes en fin de vers). Ex : « da/te » « vi/llon » « da/tte » « escouvi/llon ». • L’ironie dans la dernier §f au v.18 « Par le bon renommé Villon  • Or Villon n’est pas célèbre de + cet adj>< aux adj (v.20) « Sec et noir » => en réalité FV est très pauvre. CCL générale : un poète seul et misérable => pathétique. Malgré tout, la vocat° de poète est très présente. Il y a une

Corpus de fables de Jean de La Fontaine commentées pour l’entretien oral : 1. Les Deux Mulets (p57, Livre I,4) Deux Mulets cheminaient, l'un d'avoine chargé, L'autre portant l'argent de la Gabelle. Celui-ci, glorieux d'une charge si belle, N'eût voulu pour beaucoup en être soulagé. Il marchait d'un pas relevé, Et faisait sonner sa sonnette : Quand l'ennemi se présentant, Comme il en voulait à l'argent, Sur le Mulet du fisc une troupe se jette, Le saisit au frein et l'arrête. Le

passions. Choderlos DE LACLOS Illustrations des « Liaisons dangereuses » « De l’éducation des femmes » : Selon Laclos, à travers l’histoire, les femmes ont été soumises par les hommes et elles dépendent de leur bon vouloir. Elles naissent libres mais la société les rend esclaves. Laclos donne plusieurs exemples de peuples (les Groenlandais, les Calmouques, les Coréens, les peuples du mont Liban, les Congolais, etc.) où le statut des femmes est le même. La femme

ne jure par ses règles de tromperie et fausseté. Il tient pour rien les saintes Ecritures et du matin au soir ment sans nulle mesure mais voudrait qu'on le tînt pour gent de grand'droiture. ... Ils sont pleins de folie, d'orgueil et d'arrogance, tous ces maîtres pasteurs de l'Eglise romaine ; ils sont faux et truands envers la gent chrétienne " D'un autre troubadour Guilhem Figueira : " Rome, il est bien vrai que tu es étouffée par les prêches menteurs que tu fais contre Toulouse. Comme une chienne