Les Confessions Le Vol Du Peigne

des yeux ; ses gestes étaient, sans doute possible, indépendants du premier Stillman. Le deuxième Stillman respirait la prospérité. Il était habillé d’un costume bleu de bonne marque ; il avait des chaussures cirées ; ses cheveux blancs étaient peignés ; et dans ses yeux il y avait l’expression rusée d’un homme du monde. Il ne portait, lui aussi, qu’un seul bagage : une valise noire, élégante, à peu près de la même taille que celle de l’autre Stillman. Quinn se figea sur place. Il ne pouvait

médité, j’ai fait des plans ». Flaubert a lu Ucosque de George Sand et la première moitié des Confessions de JeanJacques Rousseau : « C’est admirable. Voilà la vraie école de style ». Flaubert été alité : « Me voici enfin remis sur pattes, et à table, à cette table que j’avais été forcé de quitter pendant quelques temps, et vers laquelle je reviens plus affamé et plus amoureux que jamais ». Il finit les Confessions et reprend Rabelais, tout en se désolant de ne voir que tous les deux jours Alfred Le Poittevin