Les Doctrines De Positivisme

droit romain. On a une croissance du corps des juristes avec le développement des Parlements (= à l’époque, Cours de Justice souveraine au nombre de 15, elles statuaient lorsqu’elles étaient saisi de recours). De plus, on a le développement de la doctrine (= juristes qui réfléchissent sur le droit) avec l’apparition d’ouvrages etc.… Section 2 : La période révolutionnaire : le droit intermédiaire I- La sacralisation de la loi Cette sacralisation de la loi est liée à l’idée d’égalité et à

aurait des caractéristiques J antropogique. A-Doctrine idéaliste. Selon les idéalistes, il existe un ensemble de R intemporelles et universelle auxquelles le D doit se conformer et qui offre aux hommes une sorte de recourt lorsque le D positif est injuste. Au fur et à mesure du temps, on arrive à la laïcisation du D naturel, il se déduirait de l'être humain par la raison humaine [prérogatives individuelles (liberté, égalité, propriété)]. B-Doctrine positiviste. Identifiées tardivement, elles

légitimité de la règle de droit Il s'agit ici essentiellement de justifié le caractère coercitif de la règle. Il existe deux écoles ou tendance qui ce sont penché dans l'histoire, sur la légitimité de toute règle. Il s'agit des doctrines ou théorie positiviste. a) Les doctrines du droit naturel Le postulat de départ qui caractérise les tenant ou partisan du droit naturel que l'on appel « juice naturalis » est qu'au dessus du droit positif existe un droit immuable et universel dont il doit s'inspirer

Pour quelles raisons faut-il obéir à ce droit? L'Histoire explique les choix possibles. Il existe deux courants: l'idéalisme renvoie à un droit naturel et le positivisme conclue qu'il n'existe pas de droit au-dessus de celui posé par les hommes. I. L'idéalisme juridique (ou droit naturel) L'idéalisme correspond à toutes les doctrines de droit naturel. Les tenants du droit naturel sont les jusnaturalistes. Le droit qui régit un état donné à un moment donné est le droit positif. Au-dessus du

celles qui comportent un « élément d’extranéité ». Les questions posées relèvent de thèmes particuliers (conditions des étrangers, conflits de juridiction, conflits de lois … cf. livre p.45). Droit complexe, subtil, ayant subi une vive influence de la doctrine, le Droit international privé a pris de l’importance à la faveur de deux phénomènes : le développement de l’immigration, porte d’accès en France de règles provenant de droits étrangers et ferment d’une société multiculturelle ; et d’autre part, l’essor

rénovation universelle qui caractérisèrent leurs prédé- cesseur§. Aussi, quoique les inclinations populaires leur restent spontanément favorables, le pouvoir passe-t-il toujours à leurs adversaires, qui du moins ont reconnu l'impuis- sance organique des doctrines métaphysiques, et cherchent ailleurs des principes de reconstruction. Chez la plupart de ceux-ci, la rétrogradation n'est, au fond, qu'un pis- aller provisoire contre une imminente anarchie, sans aucune véritable conviction théologique. Quoique tous

parce qu'on a conscience qu'il faut obéir à la société, qu'on a conscience que le droit est utile, mais aussi parce qu'on veut éviter d'être sanctionnés. Pourquoi doit-on obéir aux droits ? Et doit-on toujours obéir aux droits ? 1) Les doctrines idéalistes : le droit naturel Elles considèrent que les règles juridiques en vigueur dans un État, ce qu'on appelle le droit positif, trouvent leur fondement dans un système juridique supérieur, qu'elles appellent le droit naturel. Il existe

système ou le raisonnement juridique. Elle peut être présentée de bien des manières, et les ouvrages qui portent le titre de« philosophie du droit » n’ont en commun que d’offrir un point de vue très général sur le droit. Certains présentent les doctrines ; d’autres, les questions traitées. La première approche a l’avantage de mettre en évidence la cohérence d’une pensée sur un ensemble de problèmes, mais l’inconvénient de masquer la diversité des opinions sur un même problème. Les avantages et les

cependant être présentées sous des approches diverses ; peut ainsi être distingué le volontarisme (A), qui ne reconnait de valeur qu’aux règles de droit positif et rejette ainsi toute approche métaphysique ou encore toute idée de droit naturel, du positivisme (B) selon lequel l’État est la source et la justification du droit international. A. Le volontarisme unilatéral et multilatéral. Si, selon ces théories, le droit international repose exclusivement sur la volonté des États, il convient cependant

( Les femmes doivent soutenir le positivisme, privées du D de vote elles n'ont pas été perverties par la po polititienne , elles st préservées) chapitre 1: la doctrine du D chez Kant Kant fut le premier grand philosophe de la démocratie. Il a consigné sa reflexion sur le D dans l'un de ses derniers ecrits ( une partie concerne le D privé l'autre le D public) I. Le D privé: individualisme, liberalisme, égalitarisme ( 3 piliers dla morale) A) La doctrine morale chez Kant C'est pour lui