Les Bras en croix

son regard froid et indifférent à la scène. On peut distinguer un troisième animal, qui est l’oiseau. C’est une colombe, symbole séculaire de la paix mis à mort.  La lance qui transperce le cheval rappelle la scène biblique du Christ sur la croix, la poitrine transpercée par une lance. (Picasso a déjà peint une crucifixion).  Au sol on découvre un soldat, mort, allongé, décapité, démembré. Il a la bouche ouverte, il tient une épée brisée. C’est un guerrier de la liberté. Il tient dans la

suivre le Christ, l’imiter à tel point qu’il deviendra lui-même un « autre Christ » Saint Paul dit : « ce n'est plus moi, c'est Christ qui vit en moi ». 2 LE DON DU MANTEAU La composition est d’une très grande simplicité, elle est construite en croix de saint André A gauche, une chapelle (la vie du monastère) A droite, une cité (la vie du monde) Au croisement, l’auréole de François, entre le monde et le monastère, entre le Ciel et la terre (comme le Christ) François a bondi de son cheval. C’est

d’une notion confuse, quand on cite le carré long, il est souvent fait allusion au double carré, parfois au rectangle d’or, sans distinction. Il est donc question du double carré, du rectangle d’or, du triple carré, de l’hexaèdre, du cube, de la croix, de l’équerre, du nombre quatre, de la loge, du tapis de loge, de la planche à tracer, des cathédrales, des temples dont celui de Salomon. Examinons le carré dans sa géométrie puis dans sa symbolique. Comme chacun sait, le carré est une forme géométrique

regarde le soleil. Antoine Assez travaillé comme cela ! Prions ! Il se dirige vers la chapelle, puis il s'arrête. Tout à l'heure, il sera temps ! Quand l'ombre de la croix aura atteint cette pierre, je commencerai mes oraisons. Il se promène tout doucement de long en large, les bras pendants. Le ciel pâlit, le gypaète tournoie, les palmiers frissonnent, la lune va se lever, et demain ? Le soleil reviendra ! Puis il se couchera et toujours ainsi ! Toujours ! ... moi

Colin le Bihot a 20 ans. Pour survivre, il n'hésite pas à tuer pour voler de l'argent selon une morale personnelle assez déconcertante. A chaque fois qu'il commet un meurtre, il se ' taille' une croix de St André sur son avant bras . Un jour, il arrive devant la ville de Colmar avec sur son bras six croix. Il s'allonge sous un vieux chêne où se trouve un homme habillé en marchand. Les deux hommes parlent puis Colin lui met finalement le couteau sous la gorge pour obtenir sa bourse. Mais le marchand

douleur le bec ouvert levé vers le ciel. La mère portant son enfant mort : La douleur et les hurlements de la mère sont perceptibles à la seule vue de l’oeuvre, alors que le reste du tableau peut sembler plus hermétique. L'enfant mort dans les bras de sa mère se rapprochent-ils d'une autre image à portée universelle, celle d’une piéta. La femme : Dans le panneau de droite, une femme transformée en une véritable torche vivante semble implorer un secours qui ne viendra pas, prisonnière dans

c’est-à-dire les soldats napoléoniens sur la droite La ville en arrière plan. Sur la gauche, des hommes semblent supplier, debouts sur un tas de cadavres, ils semblent supplier qu’on les épargne. Un homme en blanc ressort de cet ensemble, les bras en croix. Sur la droite, les soldats napoléoniens, en rang, sont sur le point de les fusiller. Des hommes se couvrent les yeux pour ne pas voir le massacre à venir Une lumière est posée entre les deux groupes A l’arrière plan, la ville semble calme ANALYSE

représentent la brutalité de la guerre. En second plan, on voit des condamnés qui vont être exécutés, avec un prêtre qui prie, un homme qui se cache le visage, Goya veut émouvoir. Au milieu de ces condamnés, un se démarque des autres. Il a les bras en croix et regarde la mort en face, c’est un martyr, associé à Jésus Crist, il a aussi les stigmates sur les mains. Il symbolise la résistance Espagnole. Derrière : les futurs exécutés qui ont peur, ils se prennent le visage entre les mains. On voit beaucoup

C'est un roman d'inspiration autobiographique, dont l'action se déroule en Italie pendant la Première Guerre mondiale. Écrit à la première personne, il relate l'histoire d'amour tragique entre Frederic Henry, ambulancier américain engagé dans la Croix-Rouge italienne (it), et Catherine Barkley, infirmière anglaise. Dans un style froid et laconique, Hemingway dépeint une guerre futile et destructrice, le cynisme des soldats et les déplacements de populations. Ce roman est considéré comme l'un des

du cheval rappelle celle qui blesse la poitrine du Christ sur la Croix. Le taureau, dans la mythologie espagnole, est un symbole de la force brute et de la cruauté. C'est un thème récurant dans les tableaux de Pablo Picasso dû à sa passion pour la corrida. La douleur et les hurlements de la mère sont perceptibles au premier abord, alors que le reste du tableau peut sembler de perception plus difficile. L'enfant mort dans les bras de sa mère peut faire penser à l'image d'une piéta : la vierge pleurant