Les Bras en croix

Le romantisme va être naître à travers de quelques artistes qui ont été des élèves de David. Le romantisme est un mouvement intellectuel et artistique européen qui né au milieu du 18eme siècle en réaction au rationalisme des lumières fondé sur le culte de la raison. Cette pensée s’appuie sur des nouvelles idées philosophiques qui insistent sur l’importance de dialogue avec le monde de la sensibilité. Cette pensée va connaitre une accélération avec la révolution qui donne naissance au sentiment d’individualisme

bombardements. En arrière plan : le nuage de Napalm qui menace de tout dévaster. IV) INTERPRETATION DE L’ŒUVRE : La petite fille au centre se nomme Kim Phuc, ce jour là elle avait 9 ans. Elle a les bras en croix, cela fait référence au Christ en train de mourir sur la croix. Le photographe, après avoir pris la photo, emmena la fillette à l’hôpital où elle sera soignée. Une rumeur a dit que c’est grâce à cette photographie que la guerre s’est arrêtée. Kim Phuc en 2000 V) MISE

fentes dans le champ, et au premier plan avec les quatre lanières blanches du corset. Perpendiculairement,il y a également des lignes verticales avec la colonne, les deux lanières du corset sur les épaules et la ligne de clous qui descend le long de ses bras et jusqu’à sa jambe droite. Le tableau est donc équilibré et ordonné puisque la construction présente des lignes relativement droites et perpendiculaires.Les couleurs de l’arrière-plan sont ternes mais mettent en valeur le personnage central / Le décor

en forme de larme exprime toute la force de sa douleur et de sa détresse . Les hurlements et la douleur de la mère sont perceptibles au premier abord, alors que le guernica reste du tableau peut sembler difficile à comprendre. ◦ La tendresse des bras qui enveloppe l'enfant, la grâce du petit corps inerte au visage d'ange, ses pieds menus, tout ces éléments renvoie à une autre image à portée universelle : celle de la Pietà • Le chœur des femmes ◦ à droite du tableau , trois femmes forment un chœur

cul-de-jatte au buste monté sur une planche à roulette. Il porte une croix de guerre (croix gammée) sur sa veste. Il roule sur un tract antisémite où on peut lire « Juden Raus » (les juifs dehors). Au second plan l’accent se porte également sur un paraplégique. On voit une main gantée déposée un timbre-poste dans sa main artificielle. « Désarticulé », mutilé par la guerre son humanité s’efface. Ses membres inférieurs et son bras gauche ne sont faits que de bois. Autour d’eux l’agitation de la ville

d’inspiration romaine complétée par une draperie. * Ligne principale donnée par la posture fortement accentuée par la ligne verticale par la croix qui figure sur le bouclier. * Posture stable et droite = courage et détermination. Ligne oblique du bras sur le bouclier qui casse la ligne verticale. Et une ligne horizontale par le dessin de la croix. Point de vue privilégié de l’artiste est frontale mais latérale bien travaillée également. * Le mouvement : Personnage statique, mais animé

exemple, chez les Areoïs, la société se divise en classes que la disposition des tatouages sur le corps met en avant. Chaque classe prenant le nom de parties tatouées.
Ainsi, la première classe, la plus élevée, est nommée “jambes tatouées”, la deuxième “bras tatoués”, la troisième “flancs tatoués”...
La pratique du tatouage dans ces cultures avait pour but de renforcer la fécondité et les liens avec le surnaturel et le sacré. En Polynésie, le baptême de l'enfant, c'est le tatouage. Pour être inscrit dans

Guernica | Étude de GUERNICA | Esquisses | | Le taureau (clic) impassible, dans un mouvement enveloppant, possessif et comme protecteur, mais indifférent, encadre le groupe de la mère hurlant de douleur, son enfant mort dans les bras. Le corps vigoureux du taureau en grisé, les poteaux noirs des pattes comme étrangers à la tête et au poitrail dans la lumière, la queue flottant en bannière victorieuse, signent une force brute et dominatrice. Il est le triomphateur.  Voyeur à l'œil glacé et

qui guide le peuple allemand Ce que je vois -au premier plan : Hitler, au centre, en chemise brune (uniforme SA), poing gauche serré, visage dur et déterminé, brandit de la main droite le drapeau nazi avec la croix gammée que l'on retrouve sur son brassard sur le bras gauche - porte la croix de fer, distinction reçue pendant la Première Guerre mondiale – donne l’impression qu'il va de l'avant, illuminé par les rayons du soleil -au deuxième plan : le peuple/une foule de soldats allemands vêtus du même

l'instrument qui était en effet une croix . Tout étonné , j'entendis une douce et faible voix ... je ne savais ce que c'était . Mais en faisant un retour .. j'aperçus Biondetta , ma jolie fille , toute charmante et souriante , me regardant avec ses petits yeux lumineux . Je m'approchai vers elle doucement, la croix toujours entre mes bras, mais cette fois ci ni pour l'embrasser ni pour l'aimer, ni pour lui dire des mots tendres, mais pour pousser la croix dans son ventre par ce que tout simplement