Les Bras en croix

de nombreuses séquelles: membres arrachés, visages défigurés, perforés, mâchoires artificielles, conduits auditifs, oeil de verre...: ce sont les «gueules cassées »: totalement mutilées. Le personnage de droite est un allemand car il porte la « croix de fer « sur sa veste. Il s'agit d'une décoration de guerre donnée aux soldats pour faits héroïques ou pour avoir été blessés. Les couleurs, l'éclairage: Sur le sol, le marron va en se dégradant et finit par se confondre dans le noir. Les couleurs

permettre d'empecher le renuveaux du catharisme. L'Eglise est-elle au service de la foi ? Les Eglise peuvent avoir deux styles different, soient l'art Roman ou alors l'art Gothique. Les deux ont la forme d'une croix chrétienne grâce à la nef et le transept qui fait les bras de la croix. On reconnais facilement le style Roman grâce aux voûtes en berceau ou voûtes d'arêtes, aux murs épais, a la lumière faible et aux puissants contreforts exterieur. Les décors constituent des livres d'images qui

précision le lieu où Otto DIX nous place. Les chaises nous permettent néanmoins de dire que nous sommes dans un bistro. L’arrière plan est noir et un rideau et des joueurs représentés comme des pantins ridicules. L’homme à gauche : Il n’a plus de bras : le gauche est une prothèse en bois tandis que le droit est absent (manche vide). Pour jouer, il se sert du seul pied qu’il lui reste. Cette manière de jouer aux cartes nous donne l’image d’un singe ce qui déshumanise cet ancien combattant. Son visage

et surpeuplé, organisé selon l’axe vertical de la croix prolongée par la figure frontale de la Vierge, laquelle tient dans son giron le corps du Fils mort.19 Conformément à un usage de plus en plus commun au début du XVIe siècle, Marie semble être en train de s’évanouir, nécessitant par conséquent le support actif de trois de ses compagnons. Yeux clos, bouche entrouverte et tête révulsée en arrière, elle reproduit, de par l’écartement de ses bras levés dans un geste de désespoir, l’attitude du

ses préocupations.  Le sacrifice du fils est transposé sous les traits du Christ en croix, avec sa couronne d'épines, flottant au centre de la composition. La plaie sanglante du Christ est associée à la fourche du paysan (sur la droite) qui s'enfonce dans la terre (rituel de la fécondité). Dali est représenté deux fois dans l'axe vertical : il apparaît dans la lumière, au centre du tableau flottant les bras en croix, ainsi qu'au sommet du tableau. Sur le bas du tableau s'étend une mer calme sur laquelle

ducal et la seconde, édifiée sur ses cendres, fut consacrée en 978.   La basilique que nous admirons aujourd'hui a des fondations du XIe siècle. Elle est construite sur le modèle de l'église des Saints-Apôtres à Constantinople, selon le plan en croix grecque. Au cours des siècles suivants, au fur et à mesure que la puissance et la richesse de Venise augmentaient, la basilique fut considérablement modifiée. Son apparence actuelle date de la fin du XVe siècle et du début du XVIe, à l’époque où la

s’imposent trois personnages assis autour d’une table ; ils jouent aux cartes. Ce sont des « gueules cassées ». Celui de droite est en uniforme, sur sa veste au côté gauche, une croix de guerre. Les autres semblent porter des tenues militaires. Cependant tous les trois sont mutilés, défigurés : celui de gauche n’a qu’une prothèse de bras en bois, se sert du pied qui lui reste pour tenir ses cartes ; son visage est horriblement dévasté : cicatrices, trou visible à la place de l’œil droit ; il y a des endroits

Description des éléments constructifs de l’œuvre: Il y a un jeune homme nu, coucher au repos sur un morceau de terre, il est seul et il tend le bras et l’index vers l’index de l’un homme barbu. L’homme barbu est habillé légèrement avec un drap blanc/rose, il est plus bâti que le jeune homme. Il est entouré de personnages jeunes et aussi nus et son bras gauche est entouré autour d’une femme nue. Autour de l’homme barbu et de la masse de gens qui l’entourent celui si a un drap rouge et un petit drap

ème partie: En observant le joueur de gauche, nous pouvons constaté qu’il joue avec son pied droit, on en conclue qu’il n’a pas de bras droit, mais une prothèse au bras gauche et à la jambe gauche. Il a des bouts de peau qui manque sur le visage, il n’a pas d’oreille, mais un sonotone relié à son tympan par un tuyau. Le joueur du centre, lui, n’a ni bras ni jambes, il aussi un œil de verre. Il a une greffe de peau sur le crâne, une mâchoire en métal, et une prothèse qui elle lui tient

femme tenant un enfant, A droite, un homme les bras levés vers le ciel. Une ampoule électrique sur la partie supérieure. Les personnages ont tous la bouche ouverte, regardant le ciel. L’homme au 1er plan a le corps morcelé, il tient une épée Le mère tient un enfant mort dans ses bras. Le taureau observe la scène. Le cheval blessé semble hurler. Une colombe s’efface dans l’obscurité. Des femmes regardent la scène effarées. Le personnage à droite lève les bras au ciel. La lumière provient d’une grosse