Les Chants De Maldoror Chant 3 Lautréamont

de l'alcool, il est maussade et violent, comme le montre le dessin de Marie Vassilieff. À jeun, il est gracieusement timide et charmant, indiquant des citations de Dante Alighieri et récitant des poèmes du livre du comte de Lautréamont Les Chants de Maldoror dont il garde un recueil en permanence auprès de lui. En 1916, il se lie avec le poète et marchand d'art polonais Léopold Zborovski et sa femme Anna. Modigliani le peint plusieurs fois ne faisant payer que dix francs par portrait

LA POESIE ANTIQUITE La poésie antique domine toute la littérature. Le rhapsode  est un récitant de poèmes épiques qui accompagne son chant de la lyre ou de la cithare. Il se déplace de ville en ville à travers la Grèce antique. Il se distingue de l’aède  qui est un véritable poète créateur, comme Homère par exemple, qui l’appelle dans L’Odyssée  le «chantre aimé du ciel qui charme les oreilles» (l’archétype en est Orphée) et qui apprend son art directement des Muses. Il a une fonction quasi

(1688) « On ne doit parler, on ne doit écrire que pour l’instruction ; et s’il arrive que l’on plaise, il ne faut pas néanmoins s’en repentir, si cela sert à insinuer et à faire recevoir les vérités qui doivent instruire » Citations sur l’ARGUMENTATION 3/4 Citations sur L’ARGUMENTATION 4/4 XVIII°s : XX°s : Marquis Donatien A. de Sade, La Philosophie dans le boudoir (1795) : « Adressez-vous plutôt aux passions qu’aux vertus quand vous voudrez persuader une femme. » Primo Levi, Les naufragés et les

Le mouvement a aussi une dimension politique : l'art est considéré comme un moyen de « changer la vie ». D'où l'adhésion au Parti communiste du groupe surréaliste. 3. La littérature du Surréalisme       Se réclamant de Sade, de Rimbaud, de Mallarmé, d'Apollinaire et surtout de Lautréamont, auteur des Chants de Maldoror (1868-1870), les surréalistes désirent intégrer la vie psychique inconsciente dans leurs œuvres, principe qui sera adopté au début par tous les écrivains qui se rallient au

suppose donc que les deux autres œuvres restantes, d’une façon ou d’une autre, traitent d’amour (pour Antigone il s’agit d’un amour fraternel, chez Molière il s’agit d’une pièce mettant en scène l’amour entre deux jeunes gens) - Enfin, on constate que 3 extraits sur 4 concernent la première scène du premier acte de la pièce, ce qui n’est pas anodin. Or le vocabulaire technique du théâtre appelle cela la scène d’exposition (déterminante au théâtre car elle présente les personnages et dévoile l’intrigue

 fait advenir une réalité capable  d’imiter le monde existant ou de lui substituer un univers plus comblant.  Lectures analytiques :  1. ​ Charles BAUDELAIRE, ​ Fleurs du Mal​ , « La mort des amants ».  2. ​ Arthur RIMBAUD, ​ Illuminations​ , « Après le Déluge ».  3. ​ Henri MICHAUX, ​ La Nuit remue​ , « Contre ! ».  4. ​ Francis PONGE, ​ Parti­pris des choses​ , « Le Pain ».    II/ ​ ACTIVITÉS COMPLÉMENTAIRES  A) ​ Etude d’un corpus de textes – ​ APOLOGUES POÉTIQUES   J. de LA FONTAINE, ​ Fables​ , VII, 12, « Les Deux coqs »

et moral, tout autant que la politique qui a mené au désastre de la guerre. Ainsi, le « beau » académique, le « bon goût » sont vivement critiqués. On leur préfère les arts primitifs, les œuvres rejetées, comme celles de Sade ou de Lautréamont (Les Chants de Maldoror) ; on célèbre l'humour noir (dont Breton compose une anthologie, publiée en 1940), l'érotisme ; on transgresse tous les tabous. De même, la logique courante, les évidences psychologiques, les règles d'écriture, sont remises en cause

trouvées dans sa subjectivité : il reproche à Dieu (même le Jésus de Vigny était un adversaire de Dieu) le court laps de temps (3 ans) qui ne suffira jamais à la révolution des cœurs arriver à la réalisation de cette idée. Le mot, le mot que Jésus aurait dû répandre est fraternité, fraternité. (Les Evangiles sont au nombre de 4. Les Evangiles synoptiques sont au nombre de 3 : Luc, Matthieu et Marc peuvent être comparés et ont la vie de Jésus au centre. L'Evangile de Jean est différent car il ne concerne

Damas n’a pas la prétention de se mesurer au réel brut pour l’embellir ; le simple acte d’écriture fait déjà prendre la tangente au poète qui dans des anaphores n’est déjà plus dans la brutalité sauvage de la mort qu’il est censé retranscrire. Ses Chants funèbres parlent bien de « douleurs» et de « peine » mais ces mots bien placé, bien employés , inclus dans des effets sonores par exemple, ou dans une narration qui donne déjà du sens à la douleur, éloignent le lecteur du cœur de la douleur et sans

« dictée de la pensée », composée « en l’absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique et morale ». Se réclamant de Sade, de Rimbaud, de Mallarmé, d’Apollinaire, de Roussel et surtout de Lautréamont, l’auteur des Chants de Maldoror (1868-1870), les surréalistes cherchèrent à libérer l’Homme du rationalisme de la culture bourgeoise occidentale, jugé étouffant et obsolète. Dans le premier Manifeste du surréalisme, publié en 1924, André Breton, marqué par la