Les Caractéristiques De La Nouvelle Economie Keynésienne

phénomènes éco en partant des comportements individuels. Marco économie : Grands indicateurs de l’économie générale (croissance, PIB…) et liens et interdépendances entre ses indicateurs. Caractéristiques du raisonnement économique La théorie est abstraite : construction de modèles Comment les économistes travaillent-ils ? Economie normative : décrit le monde tel qu’il devrait être (concurrence pure et parfaite, jugement de valeur…) Economie positive : décrit le monde tel qu’il est (l’impact d’une augmentation

ECONOMIE PUBLIQUE INTRODUCTION L’analyse des politiques économiques repose nécessairement sur une combinaison d’approches théoriques et empiriques. Le champ de cette analyse couvre le rôle de l’Etat dans la diversité des domaines d’intervention et des choix possibles. On se limitera à l’étude des conditions de mise en œuvre des politiques économiques dans une économie dominée par les mécanismes de marché. L’économie socialiste soviétique n’ayant plus lieu depuis plus de vingt ans ne va pas

fonctionnement de l’économie. B. Les controverses théoriques Les économistes vont discuter des origines du déséquilibre de l’éco. Hypothèses et raisonnements de nature variée : analyses et conclusions de nature variée. Clivage principal : - Keynésiens : pas de confiance dans les mécanismes de marché pour restaurer l’équilibre. - Néo-classiques : rôle des marchés et des prix pour assurer l’équilibre. Approche de la synthèse : • A court terme, les marchés sont imparfaits ← Rôle

plus précisément la réalité. On distingue :  .le circuit économique complété par agent  .le circuit économique complété par fonctions : revenu, consommation finale, épargne, demande finale, investissement, demande finale , production Exemple : Economie à 3 agents : ménage, entreprise, Etat Marché des facteurs Revenu Y=1000 Transfert F= 50 Ménage Impôt T=150 Etat Epargne S=250 Marché des capitaux Achats publics G = 100 Investissement Entreprises I=250 Marché des biens et services Consommation

théories économiques, à savoir les keynésiens et les néoclassiques. Concernant la théorie sur la dette extérieure et la croissance, les keynésiens pensent que l'endettement n'occasionne des charges ni pour les générations futures ni pour des générations présentes du fait des investissements qu'il génère. En fait, le modèle de l'Etat selon les keynésiens, tire ses fondements dans la demande globale et sur ses effets multiplicateurs et accélérateurs, caractéristique fondamentale de cette théorie.

concerne le fait de l’évaluation des performances des nations en développement se fait sur la base de l’expérience du monde occidental. La 4ème critique concerne le caractère flou des frontières entre les différentes étapes puisque certaines caractéristiques se retrouvent à l’intérieur de phases différentes. 2) Les facteurs explicatifs de la croissance économique du 19ème siècle Les historiens s’accordent à dire que trois principaux facteurs ont été à la base de la croissance économique au

Double coïncidence des besoins : situation dans laquelle deux individus possèdent précisément le bien que l’autre souhaite. Économie fermée : économie sans échanges internationaux. Voir aussi économie ouverte. Économie ouverte : économie dans laquelle les gens peuvent librement échanger internationalement des biens et des actifs financiers. Voir aussi économie fermée. Économie souterraine : transactions économiques dissimulées en vue d’échapper à l’impôt ou à la répression d’activités illégales. Effet

monde occidentale. 1. Les économies mondes avant les grandes découvertes. (voir les cartes & le plan au dos du bloc) Jusqu’aux Grandes Découvertes, il y a plusieurs économie mondes qui correspondent à plusieurs civilisations différentes : économie monde antique gréco – romaine, au Moyen – Orient, l’empire Perse, en Extrême – Orient, l’Asie sinisée autour de la Chine des Han. Vers 650, conquête arabe, la civilisation arabo – musulmane va fonder une nouvelle économie monde avec l’expansion de l’Islam

arbitrairement sur les principaux courants de pensée économiques (classique, keynésien, néoclassique, et marxiste), sachant qu’une stylisation et même une simplification est nécessaire. Section I – La théorie classique (18è siècle à 1936) Pour les classiques, la monnaie est un voile, en ce sens que les forces monétaires n’affectent pas les mouvements des variables, c’est –à- dire, la production et l’emploi dans une économie. Elle n’agit que sur le niveau du prix. La théorie classique se fond sur

des relations mutuellement bénéfiques. Cette "défaillance de marché" est un élément de plus dont disposent les théoriciens néoclassiques pour expliciter les raisons pour lesquelles l'équilibre général et auto-régulateur est parfois rompu. Cette nouvelle approche admet une certaine réhabilitation du rôle de l'Etat, dont l'intervention devient source d'efficience. Le site de l'auteur : http://www.elsa.berkeley.edu/users/akerlof/ _____________________________ Maurice ALLAIS (France 1911- ) Néoclassique