Les Contemplation Victor Hugo Sens Du Titre

regarder “au ciel”, on peut remarquer le relief de ce dernier complément qui est mis en rejet, on voit se profiler l'interprétation mystique. L'allusion à celui qui médite, celui qui penche la tête vers le pavé renvoie à une attitude familière à Victor Hugo, le “penseur”, le “songeur” et aussi à Baudelaire lorsqu'il rêve sur sa condition. Ainsi l'intellectuel (ou le poète) qui veut percer l'énigme de l'homme cherche la solution en lui-même, dans ses rêves. TERCETS I et II Vers 9-10 Dans cette phrase

plus libre, plus sentimentale, plus énergique et qui soit l’expression de la société (Germaine de Staël). Cette littérature doit se libérer des contraintes du clacissisme. Le mouvement romantique en France est conduit par Chateaubriand, Lamartine, Victor Hugo et Alfred de Vigny. Les romantiques privilégient la sensibilité et ils découvrent leur je, leur subjectivité, ce qui explique la prolifération d’oeuvres plus ou moins autobiographiques. Ce je est divisé, complexe et à la recherche d’une unité

exister: « J’étais apparu au hasard, j’existais comme une pierre, comme une plante, comme un microbe. Ma vie poussait au petit bonheur et dans tous les sens. »   Suivront un recueil de récits intitulé Le Mur (1939) - recueil qui retrace un tableau de la condition humaine et de la difficulté d’exercer son libre arbitre - et la trilogie réunie sous le titre Les Chemins de la liberté : L’Age de raison (1945), Le Sursis (1945) et La Mort dans l’âme (1949) . En même temps, Sartre est parti au combat, a été

posées aux candidats dans le cadre de l’épreuve orale anticipée de français. Elle ne limite en rien la liberté des examinateurs et suggère simplement certaines démarches susceptibles de faciliter le travail d’élaboration des questions. Elle ne prend de sens qu’en fonction des textes existants : - pour l’épreuve écrite : note de service n°2001-117 du 20 juin 2001, parue au BO n°26 du 28 juin 2001 ; - pour l’épreuve orale : note de service n°2003-002 du 8 janvier 2003, parue au BO n°3 du 16 janvier 2003

savoir s’il existe un progrès en art. Assurément, il n’y a pas un progrès en un sens aussi précis et rigoureux que dans la science ou la technique, car la création artistique obéit à des critères et à des valeurs moins univoques que celles de ces disciplines. Toutefois, du seul fait qu’il y ait une histoire de l’art, c’est-à-dire une mémoire des œuvres passées, il ne saurait y avoir de pure répétition, et en ce sens nous devons admettre qu’il existe nécessairement une forme de progrès. De plus

savoir s’il existe un progrès en art. Assurément, il n’y a pas un progrès en un sens aussi précis et rigoureux que dans la science ou la technique, car la création artistique obéit à des critères et à des valeurs moins univoques que celles de ces disciplines. Toutefois, du seul fait qu’il y ait une histoire de l’art, c’est-à-dire une mémoire des œuvres passées, il ne saurait y avoir de pure répétition, et en ce sens nous devons admettre qu’il existe nécessairement une forme de progrès. De plus, l’art

savoir s’il existe un progrès en art. Assurément, il n’y a pas un progrès en un sens aussi précis et rigoureux que dans la science ou la technique, car la création artistique obéit à des critères et à des valeurs moins univoques que celles de ces disciplines. Toutefois, du seul fait qu’il y ait une histoire de l’art, c’est-à-dire une mémoire des œuvres passées, il ne saurait y avoir de pure répétition, et en ce sens nous devons admettre qu’il existe nécessairement une forme de progrès. De plus,

par l'argent. Mais c'est épineux parce qu'on peut parler à ce propos d'un véritable enchevêtrement de problématiques. Quel angle adopter : biographique, psychologique, économique, socio-historique, littéraire, symbolique, voire mythologique… ? Le titre que j'ai choisi, Zola, l'argent, la littérature… se tient prudemment à la lisière de ces cheminements possibles. Mais enfin il faut tout de même s'engager, choisir. Je vous propose donc un itinéraire en deux étapes, dont le fil rouge sera la référence

(l’image est d’emblée instructive : il s’agira d’envisager texte ou sujet comme un arbre déploie ses branches et ses racines dans des ramifications pour lui assurer une assise). Expliquer, c’est… - d’abord mieux saisir les nuances du sens, après avoir perçu le sens global, en s’aidant des moyens d’expression qui traduisent la vision particulière de l’auteur. - développer notre sensibilité en écoutant la musique de chaque écrivain, en rêvant avec l’auteur. - affiner nos capacités de jugement (savoir

assertion tirée de l’initiation du compagnon lorsque le récipiendaire, au 5ème voyage, découvre le cartouche «  glorification du travail » appelle quelques interrogations :  * Quel rôle tient le travail dans la société au cours des âges ? * Quels sens et significations peut-on donner au travail tant dans le domaine profane que dans le cadre de la F.M ? * Le travail est-il une nécessité ? * Quelles seraient les aptitudes d’un travailleur pour exécuter sa tâche ? * Toute activité est-elle