Les Bras en croix

Titre: Les croix de bois nom de l'auteur: Roland Dorgelès date d'édition:octobre 2011 collection: le livre de poche éditeur: lgf/ livre de poche catégorie : récits autobiographique de guerre genre : récit historique thème : guerre explication du titre :Le long des chemins du front, on trouvait souvent une ligne à perte de vue de croix de bois, faites à la va-vite, et posées au-dessus des cadavres de soldats allemands et/ou français. Soldats inconnus, jeunes soldats, c’est en leur hommage que Dorgelès

visage du dictateur. Puis la chorégraphie tend vers le comique avec un dictateur sautant, dansant, grimpant sur le bureau et lançant le globe avec ses fesses. Les acteurs portent une double croix au bras gauche ce qui est une parodie de la croix gammée. C’est aussi un clin d’œil de Charlie Chaplin puisque « double croix » en anglais signifie « trahison ». La dernière partie symbolise la chute du dictateur : le personnage est montré tenant le monde entre ses mains. À force de le serrer, le globe finit par

repère dans le paysage. Les croix* en sont l’exemple le plus probant : elles marquaient l’entrée dans le village, l’emplacement du cimetière, parfois celui de l’église, ou encore la limite d’une juridiction d’établissement ecclésiastique ou de domaine seigneurial. Les croix de 24 carrefour* ou situées au sommet d’un puy (ou peuch*) informaient le voyageur et étaient utiles pour se repérer lorsque la neige cachait le chemin. Au-delà de ces aspects pratiques, les croix étaient aussi des repères dans

Ce disant, il mit bas son grand habit et se saisit du bâton de la croix qui était de coeur de cormier, long comme une lance, rond à plein poing et quelque peu semé de fleurs de lys, toutes presque effacées. Ainsi sortit en beau sayon, mit son froc en écharpe et de son bâton de la croix donna brusquement sus les ennemis qui, sans ordre ni enseigne, ni trompette ni tambourin, parmi le clos vendangeaient. (…) Il choqua donc si roidement sur eux, sans dire gare, qu’il les renversait comme porcs, frappant

de colonnes. Abside en fin de nef (autel). Couverture par charpente apparente Adaptation du plan basilical aux besoins liturgiques • Abside : réutilisée pour placer l’autel et le clergé • Transept : tombeaux ou autels secondaires plan cruciforme (croix latine) • Narthex : accueil les catéchumènes © J.Y. Antoine ARCHITECTURE PALEOCHRETIENNE EGLISE A PLAN BASILICAL Narthex et atrium San’t Ambrogio (Milano) © J.Y. Antoine ARCHITECTURE PALEOCHRETIENNE EGLISE A PLAN BASILICAL File de

beaucoup de sang = volonté de susciter des émotions ◦ 1er plan au milieu : le groupe des condamnés et dominé par une victime au visage bouleversé. Il est illuminé par la lumière d'une grosse lanterne (mise en valeur par la lumière). Il a les bras en croix, avec les marques de la crucifixion sur les mains (comparaison avec la mort de JC). Ce personnage a une dimension sacrée. ◦ Arrière-plan : l'Espagne dans le noir, le ciel est sombre, le cortège des otages se perd dans la nuit = souligne la gravité

En arrière plan il y a un lampadaire avec une tête de mort au centre puis un porte manteaux, des journaux allemand, une table et des chaises. Il y a 3 personnages assis autour de la table ce sont d'ancien combattant car il porte un uniforme et la croix de fer, les cartes, dont deux sont identiques (le roi de cœur sous le genou de l’homme de gauche et la même carte sur son pied) indiquent que le jeu est truqué. Notre regard se porte d'abord sur les personnages car la peinture utilisée est de couleur

qu'on redit, qu'on murmure sans cesse, partout, ainsi qu'une prière. Je ne conterai point notre histoire. L'amour n'en a qu'une, toujours la même. Je l'avais rencontrée et aimée. Voilà tout. Et j'avais vécu pendant un an dans sa tendresse, dans ses bras, dans sa caresse, dans son regard, dans ses robes, dans sa parole, enveloppé, lié, emprisonné dans tout ce qui venait d'elle, d'une façon si complète que je ne savais plus s'il faisait jour ou nuit, si j'étais mort ou vivant, sur la vieille terre ou

d'animaux. Au centre quatre anges soutiennent à bout de bras le médaillon dans lequel est enfermé l’agneau mystique. L'Agneau représente ici le Christ (il est le symbole du Sauveur immolé sur la croix). Cette voûte est divisée en quatre panneaux, séparés par d’épaisses guirlandes de feuillage mêlé de fleurs, de fruits et d’oiseaux. Chaque angle de la composition est occupé par un paon. Au centre quatre anges soutiennent à bout de bras le médaillon dans lequel est enfermé l’agneau mystique

spectateur suit Goya au cœur de ce chaos et vit l'horreur de la guerre. Le jeu des couleurs : au centre le cheval clair puis la ville de Madrid flou. 1. Au centre, l'homme à la peau sombre et à la chemise éclatante, à genoux, bras écartés comme le Christ sur la croix s'offre en sacrifice. On remarque une entaille sur la paume de sa main droite (stigmate de la crucifixion ?). 6. Éclairé par la lanterne, le blanc éclatant marque la pureté et l'innocence. 2. au 1er plan à droite, 7 soldats, de